mercredi 21 janvier 2015

Le marxisme culturel par l’exemple. 5a


Note (8) Jean Paul Sartre.

Jean-Paul Sartre et Simone de Beauvoir en 5b pour faire bon poids (Eh eh, je vous gâte non ? Bande de petits filous !)



Honneur et fierté au raciste Jean-Paul Sartre: Marxiste culturel, abrutile antisémite pédophile pédéraste et raciste, n’a t il pas écrit : «  La raison n'est pas noire ».
 
Néanmoins je dois dire un grand merci à ce feu et poussiéreux branquignolesque communiste Sartre qui à fait de moi un cynique, en ayant éructé en 1952 : « Tout anti-communiste est un chien » ! De l’anti communisme primaire et viscéral à l’éthique cynique d’un chien libertarien et fier de l’être, devenu sous chien par la grâce d’une petite raciste arabe et albophobe, il n’y a qu’un pas.
Depuis Novembre 1969, ou le transfuge soviétique Youri Krotkov a témoigné devant le Sous-comité sénatorial américain sur la sécurité intérieure on sait que Sartre était un agent soviétique et que Krotkov était son « officier traitant » quand il travaillait comme contrôleur du KGB.
L’agent de propagande soviétique et pédéraste Jean-Paul Sartre est né à Paris, en France le 21 juin 1905 chez sa tante par ce que sa mère n’était pas là, il est crevé le ténia, cette vomissure marxiste culturelle, toujours à  Paris, en Bamboulerie Francarabia le 15 avril 1980 ; c’était un intellocrate cocu drogué et pédophile, un pervers auto proclamé « philosophe » alors qu’il n’était qu’un doctrinaire marxiste culturel, un traître à sa patrie, un espion rouge, un plumitif stalinien pédophile et un chieur d ’encre s’ auto proclamant « dramaturge » et aussi sois disant critique du XXe siècle dont la vie de marxiste culturel drogué et d’abruti alcoolique, idiot utile dit : « d'intellectuel engagé » a suscité pour le moins polémiques et réticences. Intransigeant et fidèle à lui-même et à ses idées nauséabondes.
Il y a plusieurs façon de parvenir à faire d’un homme ou à littéralement l’obligé à devenir un marxiste plus ou moins convaincu.

Dans le cas du « petit » Sartre (Bien sur « petit », car seul « Dieu » est grand, sa femme aussi me direz vous ; comment vous ne connaissez pas la femme de Dieu ? Mais si Clémence ! Ne dit on pas le bon Dieu et sa grande Clémence ?), il semble avoir eu très jeune un accident de poussette ou avoir été bercé trop près du mur. Non, soyons sérieux, le marxisme est une croyance, une sorte de maladie liée à une forme de persistance de l'infantilisme. On ne devient donc croyant le plus souvent par contamination, notamment en étant éduqués par des parents eux-mêmes marxistes ou en regardant Claire Chazal ou Moshé Kerdru à la téloche de merde par exemple. 

 
Mais comme il faut être naïf et crédule pour avaler les balivernes politiques marxistes qui feront de vous un bon MC, plus tu réfléchis, plus ces histoires pour enfants (le progressisme, la paix, la tolérance, l’anti racisme, l’égalité, la fraternité etc. etc.) prennent leur véritable sens : des consolations inventées comme les religions par des hommes pour rendre plus acceptables les injustices du monde et vous maintenir en esclavage.

Si la religion est l’opium du peuple, le marxisme en est l’héroïne et le marxisme culturel la cocaïne. Sigmund Freud dont certaines idées ont été récupérées par l’école de Francfort pour l’édification du Marxisme culturel disait : «Les religions de l’humanité sont des délires collectifs. Tant que l’on partage l'un de ces délires on ne le reconnaît jamais pour tel».


Je pense que l’on peut en dire autant du marxisme qui est une croyance et croire bien sur c’est à l'opposé de réfléchir, puisque croire ne repose pas sur l'expérimentation et la déduction.
Croire vient du latin credere : avoir foi ! C’est avoir confiance en quelqu’un, en un système, tenir pour vrai ce qui est dit. Le mot latin « credo » signifie « Je crois » il est utilisé pour désigner la profession de foi chrétienne. « Je crois en Dieu, je me fie à sa Parole, je mets ma foi en Lui ». Pour croire, il faut donc... ne pas réfléchir et mettre sa foi en la parole de quelqu'un. 

