jeudi 22 janvier 2015

Le marxisme culturel par l’exemple.4

Le mouvement de la paix avec les notes

Les silences sinistres et assourdissants du mouvement de la « Paix ».




Le mouvement de la « Paix » ( Éternelle ?) se montrera plus qu’étrangement silencieux lors de l'insurrection de Budapest ou révolution de 1956 ; révolte nationale spontanée contre la République populaire de Hongrie et ses politiques marxistes racistes et collectivistes imposées par l'Union des républiques socialistes soviétiques (URSS).
Le 4 novembre, une importante armée soviétique envahit Budapest et les autres régions du pays. La résistance hongroise continua jusqu'au 10 novembre. 

Plus de 3 000 patriotes Hongrois furent sauvagement exécutés et seulement 700 Soviétiques furent tués par les résistants lors du conflit.

Après l'écrasement de la révolte, des milliers de Hongrois furent arrêtés. 26 000 Hongrois furent amenés devant les tribunaux, 22 000 d'entre eux furent condamnés, 13 000 emprisonnés et il y eut des centaines d'exécutions. Des centaines furent également déportés en Sibérie dans les camps de la mort du Goulag en Union soviétique. L'ancien ministre des Affaires étrangères parla de 350 exécutions. Environ 200 000 Hongrois quittèrent le pays.

Le débat public sur cet événement fut interdit en Hongrie durant plus de 30 ans, mais avec le dégel des années 1980, il fit l'objet d'intenses études et débats. Le 23 octobre est devenu un jour de fête nationale en Hongrie.

Le mouvement de la « Paix » se montrera encore plus remarquablement silencieux lors de l’immonde invasion de la Tchécoslovaquie par le Pacte de Varsovie (Les marxistes pro soviétiques) qui débuta dans la nuit du 20 au 21 août 1968, lorsque les troupes communistes du Pacte de Varsovie ont envahi la République socialiste tchécoslovaque pour mettre fin au Printemps de Prague. L’invasion de la Tchécoslovaquie provoquera la mort de 72 à 120 personnes et fera plusieurs centaines de blessés
L’invasion provoquera une importante vague d’émigration qui finit par s’arrêter quelque temps plus tard : on estime le nombre des départs à 70 000 immédiatement après l’intervention. Sur toute la période soviétique, 400 000 Tchécoslovaques quittent leur pays.
Le 16 janvier 1969, Jan Palach, un étudiant s’immolera par le feu sur la place Venceslas à Prague en protestation contre la suppression de la liberté d’expression par le communisme. L’exemple de Palach est suivi par Jan Zajíc un mois plus tard et par Evžen Plocek en avril.

On se demande bien pourquoi le mouvement de la paix n’en a jamais fait des héros  attaché comme ils semblent l’être à la liberté d’expression ?
Et quel silence toujours autant assourdissant du mouvement de la paix lors de la prise de pouvoir des Kmers rouges au Cambodge (Kampuchéa « démocratique ») et du génocide marxiste qui s’en est suivi.

Remy de Gourmont à dit : « Ce qu’il y a de terrible quand on cherche la vérité c’est qu’on la trouve » et Céline de rajouter : «Ce monde n'est qu'une immense entreprise à se foutre du monde».
C’était après la fameuse «guerre» d’Algérie (Lire en cliquant ici) ou un avocat communiste Maître Vergès, c’était distingué dans le mensonge marxiste, la désinformation et la falsification au sujet de la prétendue « torture ». Voilà que celui ci, dans une interview accordée au magazine allemand Der Spiegel, en novembre 2008 émet des doutes sur la tenue effective du procès des Khmers rouges... et proclame « Non il n'y a pas eu de génocide au Cambodge ».

C’est aussi négationniste que Mélenchon éructant en 2012 une énorme contre vérité : «  Le Parti communiste Français n’a pas de sang sur les mains ! »
Que tout accusé ait droit à un procès équitable, personne ne le conteste.  Ce qui est inacceptable, en revanche, c'est que le guacamole (Purée d’avocat) Jacques Vergès se fasse le complice de « ses clients » - en l'occurrence Khieu Samphan, ex-président du régime totalitaire (1975-1979) instauré par Pol Pot au Cambodge - jusqu'à reprendre à son compte leurs contrevérités ou leur négationnisme. 

Cette affirmation mensongère habituelle aux communistes- qui insulte la mémoire des victimes (entre 1,7 et 2,5 millions) du régime marxiste - s'apparente à celles du révisionniste communiste Roger Garaudy ou Robert Faurisson, condamnés à maintes reprises en France pour avoir nié l'existence des chambres à gaz durant la Seconde guerre mondiale. On regrettera que la loi Fabius-Gayssot ne s'applique pas dans le cas des soutiens aux génocidaires cambodgiens marxistes. Reste que le génocide perpétré au Cambodge par Pol Pot et ses comparses communistes, est un fait avéré, attesté par des milliers de témoignages, analysés par nombre de chercheurs.  

Ben Kiernan titulaire d'une chaire d'Histoire à  l'université de Yale souligne « l'unicité » du génocide cambodgien: à ses yeux, elle ne tient pas seulement au bilan « sans égal dans ce siècle [20ème] de la liquidation de presque un quart de la population mais également à la mobilisation totale des formes raciales et sociales du crime: purges, assassinats individuels ou de masse, déportations, marches exténuantes, travail forcé harassant, sous-nutrition intentionnelle ». Sans oublier le génocide du peuple  musulman Cham.

Les Cambodgiens n'ont pas été au hasard victimes d'une utopie meurtrière d'inspiration marxiste léniniste appliquée de façon radicale. Ils ont été ciblés. Ben Kiernan a démontré comment la direction communiste formée en France par les communistes Français a systématiquement « enserré la population dans des divisions et des classements à la fois raciaux et idéologiques ». Ceux-ci se sont greffés sur la distinction entre deux groupes majeurs - le « peuple de base » (les Khmers des zones rurales, jugés ethniquement purs, véritables forces humaniste de progrès, de paix, d’amour et de tolérance) et le « peuple nouveau » (les citadins, les musulmans, les Chrétiens, les déclarés capitalistes réactionnaires en contact avec des idées étrangères). C'est son appartenance à l'une des catégories proscrites qui aura voué tel ou tel Cambodgien à l'extermination, directe ou indirecte. Une même logique marxiste préexistait aux lois raciales socialistes nationalistes qui ont abouti à la mise en oeuvre de la « solution finale » contre les juifs.

Jacques Vergès aurait aimé défendre Hitler. Comme il l’affirme dans un de ses livres, « la Justice est un jeu » (Albin Michel). Jadis étudiant communiste, il avait rencontré Saloth Sar, le futur Pol Pot: « Un jeune homme qui aimait Rimbaud (...) et qui n'était pas dénué d'un certain sens de l'humour ». Les Cambodgiens apprécieront. 
Pol Pot, le dirigeant communiste cambodgien criminel contre l’humanité avait été conseillé par Vergès au début de la « révolution » Khmer Rouge. Pol Pot s’était d’ailleurs aussi à Paris auprès de membres du PC-F particulièrement auprès d’Auguste Lecœur, formé à l’idéologie marxiste caractérisés par:
- une méthode de raisonnement (dialectique matérialiste) et une idéologie (évolution linéaire et immuable de la société humaine qui se termine par le communisme). - une classe sociale fantasmée, le prolétariat dont ils défendent les intérêts en instaurant la dictature.
- un fonctionnement selon le centralisme démocratique.
- Le parti marxiste détient la vérité et est autorisé d'utiliser toutes les possibilités pour réduire ses « ennemis ». La dictature va donc de soi pour faire avancer plus vite la société vers le « bonheur ». Le parti est le peuple, il est donc impossible d'avoir plusieurs partis; le chef du parti qui concentre en lui l'essence du peuple, est objet d'adoration (culte de la personnalité). Enfin le centralisme démocratique permet au sommet de diriger la base sans contestation. Une fois parvenu au pouvoir, il donne un état qui n'est pas de droit puisque tout est subordonné au but suprême du parti: le communisme. Un tel état monopolisé par le parti, est autoritaire (dictature du prolétariat), bureaucratique (centralisme démocratique bannit l'initiative individuelle) et opaque (primauté du parti).

Ce que l'histoire politique et économique nous a appris c'est que les rêves marxistes ou socialistes qu’ils soient nationaux ou internationaux, les grands projets politiques utopiques construits par les planificateurs de l'État dont entres autres les marxistes ne se réalisent jamais sans piétiner les droits et la liberté individuelle. Et cela pour fabriquer quoi ? Des monstres étatiques criminels qui prétendent avoir droit sur l'individu du berceau au tombeau, qui détruisent la prospérité des nations et des peuples, qui anéantissent la morale de sens commun pour lui substituer une hideuse et prétendue «morale» d'État.

Encore aujourd’hui, on trouve en France des personnes au QI de moules, lobotomisées par cette idéologie nauséabonde appelée aujourd’hui MC ou Marxisme Culturel. Le 23 juin 2007 dans une  intervention non prononcée (Mais publiée sur le net)  la « camarade » Aline Parmentier Secrétaire départementale du PC-F section Alsace déclarait : « Dans la période de résistance à la droite et de reconstruction du Parti, il est nécessaire que les militants (es) soient bien formés (ées) et ancrés dans la vie sur de solides assises idéologiques marxistes».
Cette dame souhaite donc à ses compatriotes Français l’application de l’idéologie marxiste dont on sait qu’elle a toujours généré les plus abjects crimes contre l’humanité de l’histoire. Bravo madame !

Pol Pot, de son vrai nom Saloth (Prénom prédestiné !) Sar (et le Sar dîne au sang frais), est né le 19 mai 1928 dans un pays de niakoués (paysans) plein de moustiques, à Prek Sbauv, dans la province cambodgienne de Kompomg Thom. Il était issu d’une famille paysanne sino khmère très aisée, dont le destin se lia à celui de la famille royale en 1925 lorsque sa tante, Khun-Meak, devint la troisième concubine parmi les dix « épouses » du roi Monivong. De cette union naquit la princesse Khun Yeap, qui fut à son tour reine du Cambodge en épousant le roi Suramarith et, plus tard, la mère du prince Sirivutdh. Le frère de Saloth Sar, Saloth Suong, occupa également une place importante au sein du palais royal et épousa l’une des danseuses (autre nom des royales prostituées) du roi en 1940, Chea Samy. Alors enfant, le Saloth vécut avec le couple pendant deux années à Phnom Penh, de 1934 à 1935. Sa sœur Saroeun devint elle aussi l’une des concubines (quel joli nom et quel famille de proxénètes) du roi Monivong. Son oncle était par ailleurs chef du protocole du palais.(Chef proxo)

Saloth Sar,neveu de pute, le futur criminel contre l’humanité Pol Pot ( Ce qui veut dire fils de pute en Khmer rouge), vécut son adolescence à la campagne, et y suivit l’enseignement bouddhique dans le but de devenir moine. Déjà passionné par la « politique », il s’engagea dans le mouvement marxiste dit indépendantiste et anti-français de Nguyen Aï Quoc dit  Hô Chi Minh  au Vietnam durant la Seconde Guerre Mondiale et devient membre du Parti Communiste Indochinois en 1949 dirigé par Hô Chi Minh ancien membre du PC-F, qui avait été le professeur de Léopold Figueres lui aussi du PC-F à l’école léniniste internationaliste de Moscou.

Le gouvernement cambodgien lui accorda alors une bourse afin qu’il puisse effectuer des études de radioélectricité en France, de 1949 à 1953. Dès son arrivée à Paris, il rejoignit les « cercles » du parti communiste français notamment Lecœur auprès desquels il se familiarisa avec l’idéologie activiste socialo marxiste, et au sein desquels il passait la majorité de son temps ; Pol Pot manifesta un désintérêt flagrant vis-à-vis de ses études. Il ne possédait pas son certificat d’études et n’a jamais réussi à obtenir aucun diplôme. Comme Thorez c’était un quasi illettré. C’est néanmoins sur les bancs de la Sorbonne qu’il rencontra  outre le « camarade » Vergès, les camarades Yeng Sary et Khieu Samphan, formés eux aussi par le Parti Communiste Français et futurs criminels communistes khmers rouges à l’origine de l’un des génocides les plus violents de l’histoire de l’humanité. 

Le formateur principal du jeune Saloth était on l’a vu Auguste Lecœur lui-même sous les ordres d’un officier traitant, un « référent » le criminel contre l’humanité Souslov,  qui avait enseigné au jeune Saloth l’imbécile et  monstrueux concept sois disant « populaire » des villes à la campagne. 
Peu après son retour au Cambodge en 1953, on dit qu’il devint professeur de français (sans aucun diplôme ?) dans deux établissements privés de Phnom Penh, Chamroeun Vichea et Kampuchaboth (1956-1963).

Lorsque les Français partirent d’Indochine en 1954, ils nommèrent le roi Norodom Sihanouk à la tête du Cambodge, ce à quoi le marxiste Saloth Sar et surtout Moscou étaient opposés. Il entra alors dans le Parti Révolutionnaire du Kampuchéa, "Khmer Rouge", et rédigea dit on de nombreux « articles » pour l’organe de propagande rouge. Il mit en place avec l’aide de Figueres les congrès du parti communiste du Kampuchéa en 1960, et fut élu secrétaire du comité central du Parti Révolutionnaire en 1962. Il tient son surnom "Pol Pot" de cette époque. Alors que le précédent secrétaire, Tou Sammuth, venait de décéder soudainement et dans des circonstances inexpliquées, (il avait été assassiné humainement par Pol Pot)  la Chine a sélectionné Pol Pot pour le remplacer, le désignant comme "Potential Political" ou comme chacun sait Fils de pute en patois Khmer rouge.

Pour fuir la police du roi Sihanouk, chef de l’état cambodgien, il rentre dans l’illégalité ou action clandestine terroriste marxiste en 1963 avec ses compagnons Khmers Rouges, qui s’étaient sois disant révoltés contre une taxe nouvellement instituée sur le riz. Et c’est dans la jungle cambodgienne qu’il rencontra les partis terroristes de la guérilla dont il prit la tête, grâce à l’aide et au soutien de la Chine communiste. Mao Zedong voyait en lui un moyen aisé pour se prémunir contre le communisme soviétique dont il craignait l’expansion dans la région, et dont l’idéologie contrôlait déjà le Vietnam.

Pol Pot voue dés cette époque une réelle admiration pour le criminel contre l’humanité Mao Zedong et décida de s’engager sur la même voie « socialiste » des lendemains qui puent la chair humaine en putréfaction, et de façon  tout aussi violente, radicale et extrêmement brutale de type communiste. Il abandonne dés cette époque le PC-F et passe aux ordres des Chinois communistes.
Dans les années 70, la guerre que les États-Unis livraient au parti communiste de Hô Chi Minh (pro russe) s’étendit au Cambodge, où les troupes américaines vinrent débusquer les forces vietnamiennes qui s’y étaient réfugiées. 

Une guerre civile s’en suivit, et Pol Pot triompha avec l’aide des chinois de l’armée du roi Sihanouk le 17 avril 1975, date à laquelle Phnom Penh tomba entre les mains des communistes Khmers Rouges. Le jour même, la ville est évacuée (2 millions de personnes). Pol Pot devint alors « le frère n°1 » et le premier ministre d’un régime totalitaire communiste et criminel marxiste maoïste, que toute la population cambodgienne considéra, dans un premier temps, comme étant une force libératrice.
Pol Pot a construit son pouvoir personnel sur la population rurale, accusant les urbains de tous les maux. On envoie l’ensemble de la population urbaine du pays dans des coopératives rurales. Pendant 3 ans, l’ensemble de la population sera réduite à l’esclavage, avec pour mission de doubler les récoltes d’une année sur l’autre.

Dans le même temps, les ennemis de l’état sont recherchés, emprisonnés, torturés, assassinés. D’abord les royalistes. Puis les personnes accusées de pervertir le peuple. Puis les professeurs. Ceux capables de parler une langue étrangère. Avoir des lunettes peut également devenir la raison de votre décès. Après quelques heures/jours/semaines de torture, après vous être vous-même accusé de tous les crimes, vous finissez par dénoncer votre voisin, votre cousin, le chat du village. Les moines sont pris pour cible. La religion est abolie. Plus Maoïste que Mao, Pol Pot amène à la mort près de deux millions de ses concitoyens, en l’espace de trois ans et demi. 20% de la population.

Le bilan est tellement mauvais que les communistes vietnamiens décident d’envahir le Cambodge pour mettre fin au massacre. Seul problème, le nouveau gouvernement ne sera pas reconnu (car supporté par les communistes vietnamiens). Le régime de Pol Pot continue de siéger à l’ONU et les pays occidentaux vont jusqu’à verser des aides financières aux génocidaires pour tenter de repousser les communistes (endiguement).

La justice a également été longue à se mettre en place (2004). Pol Pot est mort tranquillement en Thaïlande où il s’était réfugié. Seul Douch, directeur de la prison de Tuol Sleng (S-21), a été condamné á 30 ans d’emprisonnement. 

Très vite cependant, Pol Pot soumit le pays à la dictature rouge et à l’application du socialisme comme appris auprès des communistes Français dont Lecœur et Figueres et révéla sa cruauté bolchevique meurtrière. Avec l’aide de Yeng Sary et de Khieu Samphan, ses anciens camarades « d’étude » marxiste léniniste en France, il mit en place un régime communiste criminel totalitaire et violent, qui visait à supprimer tous les individus susceptibles de devenir « réactionnaires ». En France aujourd’hui on dit Facho.

Mais plus que d’une volonté de faire respecter l’idéologie socialiste dans le pays, l’épuration de la population qui allait se produire procédait d’un profond racisme qui allait se transformer en nettoyage ethnique. 

Aujourd'hui, le « racisme » est combattu partout même quand il n'existe pas, surtout lorsqu'il n'existe pas. Mais le fondement du marxisme, c'est le racisme social: pour le bien du peuple, il serait normal et juste de guillotiner les riches, les bourgeois, les nobles, et leurs serviteurs qui seraient encore pires que leurs maîtres. Pour être complet pour Pol Pot, il fallait encore liquider l'église Chrétienne et les religions particulièrement les musulmans, les soutiens des réactionnaires. Ceci fait, le peuple sera enfin libre et heureux. C'est le scénario du Manifeste communiste de 1848, livre malsain et pervers qui continue à trouver des partisans… et à faire encore aujourd’hui des victimes innocentes.

Amis MUSULMANS méfiez vous des socialistes !

Un peuple en particulier souffrira terriblement de cette idéologie marxiste appliquée ; le peuple Cham, des musulmans !

Encore aujourd’hui une minorité d'hommes marxistes culturels de genre mrapistofurieux et autres crétins des Landes multi culturalistes, d’ex trotskistes ou staliniens déboussolés, ne représentant plus rien sinon eux même, utilisent Internet via les réseaux sociaux, forums, blogs, sites, commentaires etc. dans le but abject et dissimulé d'imprégner la société de leur idéologie  marxiste culturelle nauséabonde.

Cette dernière est basée sur la haine de ce qui ne leur ressemble pas, le mépris d'autrui, et le dédain de toute forme de culture Française.

Ils aiment pourtant à se revendiquer d'une poignée d'auteurs et d’écrivains aussi insignifiants qu’indigents manière de faire semblant d’étaler un superficiel vernis théoriques, lequel ne résiste pas à 30 secondes d'analyse un peu rigoureuse.

En tant que militants organisés, ils colonisent Internet en répétant maladivement les mêmes antiennes simplistes et ridicules depuis des décennies, parvenant malheureusement à enrégimenter des individus paumés et déboussolés par les complexités de la modernité. 

Considérant que la fin justifient absolument tous les moyens, ils n'hésitent jamais à mentir, travestir la réalité, biaiser les chiffres, diffamer quand bon leur semble, désigner des groupes sociaux, dont maintenant les juifs à travers des campagnes dites BDS et autres mouvement pour la paix à la vindicte pour exciter la haine des esprits simples, et refuser catégoriquement tout ce qui pourrait les remettre en question.

La manipulation et l'instrumentalisation sont pratiques tellement courantes qu’elles en deviennent banales et ils n'hésitent jamais à se dissimuler derrière des naïfs (aujourd’hui les musulmans) à qui ils font croire qu'ils sont de leur côté, quand systématiquement ils les écrasent dès qu'ils sont au pouvoir.

A son apogée au 9ème siècle, le royaume de Champa contrôlait les terres entre ce qui est maintenant moderne Huế, à l'extrême nord de la Delta du Mékong dans le sud du Vietnam. Sa prospérité est venue du commerce maritime dans le bois de santal et des esclaves, et probablement y compris la piraterie.
La tradition Cham affirme que le fondateur de l’état Cham était Dame Po Nagar qui aurait navigué sur un morceau de bois de santal et dérivé vers la Chine, où elle aurait épousé un héritier de la famille royale, dont elle aurait eu 2 enfants, puis serait devenue reine du Champa.

Au 12ème siècle, les Cham ont mené une série de guerres contre les Khmers d'Angkor à l'ouest. En 1177, les Chams et leurs alliés ont lancé l’attaque du lac Tonlé Sap et ont réussi à mettre à sac la capitale khmère. En 1181, cependant, ils ont été défaits par le roi khmer Vajrayana VII.

Le Saloth avait la rancune tenace.

La première religion enregistrée du Champa était une forme d’hindouisme, transporté de l'Inde par mer. Comme de nombreux marchands arabes en route vers la chine s’arrêtaient sur les côtes du Vietnam, l'Islam a commencé à influencer la civilisation Cham.

La date exacte à laquelle l'Islam est venu au Champa est inconnue, mais des pierres tombales datant du 11ème siècle ont été trouvées. Il est généralement admis que l'Islam est venu en Indochine bien après son arrivée en Chine durant la dynastie des Tang (618-907), et que les commerçants arabes de la région sont entrés en contact direct qu'avec les Chams, et pas d'autres. Cela pourrait expliquer pourquoi seuls les Chams ont été traditionnellement les premiers islamisés en Indochine.

En 1325 Al-Dimashqi  stipulait déjà que «le pays de Champa ... est habité par des musulmans et des idolâtres. La religion musulmane est venue là pendant l'époque du calife Uthman ... et Ali, de nombreux musulmans qui ont été expulsés par les Omeyyades et par Hajjaj ».

En 1471 lors d’une invasion vietnamienne le Champa a subi une grave défaite dans laquelle 120.000 personnes ont été capturées ou tuées, et le royaume réduit à une petite enclave près de Nha Trang. Entre 1607 et 1676 l'un des rois du Champa converti à l’Islam, impose cette idéologie à son peuple l’Islam devenant ainsi une caractéristique dominante de la société Cham.

Curieusement les Chams étaient matrilinéaires et l'héritage transmis par la mère. Pour cette raison, les Vietnamiens en 1499 avaient adopté une loi interdisant le mariage entre les femmes et tous les hommes Cham vietnamiens, sans distinction de classe. Les Vietnamiens avait également donné des instructions dans la capitale pour tuer tous les Chams dans le voisinage. 

L'expansion par les Vietnamiens en 1720 conduit à l'annexion totale du royaume Champa et la dissolution par le roi vietnamien du 19e siècle, Minh Mang. En réponse, le dernier roi musulman Champa, Pô Chien, rassembla ses gens dans l'arrière-pays et se sont enfuis vers le sud jusqu'à Cambodge.
La majorité (88%) des Chams qui résidaient au Cambodge étaient des musulmans  qui défendaient défendre ses piliers, notamment la prière cinq fois par jour, le jeûne du mois de Ramadan et accomplissait le Hadj à la Mecque. Pendant de nombreuses années, des représentants du Cambodge ont pris part à la compétition annuelle de récitants du Coran international de Kuala Lumpur. La communauté musulmane Cham au Cambodge gérait des écoles religieuses et était dirigée par un mufti.

Les musulmans Cham étaient particulièrement attentifs à leurs filles, en plaçant une grande importance à leur virginité. Un dicton Cham dit « Laisser un homme seul avec une fille, c’est comme de laisser un éléphant dans un champ de canne à sucre ». 

Les musulmans Cham pratiquaient et pratiquent encore aujourd’hui la cérémonie barbare dite karoeh pour les filles (excision ou ablation du clitoris). Elle avait lieu quand la fille était âgée de quinze ans, si elle n'avait pas eu lieu, la jeune fille ne pouvait pas se marier car elle était « tabung ». La circoncision des hommes Cham était moins importante que le karoeh. 

Pendant le règne de l' Khmers rouges au Cambodge, les Chams de ce pays ont souffert de graves purges avec plus de la moitié de leur population exterminée. 
Ils ont subi un taux plus élevé de perte que n'importe quel autre groupe ethnique. Avec la plupart de leurs chefs exécutés, seulement 21 des 113 (19%) des Imams survécurent. Mais  ce n'est pas tout. Il a été établi que 85% des mosquées ont été rasées et que celles épargnées ont été transformées en porcheries. Le Cambodge possédait 300 écoles coraniques et autant d’enseignants : seuls 38 d’entre eux ont eu la vie sauve. Alors que le pays comptait plus de 1000 hadjs, il n’en restait qu’une trentaine après le génocide. Des copies de Coran furent brûlées, les femmes musulmanes contraintes de couper leurs cheveux et de modifier leur habillement traditionnel et la langue Cham fut interdites.
Comble de l’idiotie marxiste, les musulmans ont été forcés de manger du porc alors qu’à la même période d’autres Cambodgiens n’avaient droit qu’à un misérable bol de bouillon de riz ou se nourrissaient d’insectes et de racines pour survivre.
Voici le témoignage du Dr Tin Youcef Abdelkayoum, médecin cham et survivant du génocide : « Chaque Cham devait manger du porc. Ceux qui résistaient étaient punis. La nourriture était disposée sur la table et tous les musulmans étaient assis en rangées. Une personne observait les musulmans et avait un cahier pour écrire les noms […]. Si quelqu’un ne voulait pas manger de porc, son nom était noté dans le cahier. Ainsi, tout le monde essayait d’en manger, même si c’était difficile à avaler. Souvent, cela les faisait vomir car ils n’étaient pas capables de le manger. Une vieille dame musulmane de 85 ans nommée Sas est décédée après avoir été attachée plusieurs jours dans un enclos à cochons car elle avait vomi la viande de porc ».

Actuellement, les musulmans du Cambodge sont répartis dans 372 villages et représentent approximativement 4% de la population. Leur nombre a été estimé a environ un demi-million de personnes, ce qui indique qu’il a presque triplé depuis la chute du régime des Khmers rouges. Cette communauté connait un certain regain de vitalité et des 21 mosquées qui avaient survécu à la folie des disciples de Pol Pot, on en comptait 280 en 2007. Ce sont certaines d’entre elles qui sont érigées sur la rive ouest du Tonlé Sap et que l’on peut apercevoir lorsqu’on remonte ce fleuve.
Plus de trois décennies après la chute du régime sanguinaire de Pol Pot, le procès hautement médiatisé des quatre hauts cadres Khmers rouges pourra-t-il à jamais effacer les traumatismes engendrés par le génocide des Chams et des centaines de milliers d’autres innocentes victimes?
En effet, le raciste Pol Pot voulait éradiquer tous les cambodgiens qui avaient été au contact d’autres civilisations que celle de la population rizicole khmère, y compris leurs enfants. Il ordonna tout d’abord l’évacuation immédiate des habitants qui n’étaient pas purs khmers de Phnom Penh vers les campagnes pour les forcer à travailler aux champs, et fit abattre tous ceux qui ne s’y soumirent pas.

L’idiot utile français Jean Lacouture, ira jusqu'à  tresser des lauriers de l’évacuation de Phnom Penh par les Khmers rouges, qualifiée « d’audacieuse transfusion de peuple », (Jean Lacouture, Le Nouvel Observateur, 21 avril 1975, p. 53.) alors que cet évènement marque le début de l’un des massacres communiste les plus sanglants de l’histoire de l’humanité, celui de deux millions de Cambodgiens.
Une chose peu connue c’est qu’en Occident, Pol Pot avait à l’époque de fervents supporters : les écologistes !
Écologistes ? Bon d’accord, aujourd’hui le camarde Mélenchon nous affirme que Marx était un écologiste alors pourquoi pas qualifier ainsi ces marxistes, ces communistes se cachant derrière le faux nez rouge de « l’écologie ».

Tout d’abord, il y a un article paru dans The Ecologist de juillet 1975 intitulé « The City is Dead » – La ville est morte. Alors, il ne s’agissait pas d’une tribune libre ou d’une rubrique « opinion » écrite par un obscur scribouillard de seconde zone. C’est l’éditorial de la revue, rédigé par Robert Allen, rédacteur en chef adjoint de The Ecologist, responsable des publications à l’UICN et coauteur avec Teddy Goldsmith du célèbre Changer ou disparaître (1972), véritable bible des écologistes des années 70. 

Que dit Robert Allen ? Pour bien souligner la convergence avec le projet du communiste Pol Pot, Robert Allen rappelle d’abord quelques convictions essentielles exprimées dans la revue : « Depuis sa fondation il y a 5 ans, The Ecologist défend la revitalisation de la communauté rurale. Dans le numéro de décembre 1970, par exemple, Edward Goldsmith (…) avance que la seule société stable pouvant rendre heureux ses membres est celle qui est composée de petites communautés auto-régulées clairement liées au reste de la nature. » De là, il s’enthousiasme pour la révolution Khmer rouge : « L’abandon par le Cambodge de l’économie urbaine est donc d’un intérêt particulier pour nous (…). Ils semblent faire de leur mieux pour s’assurer que le parasitisme urbain ne puisse pas à nouveau se produire. Ils ont fermé les usines, détruit l’approvisionnement urbain en eau, démoli les banques, brûlé leurs archives et tout le papier monnaie sur lesquels ils pouvaient mettre la main. Ils sont retournés au système du troc. » Il ajoute : « Outre l’utilisation du métal d’équipements militaires détériorés pour en faire plein d’instruments, de la faux aux couverts, les Khmers rouges encouragent l’utilisation de médicaments traditionnels, affirmant qu’ils sont aussi efficaces que ceux importés. » Robert Allen décrit « Phnom Penh désertée pour la campagne » comme le « symbole du futur », et n’hésite pas à y voir une source d’inspiration : « Si le Cambodge réussit à forger une économie rurale décentralisée, cela nous forcera à réévaluer la prison de l’industrialisme. » Ce qui le fait conclure : « Ils méritent nos meilleurs vœux, notre sympathie et notre attention. »
N’allez pas croire maintenant que ce fumier de coco Robert Allen écrivait ces lignes ignorant les milliers de morts causées par l’évacuation des villes cambodgiennes et les avertissements sur les risques de génocide. L’écologiste britannique en parle, mais en exprimant sa « frustration » face aux informations « déformées par la perplexité et l’hostilité de la presse ». Il affirme ainsi que « contrairement aux prédictions des Américains, il n’y a pas eu de bain de sang ». Robert Allen s’offusque que des journalistes aient dépeint les Khmers rouges comme des « monstres totalitaires » et s’indigne que « certains commentateurs aient exprimé leur préoccupation concernant le fait que beaucoup de cambodgiens vont mourir de faim avec un retour si précipité à l’économie rurale ». Et quand il cite un représentant des Nations unies qui avertit que « ce que les Khmers rouges font est purement et simplement un génocide », Robert Allen introduit dans la citation un « sic » de protestation ! Il se moque de ceux qui « semblent croire que la nourriture pousse seulement dans les magasins » et prédit : « Étant donné la terre disponible et l’injonction de la travailler, ils vont rapidement se nourrir de façon suffisante. » On connaît la suite de l’histoire…

Les écologistes français n’étaient pas en reste. Ils ont, eux aussi, été de chauds partisans des Khmers rouges. Ainsi, dans un numéro de mai 1975 de La Gueule Ouverte, le premier journal écologiste français, un abrutile Arthur (Henri Montant de son vrai nom) dénonce d’abord la presse française qui « chauffait ses lecteurs à blanc » en annonçant que « au Cambodge, il se passait des horreurs pas racontables, des pogroms de blancs tout à fait insoutenables ». Avant de louer les Khmers rouges : « Quelle leçon de ces paysans khmers en guenilles, de ces révolutionnaires en culotte courte, de ces paysans déportant une ville entière à la campagne. Si massacre il y eut, ce fut un massacre des symboles, un massacre de l’objet. Une révolte radicale, prolongement de la révolte noire de Watts au USA et en quelque sorte aussi de mai 68 en France, contre la société de consommation, contre ce règne de la pacotille où trône la marchandise. Là est le vrai sacrilège pour un esprit occidental (bourgeois ou non). (…) Piller les magasins, brûler les bagnoles, pisser sur le matériel hi fi, casser les montres, bref tourner le dos au « progrès industriel » et au catalogue de la Redoute réunis, alors là, c’est vraiment un CRIME ! » L’écologiste se met alors à rêver qu’une telle révolution puisse survenir en France : « Les paysans khmers envahiraient la France, ils enverraient la rédaction du Nouvel Obs, (temple moderne de l’objet), repiquer les poireaux, et le spectacle des Parisiens binant les champs de patate et sarclant les plaines de la Beauce ne manquerait pas de sel. Ah, voir les bourgeois de St Germain en Laye partant sur les routes relayer les mineurs de Lorraine, J.J.S.S. en maillot de corps trimant à Usinor et Giscard à la plonge de la cantine, voir ça une fois et mourir. » Toutefois, Arthur, un peu désespéré, ajoute : « Mais ne rêvons pas ! La classe révolutionnaire française est à créer. Il n’y a rien à attendre de la social-démocratie adipeuse qui louche sur le trône giscardien ».

Heureusement pour nous, cette classe révolutionnaire française, ils n’ont pas réussi à la créer mais malheureusement, ils ont créé le MC, le Marxisme Culturel tout autant destructeur !

Ce livre que vous lisez aujourd’hui doit ami lecteur, agir sur vous comme un signal d’alarme. Il doit vous alerter sur la fragilité des pseudos « démocraties », nous rappeler que derrière l’intolérance et l’idéologie marxiste et socialo communiste restent tapies dans l’ombre la haine de l’autre, l’envie d’éliminer celui qui pense différemment. De « l’effacer », dirait Rithy Panh. Dans ce contexte troublé, où des leaders populistes marxistes et certains médias marxistes culturels s’entendent pour exploiter les peurs, il est urgent de s’inquiéter.

Toujours ce refus de voir que le régime de Pol Pot était un banal régime communiste raciste. Des nombreux livres témoignent de l'horreur de tous les régimes communistes, de la misère des ouvriers et des paysans, des famines, des déportations, des crimes de masse, mais le marxisme (aujourd'hui déguisé en « anti-capitalisme ») ou en Marxisme Culturel continue à posséder un pouvoir de séduction et même d'attraction, car, et en dépit de l'horreur que son application provoque, il arrive à faire croire qu'il serait l'ami du peuple. Il faut absolument détruire l'imposture de cette infection, de se sida mental qu'est le marxisme qui a détruit déjà trop d'humains !

Enfin en 2009 les abjects communistes au Cambodge sont jugés pour leurs crimes. Le Parti communiste Français complice et inspirateur (N’oublions jamais que le slogan de « mettre les villes à la campagne » appliqué stricto sensu par le Saloth de fils de pute communiste dit Pol Pot est une invention bien de chez nous venant du PCF et du camarade formateur Lecœur) d’un des plus grands crimes de l’histoire et de l’un des génocides les plus violents de l’histoire de l’humanité devait être lui aussi mis au ban des accusés.

Enfin le procès des dégradants et odieux communistes Khmers rouges qui rêvaient du grand soir socialiste s'est ouvert,le mardi 17 février par une comparution de celui qui est considéré comme l'ex-tortionnaire en chef du régime communiste de Pol Pot, Kaing Guek Eav, plus connu sous le nom de « Douch ». Converti au christianisme, il demande aux victimes de lui pardonner. Quelque deux millions de personnes, soit environ un quart de la population cambodgienne, sont mortes sous le régime du camarade communiste  Pol Pot (Formé à Paris par le parti communiste Français) qui a fait régner la terreur de 1975 à 1979.

Rarement procès aura connu autant d’écho. Sans doute parce que, à l’instar du nazi Adolf Eichmann ou de la multitude des « coupeurs » rwandais, le cas du communiste Kaing Guek Eav, alias « Douch » (prononcer « Douït »), 66 ans, soulève à nouveau le problème de la « banalité du mal absolu socialo communiste » que Hannah Arendt a su si bien décrire. Avec ses cheveux poivre et sel et ses fines lunettes, Douch a, il est vrai, une allure tout à fait « convenable » Il a même un avocat français, Maître François Roux un « avocat » du même acabit que Vergès un  alter-comprenant gauchiste et marxiste culturel qui se caractérise par sa conception « différente » « autre » de la réalité communiste.

François Roux : sous la robe, le militant marxiste des « droits » de l'Homme sans devoirs et défenseur et complice des militants « désobéissants civils » et autre délinquants antisémites et actuels malfaiteurs communistes ; vraiment qui se ressemble s’assemble.

François Roux est membre du comité de parrainage du très bidon « Tribunal » d’opinion Russell sur la Palestine dont les travaux (Véritables procès de Moscou) ont commencé le 4 mars 2009.
Kaing Guek Eav, ou « Douch » le criminel contre l’humanité communiste aurait été dans sa jeunesse professeur de mathématiques. Et depuis son arrestation, en 1999, il avait passé parait il beaucoup de temps à lire de la poésie. Les chants de Maldoror peut-être ?  Comme le qui lui convient parfaitement comme il convient aussi à Vergès ou Roux :
«  Lecteur, c'est peut-être la haine que tu veux que j'invoque dans le commencement de cet ouvrage! Qui te dit que tu n'en renifleras pas, baigné dans d'innombrables voluptés, tant que tu voudras, avec tes narines orgueilleuses, larges et maigres, en te renversant de ventre, pareil à un requin, dans l'air beau et noir, comme si tu comprenais l'importance de cet acte et l'importance non moindre de ton appétit légitime, lentement et majestueusement, les rouges émanations? Je t'assure, elles réjouiront les deux trous informes de ton museau hideux, ô monstre, si toutefois tu t'appliques auparavant à respirer trois mille fois de suite la conscience maudite de l'Éternel ! »
Douch, chef de la prison S21 où 15.000 personnes ont été torturées avant d'être exécutées, est condamné à trente ans de prison en juillet 2010.
L’histoire des régimes et des partis communistes, de leur politique, de leurs relations avec leurs sociétés nationales et avec la communauté internationale, ne se résume pas bien sur à cette dimension criminelle, ni même à une dimension de terreur et de répression. En URSS et dans les «démocraties populaires» après la mort de Staline, en Chine après celle de Mao, la terreur s’est atténuée, la société a commencé à retrouver des couleurs, la «coexistence pacifique» – même si elle était «une poursuite de la lutte de classe sous d’autres formes» – est devenue une donnée permanente de la vie internationale. Néanmoins, les archives et les témoignages abondants montrent que la terreur a été dès l’origine l’une des dimensions fondamentales du communisme moderne et qu’elle est toujours une dimension fondamentale du MC (Marxisme Culturel). Abandonnons l’idée que telle fusillade d’otages, tel massacre d’ouvriers révoltés, telle hécatombe de paysans morts de faim, n’ont été que des «accidents» conjoncturels, propres à tel pays ou à telle époque. Notre démarche dépasse chaque terrain spécifique et considère la dimension criminelle comme l’une des dimensions propres à l’ensemble du système communiste, durant toute sa période d’existence.

Le mouvement de la « paix » se taira encore en décembre 1979 quand en Afghanistan après l'élimination du président Taraki, que remplace Hazifullah Amin, les communistes progressistes d'URSS, qui disaient répondre à une demande de Kaboul, interviennent en faisant traverser la frontière afghane à leurs troupes de la paix en décembre 1979. Un « homme de confiance » (Formé à Moscou) des marxistes Soviétiques, Babrak Karmal, prendra la tête du pays. Cette intervention soulèvera la réprobation dans plusieurs pays qui adopteront des sanctions économiques ou boycotteront les Jeux olympiques de Moscou, à l'été 1980, en guise de représailles. Les troupes soviétiques quitteront l'Afghanistan en février 1989, laissant derrière elles des milliers de morts et une rébellion qu'ils n'ont jamais réussi à écraser.
Le mouvement de la « paix » se taira encore et toujours quand le noir raciste albophobe, antisémite, génocidaire et communiste Robert Mugabe au Zimbabwe soutenu par l'Internationale socialiste et aujourd’hui en 2014 par l’Union Européenne (7) les fameux « progressistes » de gauche ! Après avoir soutenu Lénine et Staline, normal de continuer à soutenir des « amis » des « peuples » ! (Bonjour au Merdeux Racistes Antisémites Pestilentiels)

Ah ! Quelle belle réussite du communisme au Zimbabwe avec l’ albophobe « Comrade » Bob. Depuis qu’il a viré les blancs en les massacrants sauvagement, le pays a plongé dans la misère la plus noire (sans jeu de mots) et l’espérance de vie a chuté à… 37 ans.

Le beau régime « marxiste » de Robert est pointé du doigt (Juste pointé du doigt ! Vilain garçon va !) par la collectivité internationale et par des organisations telles qu'Amnesty International, (Et là, il faut en faire pour que ces « gens » là, bougent leur gros cul de marxistes culturels) pour « atteintes massives » aux droits de l'homme, à la liberté d'opinion et à la liberté de la presse. J’aime bien les citations, alors je ne résiste pas à vous en donner une bonne de notre bon « camarade » Robert : En mars 2003, il déclarait « Hitler avait un seul objectif : la justice pour son peuple, la souveraineté pour son peuple, la reconnaissance de l'indépendance de son peuple et ses droits sur ses ressources. Si cela c'est Hitler, laissez-moi être le décuple de Hitler (If that is Hitler, then let me be a Hitler tenfold. That is what we stand for.). Quand je vous dis que l’amitié entre les « peuples » c’est beau comme Mein Kampf ! (Bonjour à mes « amis » du MRAP).

Tout le problème du Mouvement de la « paix » vient qu’il s’exprimait jusqu'à la chute de l’URSS à travers une dialectique contraignante : tenter de créer un mouvement de masse mondial universel, mais également soutenir la politique étrangère soviétique. Plus le temps passait, plus la balance penchait vers ce second objectif.
Mais aujourd’hui la balance penche très dangereusement vers le racisme antisémite et la haine avec le soutient du mouvement de la paix, du MRAP et des abrutiles du CCFD Terre Solidaire à la campagne antisémite BDS. Voir ici

La lutte ou militantisme pour la «paix» mâtinée d’antimilitarisme vise aussi à détruire une force d’ordre et surtout à inhiber et délégitimer les défenses de l’occident contre les agressions extérieures.
Une constante dans les approches des mouvements marxistes culturels, qu’ils soient rouges ou verts, montre qu'ils se servent des techniques de guerre psychologique, utilisant en particulier la distorsion sémantique. Ils renversent ainsi les contenus des termes : transforment les victimes en assassins, les délinquants en « jeunes défavorisés», les immigrés clandestins en « sans papiers », les atteintes à nos lois civiles en « droit d’expression».

Un exemple : Un citoyen, laïc et républicain.
Décodage : Citoyen= camarade Laïc = communiste
République = dictature du prolétariat
Liberté, égalité, fraternité.
Décodage : Liberté : essentiellement pour les communistes
Égalité= distribution en part égales à la nomenklatura ou aux fameuses « Associations » du style Mrap de l’argent du peuple
Fraternité : Seulement entre les Kamarades ou les « Frangins » du GO.

Dans son célèbre roman 1984 (Nineteen Eighty-Four) publié en 1949, dénonçant le communisme, George Orwell un temps tenté par les « idées marxistes » et dégoûté par la « guerre » d’Espagne écrira : « La guerre c’est la paix », « La liberté c’est l’esclavage » et « L’ignorance c’est la force » renversement des contenus et des termes, pure distorsion sémantique préfigurant le marxisme culturel d’aujourd’hui. Pour les communistes et leurs « compagnons de route », héritiers en cela d’une longue tradition, la guerre c’est vraiment la « paix » : la paix, en effet, ce rêve des peuples, ne s’obtient et ne s’est jamais obtenu que par un combat, souvent acharné, contre la guerre et les fauteurs de guerre qui sont évidemment les fameux « impérialistes », car pour eux évidemment la guerre « est un phénomène social inséparable de l’impérialisme », lutter contre la guerre équivaut à « faire en sorte que le capitalisme soit détruit avant qu’il ne puisse [en] déclencher une nouvelle », d’où il ressort que les communistes, qui ne sont pas des pacifistes, ont pour objectif de constituer « un véritable front organisé de la paix […] pour museler ou éliminer par la « guerre » les fauteurs de guerre ! CQFD

Grâce à cette utilisation parfaitement maîtrisée du langage et la déviation des contenus, les marxistes culturels pratiquent une « Guerre asymétrique », arrivant ainsi à mettre la presque totalité de l’opinion publique de leur côté, en imposant une langue de bois totale, en éradiquant tout esprit critique par son interdiction de s’exprimer ( Qui ne serait pas d’accord avec des « idéaux » de « paix » « d’humanisme » de « progressisme » ou « d’antiracisme » sauf peut être si l’on sait que le Mouvement Français contre le « racisme » ou MRAP, allié au Mouvement de la « Paix » distille de la haine des juifs ! Faire appel à l’émotionnel est une technique classique pour court-circuiter l’analyse rationnelle, et donc le sens critique des individus. De plus, l’utilisation du registre émotionnel permet d’ouvrir la porte d’accès à l’inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements. Tous les mouvements révolutionnaires, du bolchevisme, au castrisme, en passant par les mouvements néo marxistes du type Mrap, Mouvement de la Paix, LDH ou islamistes actuels ont pratiqué ou pratiquent ces méthodes nauséabondes, avec des succès totalitaires certains, car cela reste un des objectifs du marxisme, l’Internationalisme et la destruction des nations et des religions en les instrumentalisant, comme par exemple le soutien inconditionnel à la défense des spécificités de la religion islamique a cause de la laïcité et en profiter pour faire interdire tous les symboles « religieux ».

L’interdiction d’exposer une idée, une pensée, revient à faire totalement disparaître l’esprit critique de manière à pouvoir par la suite imposer ses propres modes de pensée. Ces mouvements s’accommodent très mal de la liberté d’expression de nos démocraties, libertés individuelles qui permettent quand même de déjouer leur rhétorique perverse et d’en démonter les constructions.


Ainsi, de soi-disant méthodes scientifiques cognitives totalement détournées de leur origine et de leur but leur permettent d’essayer de bloquer toute dénonciation de faits qui leur déplaît, comme une infraction grave à une loi civile en vigueur. Par exemple, un meurtre commis sur une jeune fille n’a plus le droit de s’appeler lapidation … car ce serait stigmatiser et utiliser l’émotion... Pourtant, et quoique que prétendent ces cyber manipulateurs, un meurtre commis par des lancers de pierre reste une lapidation dans la définition française de ce terme.

Le refus de voir dénoncer ces crimes odieux permet à ces cyber manipulateurs de les légitimer, quels que soient les motifs pour lesquels ils sont causés.

Or, seule leur dénonciation, en utilisant les termes adéquats, permettra de les faire diminuer, à la fois en décrivant leur horreur, et en expliquant pourquoi certaines habitudes barbaresques sont totalement contraires à nos lois civiles, même si elles conformes à d’autres us et coutumes.

Alors je suggère à ces cyber manipulateurs marxistes culturels du Mouvement de la « paix », du MRAP, du CCFD Terre solidaire, de lire les théories sur la Guerre asymétrique, mais compte tenu de leur maîtrise du sujet, je ne peux que penser qu’ils l’ont déjà fait. Et par contre, je rappelle ci-dessous à mes lecteurs que ces techniques ont TOUJOURS été utilisées dans le but d’imposer des vues totalitaires, interdisant toute émergence d’esprit critique et d’opposition. La suite se traduit en général par une propagande officielle et mensongère que nul n’a plus le droit de contredire.

Il y a suffisamment de pays sur la planète qui sont ou ont été les victimes de ces méthodes ou de ces régimes politiques, pour les prévenir , les décrypter , les bloquer quand nous les voyons apparaître , et c’est bien que qui se passe aujourd’hui avec les cyber manipulateurs, soi-disant défenseurs d’une pensée politiquement correcte universaliste marxiste culturelle qui interdit la dénonciation des faits dérangeants …

Car les plus grands dangers pour nos démocraties proviennent bien de ceux qui veulent nous faire taire par n’importe quel moyen .

Dans le marxisme traditionnel, le pouvoir du socialisme est garanti par la dictature du prolétariat sur les autres classes. Dans le marxisme culturel, une autre classe est chargée de maintenir la dictature sur la société, elle est composée de pseudos intellectuels souvent autoproclamés, de journalistes, de leaders d’opinion, de militants ou de présidents d’associations auto proclamée « antiracistes » et même de politiciens qui sont chargés de faire appliquer cette ligne du parti et de diffuser l’idéologie bien-pensante. La dictature du prolétariat est devenue la dictature du bien-pensariat. Ce « bien-pensariat » utilise ses positions d’influence pour faire avancer son agenda consistant à promouvoir leurs « vérités » et le « bien » par le mensonge et la culpabilisation. Ceux qui s’opposent à ces « vérités » ou à ce « bien » sont immédiatement victimes de la version moderne de l’inquisition, c'est-à-dire la vague de dénigrement et de calomnie politico médiatique qui ne permet que trois options : la « repentance », c'est-à-dire la conversion, la « mort », c'est-à-dire, l’ostracisme et la mort par l’oubli ou l’exil. Cette technique est exactement la même que celle qu’employait l’inquisition contre les juifs à qui on laissait trois choix : se convertir, rester et mourir ou partir pour survivre. Ainsi fut installée la tyrannie des minorités sur la majorité traditionnelle, préalable à la destruction de la substance des peuples d’Occident. Le Marxisme Culturel s'est ainsi imposé suivant une stratégie ébauchée en 1922 à Moscou, élaborée à Francfort, parachevée ensuite à New York. Avant de s'attaquer à l'Europe il a d'abord investi les grandes universités américaines puis toute la société. Sous le nom de Political Correctness il asservit maintenant tout l'Occident.
Je ne peux pas clore sur  le sujet du mouvement de la « Paix » sans parler d’une autre prétendue « lutte » inhérente à ce mouvement, comme à tous les mouvement marxistes culturels c’est à dire l'anti-impérialisme, qui est arrivée (Une grande victoire du marxisme culturel) à ce faire passer pour une idéologie qui suppose une opposition aux « guerres » de conquête. Une « guerre » contre la « guerre » !
Durant la Guerre froide, l'anti-impérialisme a été l'un des principaux thèmes de propagande marxiste culturel des plus aboutis sous les ordres de l'URSS, de la République populaire de Chine, de Cuba, des divers partis communistes notamment Français et des autres pays communistes. Ce faux « anti impérialisme » ; pourquoi faux me direz vous ? Faux bien sur, par ce que les marxistes étaient de vrais impérialistes visant la domination mondiale de leurs thèses collectivistes nauséabondes avec de vraies guerres de conquête (Tchécoslovaquie, Viet Nam,Cuba, Corée, Angola etc. etc.)
Par la suite, alors que le processus moderne de mondialisation débutait, de nombreux « anti-impérialistes » le considérèrent comme une nouvelle forme d'impérialisme fondée sur la domination économique plus que sur la conquête militaire. Ainsi les faux anti-impérialistes marxistes culturels commencèrent à former une opposition forte à la mondialisation et fut une des branches qui donna naissance au mouvement actuel appelé alter mondialisme ( C'est-à-dire un autre mondialisme : marxiste bien sur !) en France les mouvements marxistes culturels tel le très antisémite MRAP fondèrent l’organisation altermondialiste créée en 1998 ATTAC à l'origine des initiatives marxistes culturelles du Forum social mondial de Porto Alegre et des forums « sociaux » européens.

Le mouvement de la « Paix » comme on l’a vu est un pur mouvement marxiste culturel se disant alter mondialiste c'est-à-dire impérialiste internationaliste belliciste et marxiste participant essentiellement à la « guerre » contre l’«impérialisme américain» qui vise à détruire le pays qui est devenu le centre idéologique et le bras armé de l’occident. À noter qu’en France, les marxistes culturels exploitent le ressentiment et la jalousie des élites françaises par rapport aux succès du monde anglo-saxon qu’elles sont incapables d’égaler entre autres, à cause de leur incapacité à combattre le marxisme culturel.
L’anti-impérialisme n'est pas une idéologie exclusivement marxiste, mais  la grande majorité des marxistes sont anti-impérialistes américains. Le marxisme voit l'impérialisme américain comme la domination économique des états unis sur d'autres (plutôt qu'en premier lieu une domination militaire ou politique, bien qu'elles soient liées). Karl Marx ne développait aucune théorie particulière sur l'impérialisme, bien qu'il s'opposât à l'exploitation de l'Inde par l'empire britannique. En 1916, le criminel contre l’humanité Lénine clame que l'impérialisme est « la forme la plus évoluée du capitalisme », que l'impérialisme représente le capitalisme à l'échelle mondiale, en opposition au capitalisme à l'échelle nationale qui avait été employé auparavant. Cette théorie sur l'impérialisme en tant que forme la plus évoluée du capitalisme est un des fondements du marxisme culturel.

On a déjà vu que la guerre pour les marxistes culturels est considérée comme une « méthode » pour étendre les intérêts dit «impérialistes ». Ainsi les marxistes considèrent  l'antimilitarisme et l'opposition aux guerres comme étant partie intégrante de l'anti-impérialisme.
En 1947, lors de la première réunion du Kominform, le délégué soviétique Andreï Jdanov sous les ordres de Staline, convaincu comme on l’a vu  par l’allemand, cadre de l'Internationale communiste, l’ami de Lénine et théoricien du marxisme culturel Willi Münzenberg, (Manipulateur et stratège génial, Münzenberg à réussi à imposer le communisme comme la seule véritable forme d’opposition au Socialisme National. Pour cela il manipule des « intellectuels » et « artistes » occidentaux qu'il appelle ses innocents, (Lénine les appelaient des idiots utiles aujourd’hui devenus des abrutiles) à savoir: Dos Passos, George Grosz, Malraux, Gide, Brecht, Hemingway, Aragon, Sinclair Lewis, Dashiell Hammet, Romain Rolland. Le « camarade » Andreï Jdanov présente le monde comme divisé entre un camp (le monde non communiste) « anti-démocratique ( ?) et impérialiste » et un autre (le monde communiste) « anti-impérialiste et démocratique ( ?) ». Cette conception, qui théorise encore aujourd’hui la division du monde en deux camps opposés, est ensuite connue sous le nom de doctrine Jdanov, ce 3e secrétaire du Parti communiste de l'Union soviétique le camarade Jdanov l’a proclamée le 22 septembre 1947 il y affirmait que les « pacifistes » (Sans rire) étaient les communistes !

Georges Cogniot (1901-1978) un « intellectuel » normalien, agrégé, fera toute sa carrière au PCF, formé à Moscou à l’école du crime socialiste, on le verra à l'Internationale des Travailleurs de l'Enseignement (I.T.E.). On le verra aussi comme représentant de l'I.T.E. à Vienne, Leipzig, Bruxelles, Liverpool, Anvers, etc. etc. Sous les ordres d’Eugène Fried, véritable patron du Parti communiste français de 1930 à 1939, il est nommé à Moscou auprès du Comité exécutif de l'Internationale communiste (Komintern), il y restera de septembre 1936 à octobre 1937 ou il sera formé aux « idées » de Willi Münzenberg à savoir : « Organiser les intellectuels et se servir d'eux pour pourrir la Civilisation Occidentale jusqu'à ce qu'elle pue ». On peut dire qu’aujourd’hui les marxistes culturels ont réussis en France au-delà de leurs espérances les plus folles, France schlingue la merde rouge à plein nez !
Pour cela Cogniot va dans un premier temps créer avec l’argent de Moscou en 1939 une revue pluridisciplinaire, La Pensée ( De Lénine ?) revue marxiste à destination de « l'intelligentsia » (Entendre abrutiles) destinée à la première propagande marxiste culturelle qui se fixait l'objectif de diffuser et défendre le marxisme parmi les « Intellectuels ». Le premier numéro paraît en juin 1939. Le sommaire comprend notamment Paul Langevin, professeur de physique générale et expérimentale au Collège de France, membre du Parti communiste français et Georges Politzer né en Hongrie théoricien marxiste vient aussi Marcel Prenant, zoologiste et parasitologiste français, un gros niais, militant communiste actif, chargé par le Parti d'animer une université « Ouvrière » dés 1931. Puis membre du comité central du Parti communiste ou il est le seul biologiste il est amené à examiner les thèses anti-génétiques du camarade Lyssenko (Un agronome à l'origine d'une théorie génétique pseudo-scientifique qu'il parvint à imposer en Union soviétique. Ses thèses sur l'agriculture lui valurent le titre de héros de l'Union soviétique et lui permirent de dominer la recherche biologique en URSS, jusqu'à son discrédit total dans les années 1960) Or, ayant lui-même défendu l'idée que le néo-darwinisme était parfaitement compatible avec l'imbécile idéologie du matérialisme dialectique et, à l'inverse d'autres intellectuels non scientifiques mais tout aussi imbéciles, comme le camarade agent de Moscou Louis Aragon, restant critique à l'égard des contrevérités scientifiques imposées par le système communiste il ne montre guère d'enthousiasme à soutenir la « science populaire » ainsi prônée par le « lyssenkisme ». Au XIIe Congrès du PCF en 1950, il se verra écarté du Comité tout comme Jean Chaintron). Aussi au sommaire, le fils (Pistonné ?) du député communiste Virgile Barel, Max Barel polytechnicien ingénieur dans des ateliers de construction électrique à Villeurbanne. La pensée de 1944 à 2007
Ayant repris en 1944 la rédaction en chef de l’organe de propagande rouge L'Humanité, Cogniot est en 1948, un des «  représentants » (Agent de Moscou) du PCF au Comité d'information des partis communistes, le Kominform, l'organisation centralisée du mouvement communiste international dans la période de 1947 à 1956 et successeur du Komintern. Yves Farge fondateur de Mouvement de la « Paix » Français, était lui aussi un des agents communistes recruté par Jdanov au Kominform.
La création du Kominform par Staline apparaît avec la continuation de la stratégie marxiste culturelle mais aussi comme une réponse au plan Marshall américain, refusé par les démocraties ( ?) populaires d'Europe orientale (sous la pression soviétique).
Georges Cogniot en 1945, à l’occasion du 10ème Congrès du PCF, intitulé « Les intellectuels et la Renaissance française » poursuivra sa propagande de la nébuleuse de la haine rouge pour l’édification du marxisme culturel avec la première intervention de l’après-guerre ayant trait au justement au domaine culturel ; les « intellectuels » y étaient appelés à prendre part, aux côtés du PCF, à la « reconstruction » de la France.
Je ne peux décidément pas m’abstenir de parler d’un autre agent de Moscou, typique de l’intellocrate marxiste culturel conscient et manipulé, vice-président, de 1954 à 1956 de l’association France URSS, (André Blum dit Blumel un marxiste sioniste ( Il y en a eu) premier président du MRAP de 1949 à 1953  en sera le président délégué) créée en janvier 1945 à Paris et dissoute en février 1992, membre du Conseil mondial de la paix, Jean-Paul Sartre (8) recruté en 1952 par Youri Krotkov du KGB comme agent soviétique.
L’affaire est connue depuis Novembre 1969 (soigneusement dissimulée au public Français, pourtant, il n’était plus temps de désespérer Billancourt) ou le transfuge soviétique Youri Krotkov (Source en anglais) a témoigné devant le Sous-comité sénatorial américain sur la sécurité intérieure. On sait maintenant que Sartre était un agent soviétique et que Krotkov était son « officier traitant » quand il travaillait comme contrôleur du KGB.
Au premier Congrès mondial des intellectuels pour la paix de Wroclaw (25 au 28 août 1948), le crétin rouge Sartre subira les attaques de « l’écrivain » et courroie de transmission de Staline Alexandre Fadeïev, qui traitera Sartre de « chacal muni d'un stylo » et de « hyène dactylographe ».
Plus tard le raciste pédophile Sartre converti par obligation à l’idéologie marxiste participera à sa mouvance : il prendra entre 1952 et 1956 la présidence de l'Association communiste France-URSS et deviendra membre du Conseil mondial de la paix (sic).
Evidemment à partir de là, celui qui prétendait être du côté du «peuple» a soutenu les pires bourreaux des peuples, les communistes Castro Staline et Mao. Et quand les cris de dizaines de millions de victimes parvenaient, il se bouchait les oreilles. La vie de Sartre, une longue et pitoyable imposture au service des pires dictateurs méga-assassins !

Notes.


(1) Le 22-11-2014 :  Le mémorial « Passerelle de la Liberté », dédié aux victimes du rideau de fer, a été dévoilé ce vendredi près de la ville de Mikulov, située au sud de la République tchèque à côté de la frontière autrichienne. Le mémorial représente cinquante-trois stèles en fer, dont chacune porte le nom d’une personne, qui a trouvé la mort en essayant de passer la frontière tchéco autrichienne pendant le régime communiste. Les personnes, dont les tentatives de passages de l’autre côté du rideau de fer ont échoué et qui n’avaient pas seulement été que des Tchèques et des Slovaques, mais aussi des Allemands et des Polonais, ont été victimes de mines, tuées par des gardes-frontières ou électrocutées par des barrières. Le mémorial, dont l’auteur est l’architecte Tomáš Pilař, a été financé par l’Association civique « Mémoire » en coopération avec deux villes autrichiennes, Laa an der Thaya et Poysdorf, et l’Union européenne. Ni le PCF, ni le MRAP des Landes ou d’ailleurs et le CCFD terre solidaire n’ont participé à la cérémonie ! Le bilan des exécutions sur le rideau de fer est pourtant choquant même pour des partisans de la « Paix » communistes !: 282 personnes mortes, dont 145 fusillés, 5 pilotes abattus, 96 fugitifs morts dans des fils électriques... Outre les citoyens tchécoslovaques, 90 ressortissants de pays étrangers y ont trouvé la mort : Polonais, Autrichiens, et aussi un Français et un Marocain (Ce qui devrait particulièrement concerner le MRAP des Landes et le Mouvement de la Paix qui les fait défiler dans les rues de Mont de Marsan en soutient au Hamas et aux terroristes arabes palestiniens Source) Ce Français et ce Marocain étaient probablement des touristes qui ont voulu voir de leurs propres yeux ce que c'est que le Rideau de fer. C'est le cas aussi du touriste allemand Johann Dick qui se promenait en 1986 à 200 mètres de la frontière et qui a été tué sur le territoire allemand. Les dernières victimes, Brigit et Jens Wenda de l'ancienne RDA, ont trouvé la mort, noyés dans le Danube, le 24 septembre 1989, lors de leur tentative de passer en Hongrie. La liste qui vient d'être publiée est la première où la mort de chaque personne est documentée par les données des archives. Le mouvement de la Paix est étrangement silencieux à ce sujet et au sujet du criminel contre l’humanité communiste (pléonasme) Erich Honecker secrétaire du NVR et chef de la STASI qui le 1er octobre 1973  ordonnera et précisera aux VOPOS du mur de Berlin : «N’hésitez pas à faire usage de votre arme à feu, même en cas de violation des frontières par des femmes et des enfants, souvent utilisés par les traitres ». 133 personnes ont péri en tentant de franchir le mur à Berlin entre 1961 et 1989, dont sept enfants de moins de 16 ans. Le mouvement de la « paix » à toujours été silencieux sur ce sujet, alors qu’il est constamment préoccupé par les femmes et les enfants des terroristes du Hamas de Gaza.

(2) Géographie, communisme et espionnage pendant la Deuxième Guerre mondiale: Sándor et Lena Rado et la Rote Drei. Par Mike Heffernan (Université de Nottingham).
Traduit de l’Anglais.
 « Ce document examine comment la géographie et la cartographie ont été impliqués dans des activités de propagande et de renseignement internationales de l'Union soviétique pendant la Seconde Guerre mondiale, avec une référence particulière au géographe hongrois Sándor Radó et sa femme allemande Lena. Le Rado prétendus journalistes communistes et cartographes se sont rencontrés et sont tombés amoureux tout en travaillant comme bénévoles au Komintern dans les début des années 1920, après quoi ils se sont embarqués dans des carrières secrètes et périlleuses d’espionnage, de propagande et de renseignement en tant qu’agents soviétiques dans différentes villes européennes au cours des 25 prochaines années. Leurs activités de propagande ont été menées par les agences cartographiques financées Moscou et réalisés par Sándor à Vienne, Berlin et Paris, chacune spécialisée dans la production et la distribution de cartes de presse. Après le déclenchement de la Deuxième Guerre mondiale, le couple est à Genève alors neutre où Sándor dirigé une autre agence de nouvelles cartographique soutenu par les Soviétiques, Geopress, tout en coordonnant le réseau d'espionnage Rote Drei travers laquelle les renseignement militaires recueillis par les agents communistes de la Rote Kapelle dans l'Allemagne nazie a été transmis à Moscou. Toutefois, les activités de Sándor au nom de l'Union soviétique se termineront tragiquement au Caire où il a fait une tentative infructueuse pour convaincre le renseignement britannique de faciliter son évasion du contrôle soviétique en route vers Moscou peu avant la fin de la guerre, un épisode controversé qui a conduit à son incarcération de 10 ans dans un camp de travail soviétique. S’appuyant sur des sources inédites, y compris les fichiers de renseignement récemment libérés de Colombie, des archives allemandes et suisses, le document souligne les connexions précédemment non examinées entre la géographie, le journalisme politique, la propagande communiste, et l'espionnage soviétique, tout en soulevant des questions sur la relation entre la géographie et la biographie. Il fait valoir que les carrières dans la géographie et la cartographie creusées par Sándor et Lena Radó ont facilitées simultanément leur rôle de propagande et de renseignement des agents soviétiques en Europe occidentale avant et pendant la Seconde Guerre mondiale, tout en offrant une couverture plausible et respectable derrière laquelle leurs activités pourrait être dissimulée. »
Né Alexander Radolfi à Budapest, Hongrie, Sandor est le fils d'un riche homme d'affaires. C’est à l'Université de Budapest, qu’il a rejoint le Parti communiste en 1919.
Ayant pris part à un coup d'Etat contre le gouvernement Hongrois qui a été réprimé rapidement Rado a fui vers la Russie. Il c’est marié à une communiste Hélène Jensen dite Lena une allemande en exil en Russie.
Formé par le NKVD en 1931 il a été affecté en poste à Berlin, travaillant sous la couverture d'un commis à l’ambassade de Russie. Il fourni des informations sur la position et le renforcement du parti socialiste national à Berlin et a aidé à organiser des manifestations et soulèvements violents contre les socialistes nationaux par des membres du Parti communiste. Le traitre américain Howard Hansen (ici) qui faisait partie d'une division spéciale appelée l'Unité Rouge, créé pour débusquer les sympathisants communistes pendant la Red Scare (Peur des rouges aujourd’hui on dirait communistophobie) avait vendu des informations à Rado.
En 1934, il a été affecté au poste d’analyste pour le Service d'enquête navale, avec des autorisations spéciales et l'accès à des matériaux sensibles. Il a souvent partagé certaines de ces informations avec des confidents et connaissances.
Il rejoint le GRU (service de renseignement de l’armée soviétique),  en 1936 et est posté en Suisse grâce à Rudolf Roessler, en tant que directeur résident pour l'intelligence soviétique (Le NKVD) dans le pays. Rado construit un réseau très réussi d'espions rouges nommé DORA (pseudonyme d'Alexandre Radó). Les membres de son réseau incluait Ruth Kuczynski colonel du GRU (nom de code «Sonia») Ici et , Alexander Foote et Rachel Duebendorfer ( Nom de code Syssi »). Foote était en fait un agent britannique, mais il a aidé à transmettre des renseignements à Rado (Certain disent qu’il faisait partie du fameux «orchestre rouge mis en place par Leopold Trepper) parce que l'Union soviétique était un allié contre l'Allemagne dans la Seconde Guerre mondiale.
Le réseau d'espionnage DORA a fourni des informations à l'Union soviétique sur l'alignement militaire  des troupes allemandes. Certaines de ces informations ont été obtenues auprès Rudolf Roessler, qui dirigeait le réseau Lucy. Rado n’était pas au courant de son identité il lui fourbi des informations détaillées au sujet d'une invasion allemande de la Russie. Malgré des renseignements sur un autre espion soviétique Richard Sorge, le sanguinaire dictateur soviétique Joseph Staline a refusé de croire que Hitler avait en fait prévu une telle invasion.
Rado a été très apprécié pour la sophistication de son réseau et le niveau de fiabilité et de détail des informations fournies. À l'insu de Rado et des Soviets, la plupart des informations venaient de la Colombie, par Foote. La Colombie avait cassé le code Enigma et  pouvait donc lire les messages allemands. La Grande-Bretagne, cependant, ne voulait pas que les Soviétiques sachent qu'ils avaient résolu l’énigme et cassé le code Allemand et donc transmis des informations à Moscou par A. Foote  ici , Foote a donc passé des informations détaillées supplémentaires prouvant que l'armée allemande allait lancer une autre attaque contre la Russie. L'information était si détaillée que Staline c’est appuyé sur celle-ci cette fois et c’est défendu contre l'attaque allemande avec succès.

Même si le « camarade » Rado a conçu son réseau d'espionnage de belle façon, il était connu pour boire trop avec des habitudes de dépenses somptuaires. À l'insu de Rado, deux de ses agents étaient en fait des espions du troisième Reich. L’Allemagne, a donc menacé la Suisse neutre, exigeant que l'arrestation par le gouvernement suisse de Rado et de son réseau d'espionnage. La Suisse estimant qu'il n’y avait pas d'autre choix que d'arrêter les membres du réseau, de peur que l'Allemagne ne décide une action militaire obtempérât.

Après avoir fui avec Foote en  France, grâce à l’aide du camarade Farge il est ordonné à Rado de revenir à Moscou pour expliquer comment le réseau d'espionnage DORA a été fermé. Foote et Rado sont partis à bord d'un avion militaire russe le 6 janvier 1945 (l'avion même qui avait ramené le traître et déserteur Maurice Thorez de Moscou à Paris). Rado a paniqué, pensant qu'il serait responsable de l'échec et donc mis à mort. Après avoir fait une escale au Caire, en Egypte, il s’enfuit, craignant les purges de Staline à l'encontre des Juifs en laissant ses « camarades » mais il a été retrouvé plus tard caché dans une chambre d'hôtel. Il a immédiatement été refoulé à Moscou ou il sera interné jusqu'à la mort de Staline. Bien qu'il ait été soupçonné d'avoir été exécuté, Rado refait surface en 1955 à Budapest, où il enseignait la cartographie à l'Université. Il est décédé le 20 Août 1981.

(3) La Corée était une colonie japonaise depuis 1910, l'antique royaume de Corée avait été libéré conjointement par les Soviétiques et les Américains en 1945. Comme convenu à la conférence de Yalta, les deux vainqueurs partagent le pays en deux zones d'occupation avec une séparation sur le 38e parallèle. Mais la guerre froide, qui éclate presque aussitôt, fait de cette ligne artificielle un lieu de grande tension internationale.
L'ONU a donc entériné la création de deux États distincts en 1948 :
- La République démocratique populaire de Corée (Corée du nord, capitale : Pyongyang), dirigée avec une poigne de fer par le secrétaire général du Parti des travailleurs (communiste), Kim Il-sung (38 ans). 
- La République de Corée, au sud (capitale : Séoul), dirigée de façon au moins aussi autoritaire par Syngman Rhee (75 ans).
Le jour même de l'attaque nord-coréenne le 25 Juin 1950, le président américain Harry Truman saisit l'Organisation des Nations Unies (ONU). La jeune instance internationale joue sa crédibilité sur ce conflit. Aussi le Conseil de sécurité ne se fait-il pas prier pour condamner l'agression et annoncer la mise en place d'une force internationale pour rétablir la paix dans la région. Aucune condamnation de l’agression communiste ne fut faite par le mouvement de la « Paix » !
Cette décision a été rendue possible par l'absence des Soviétiques qui, depuis plusieurs mois, boycottaient le Conseil de sécurité.
Un corps expéditionnaire sous les ordres du général Douglas MacArthur (70 ans) débarque dans la péninsule et préserve de l'invasion une tête de pont à Pusan, au sud-est. Le général lance sa contre-offensive le 15 septembre, reprend Séoul le 2 octobre, repousse les envahisseurs vers le nord, franchit le 38e parallèle et atteint en un mois la frontière avec la Chine.
Dans une situation désespérée, les Nord-Coréens reçoivent l'appui d'innombrables «volontaires» venus de Chine où une révolution communiste a triomphé quelques mois plus tôt. Six armées chinoises d'un total de 180.000 hommes franchissent le Yalou, le fleuve qui sépare la Corée de la Chine.
Le 26 novembre 1950, c'est au tour des Nord-Coréens et de leurs alliés chinois de reprendre l'offensive.
Incapable de faire face à ces brusques vagues d'assaut, le corps expéditionnaire de l'ONU doit se replier au sud du 38e parallèle et au prix de nombreux efforts, arrive à se rétablir sur l'ancienne ligne de démarcation. La Chine est condamnée par l'ONU.
Mais le général MacArthur ne se satisfait pas de cette condamnation diplomatique et réclame une intervention aérienne contre les bases arrière des Nord-coréen situées en Mandchourie, de l'autre côté de la frontière avec la Chine.
Dans les médias, il recommande rien moins que de larguer vingt ou trente bombes atomiques sur la Mandchourie pour établir une barrière radioactive qui coupe la péninsule coréenne de la Chine.
Le monde tremble. Dans les villes d'Occident, les manifestants envahissent les rues et font signer l'«appel de Stockholm». Cette pétition d'inspiration communiste, rédigée sous l'égide du savant Frédéric Joliot-Curie, a été lancée le 19 mars 1950, peu avant le déclenchement du conflit de Corée.
Au grand soulagement de l'opinion internationale, le président Truman rappelle le turbulent général le 11 avril 1951 et le remplace par le général Matthew Ridgway (56 ans) qui s'en tiendra sagement à une guerre de positions conventionnelle.

(4) Quelques « décorés » des « prix » de la haine rouge ou : Le « Mouvement de la paix » nid d’espions ! :
Pierre Jules Cot, dit « compagnon de route » du Parti communiste (Autre nom de l’idiot utile) était en fait un agent communiste infiltré, fondateur, en 1936, du Rassemblement universel pour la paix.
Pierre Cot est justement accusé en 1936 d'avoir livré à l'U.R.S.S. des armements perfectionnés mis au point par la France, sans aucune contrepartie soviétique. Il tint également un grand rôle (Fondateur ?) dans le Rassemblement universel pour la paix (RUP) fondé en 1936, dont il fut le co-président, financé par une banque suédoise aux service des Soviétiques (C’est en fait Louis Dolivet agent du Komintern qui en fut le véritable fondateur et ce sous les ordres de Willi Münzenberg un des « inventeurs » du marxisme culturel. Il favorisa d’ailleurs la naturalisation de Dolivet dont il n'ignorait pas les activités. En 1938, Walter Krivitski, officier de la Guépéou ancêtre du NKVD et du KGB passait à l'ouest et désignait aussitôt Pierre Cot comme agent soviétique. À la même époque, André Labarthe, membre du cabinet de Pierre Cot avait été recruté par Moscou, ce qu'il avouera lui-même aux services secrets français en 1965 (les archives déclassifiées du projet Venona indiquent que Labarthe et sa secrétaire Martha Lecoutre ou Alta kac alias, Jansen, Malosczyk, Staschek, (La camarade Martha était membre du Rassemblement Universel pour la paix (RUP) section stratégique de l'Internationale syndicale rouge (ISR, ou Profintern Ici) Martha Jansen entre au service du RUP dès sa création, dans le dernier trimestre de 1935, elle est la protégée de Nicolas Chvernik ( Secrétaire général de l’union des syndicats de l’URSS) depuis son séjour à Moscou à l’école du crime communiste. Elle appartiendra à cette filière syndicale chargée de mettre en place le Front Unique (espèce de Front de Gauche de l’époque) voulu par les bolchéviques et que le RUP concrétisera avec les « pacifistes » comme le Front Populaire le fera sur le plan politique)  Labarthe et Lecoutre ont été des agents soviétiques connus à partir de l'été 1940). 
En 1953 Pierre Cot recevra sa sinistre « récompense » le fameux Prix du criminel contre l’humanité Staline (5) pour la « paix » (Toujours sans rire SVP)
Emmanuel d'Astier de La Vigerie, encore un des fameux « compagnons de route » du PCF, qui en 1947 épousera en secondes noces Lioubov Krassine, fille de Leonid Krassine, révolutionnaire bolchévique. Il fait partie de la présidence « collégiale » ou collectiviste (comme celle du MRAP d’aujourd’hui) du Mouvement de la Paix et du Conseil mondial de la paix dans les années 1950 et à ce titre reçoit lui aussi le Prix Lénine pour la paix ( Encore sans rire ! Merci pour le respect aux 150 millions de victimes de la « paix » éternelle marxiste)  en 1958.
Laurent Casanova, titulaire du Comité central du PCF (Politburo) dés juillet 1945, puis suppléant au Bureau national en juin 1947 et enfin titulaire en juin 1954, à l'occasion du XIIIe Congrès du PCF. Il aurait sois disant représenté le parti de la haine le PCF au sein du Mouvement de la paix, remplaçant ainsi Charles Tillon, disgracié en 1952.

Après les révélations du XXe Congrès du PCUS, le camarade Casanova devient représentatif au sein des instances dirigeantes du PCF d'un « courant favorable » dit  à un changement de style et de pensée plus ou moins « khrouchtchévien ». Il a le soutien de Khrouchtchev et obtient le prix Lénine international pour la paix en 1960. Le traitre et déserteur Stalinien Maurice Thorez parviendra à bloquer cet « aggiornamento  » et éliminera Casanova des instances dirigeantes en mai 1961, ainsi que Marcel Servin et Maurice Kriegel-Valrimont (XVIe Congrès du PCF). Nonobstant il aura avec  le soutien de Khrouchtchev le prix Lénine international pour la paix en 1960. 

(5) En 1952, un an avant sa mort, Staline écrit dans le cadre d’une discussion sur la publication d’un ouvrage sur l’économie marxiste un texte sur « les problèmes économiques du socialisme en URSS » (Ici) Extrait : Le mouvement actuel pour la paix se propose d’entraîner les masses populaires dans la lutte pour le maintien de la paix, pour conjurer une nouvelle guerre mondiale. Par conséquent, il ne vise pas à renverser le capitalisme et à instaurer le socialisme, — il se borne à des buts démocratiques de lutte pour le maintien de la paix. A cet égard, le mouvement actuel pour le maintien de la paix se distingue de celui qui existait lors de la première guerre mondiale, et qui, visant à transformer la guerre impérialiste en guerre civile, allait plus loin et poursuivait des buts socialistes.
Il se peut que, les circonstances aidant, la lutte pour la paix évolue çà et là vers la lutte pour le socialisme, mais ce ne sera plus le mouvement actuel en faveur de la paix, mais un mouvement pour renverser le capitalisme.
 Le plus probable, c’est que le mouvement actuel en faveur de la paix, en tant que mouvement pour le maintien de la paix, contribuera, en cas de succès, à conjurer une guerre donnée, à l’ajourner temporairement, à maintenir temporairement une paix donnée, à faire démissionner le gouvernement belliciste et à y substituer un autre gouvernement, disposé à maintenir provisoirement la paix. Cela est bien, naturellement. C’est même très bien. Mais cela ne suffit cependant pas pour supprimer l’inévitabilité des guerres, en général, entre pays capitalistes. Cela ne suffit pas, car malgré tous ces succès du mouvement de la paix, l’impérialisme demeure debout, reste en vigueur. Par suite, l’inévitabilité des guerres reste également entière.
Pour supprimer l’inévitabilité des guerres, il faut détruire l’impérialisme.

(6) Féminisme et anti-impérialisme
Les théories féministes sur les relations internationales se retrouvent souvent au sein de l'anti-impérialisme. Elles peuvent faire le lien entre le sexisme ou le patriarcat et la guerre et l'hégémonie en de nombreuses occasions : par exemple, rapprocher l'idée de masculinité et la dérive vers la guerre ou une théorie sur la manière dont l'être et l'autre sont construits qui mélange des notions occidentales récentes sur l'homme et la femme considérées comme sexistes avec d'autres notions occidentales marxistes culturelles sur l’Etat nation et l'étranger considérées comme racistes et colonialistes. Ou bien encore, la localisation de la cause de l’échec des responsables gouvernementaux quant à la résolution pacifique des conflits, ou à considérer les vues des autres à travers le prisme d'une idéologie qui analyse le caractère socialement construit des « qualités » généralement associées aux femmes, à savoir l'amour, l'empathie et la soumission. Ann Tickner et Cynthia Enloe sont des écrivains connus de ce mouvement.

(7) Le 05 novembre, 2014 L’Union européenne (UE) a annoncé le versement de 234 millions d’euros au régime criminel de Robert Mugabe au Zimbabwe. Le dictateur africain a mis en place durant des années une véritable politique génocidaire à l’égard des Blancs. En seulement cinq années, entre 2000 et 2005, 90 % des fermiers blancs ont été assassinés ou ont dû quitter le pays. Son parti avait d’ailleurs proclamé : « Tous les Blancs dehors avant 2005 ». Le dictateur a lui-même multiplié les annonces en ce sens :
« Notre parti doit continuer de faire entrer la peur dans le cœur de l’homme blanc, notre véritable ennemi »
« Le seul homme blanc que vous pouvez croire est l’homme blanc mort »
« L’homme blanc est ici comme le second citoyen : vous êtes en numéro un. Il est numéro deux ou trois. C’est ce qui doit être enseigné à nos enfants. »
Voilà à quel gouvernement l’UE va donner 234 millions d’euros volés aux Blancs d’Europe qui doivent déjà supporter sur leur propre sol l’ albophobie.
La politique raciste anti blanche ou albophobe avait conduit le Zimbabwe au chaos et à la famine. Ce sont donc désormais les Européens qui financeront les services publics dans ce pays qui déteste les Blancs, mais qui accepte volontiers leur argent. C’est d’ailleurs principalement au secteur de l’agriculture et de la santé, où les Blancs avaient réussi à faire du Zimbabwe un pays performant, que ces 234 millions seront dilapidés.
Depuis plusieurs mois, l’UE a multiplié les gestes envers la dictature, notamment en levant en 2013 l’embargo pesant sur la Zimbabwe Mining Development Corporation (ZMDC) qui commercialise les diamants trouvés dans le pays et permet ainsi au régime criminel de se maintenir, et à la mafia transnationale de s’enrichir sur le dos d’ouvriers noirs exploités. En février dernier, l’UE a autorité les visas et procédé au dégel des actifs de huit criminels proches de Robert Mugabe et d’une entreprise complice.

Entre 2002 et 2014, alors que le pays était censé être isolé, les Européens, par l’UE et les différents pays européens, ont été rackettés à hauteur de 1,5 milliard d’euros pour financer le régime criminel de Robert Mugabe.

(8) En partie 5

A suivre en Partie 5.

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