Par exemple croire aux fariboles anti naturelles, aux lubies mortifères et utopiques de Marx qui aurait sois disant démontré « scientifiquement » la possibilité de l’émancipation complète de la personne humaine.
Sartre était un vaniteux narcissique et arriviste à la vie sexuelle pour le moins désordonnée, aux tendances pédophiles notoires et aux graves penchants pour les drogues et l’alcool.

Tous ressorts bien connus des services secrets pour le recrutement d’agents d’influence.
Ressorts qui peuvent conduire une source à communiquer des informations utiles ou à se faire propagandiste intellectuel marxiste culturel. Dans le cas « Sartre » la typologie et théorisation du mode de recrutement et de traitement des sources humaines qui à conduit aux états unis à identifier quatre « leviers », dit MICE (traduit en français par l'acronyme « VICE » pour Vénal, Idéologie, Compromission, Ego) peut nous aider.

Le premier c’est Money (argent) : acheter les renseignements, Sartre était certes un arriviste, mais le levier principal n’était pas l’argent chez lui (Pas comme chez Francis Temperville un docteur en physique nucléaire et espion Français du CET qui a été recruté par le KGB en 1987, alors étudiant en 3e cycle de physique nucléaire, Francis Temperville est repéré par les renseignements soviétiques qui prennent contact avec lui via une annonce de cours particuliers qu'il proposait. Sergueï Myrosine, alias Serge est espion russe et deuxième secrétaire à l'ambassade soviétique à Paris se fait passer pour un élève souhaitant suivre des cours particuliers et ainsi pouvoir récupérer des informations sensibles moyennant des sommes allant de 2 000 FF à 4 000 FF. Une affaire tellement exceptionnelle que Mikhaïl Gorbatchev lui-même fut informé de son recrutement. Pendant les années 1989 et 1990, il vend 96 documents classifiés « secret défense » aux services de renseignements communistes ainsi que des synthèses sur des tirs expérimentaux de Mururoa et une quinzaine de plans d'armes nucléaires françaises à son correspondant. Balancé par un transfuge soviétique passé au service des britanniques, il est condamné le 30 octobre 1997 à neuf ans de prison pour « trahison » par la Cour d'assises spéciale de Paris. Source NDA : Sergueï Smyrev, alias Serge est retourné depuis longtemps à Moscou ou il enseigne les techniques de recrutement et de manipulation à l'école du SVR (le successeur du kGB).


Passons à la deuxième technique Ideology (idéologie) : profiter des convictions, notamment politiques, d'un individu, Sartre en 1939 écrira : «Je n’ai jamais voulu faire de politique et n’ai jamais voté» et qui sera très passif sous l’Occupation, compromis mais pas par conviction avec le totalitarisme et démagogique avec la jeunesse gauchiste.



Il manquera toujours complètement de conviction politique et prendra même la notion marxiste de « progrès » pour une «faribole», ce en quoi on peut être un pédéraste sans être un pauvre con. Individualiste, anarchisant, antimilitariste modéré, et antibourgeois et surtout un drogué alcoolique et une tapette pédophile refoulée. Après la guerre  la position de Sartre se radicalise : «L’écrivain “engagé” sait que la parole est action: il sait que dévoiler c’est changer et qu’on ne peut dévoiler qu’en projetant de changer. [...] Il sait que les mots [...] sont des « pistolets » chargés » (ce en quoi Sartre n’a pas dit QUE des conneries !)



Repoussé par les deux grandes Églises de l’époque, le catholicisme renaissant et le communisme triomphant particulièrement sévère avec les tafioles, le discours « sartrien » devient, pour beaucoup, sortis de l’ordre moral « maréchalien », celui d’une « liberté » recouvrée. La mode de l’«existentialisme» caves de jazz; les magazines nourrissent le vedettariat de Sartre et de Beauvoir, «la Grande Sartreuse». Ça, c’est le mythe de Saint-Germain-des-Prés, créé par les Germanopratins eux-mêmes déjà contaminés par le MC et entretenu par les idiots utiles, gens d’affaires, médias, photographes, cinéastes, écrivains et musiciens.Les réalités beaucoup plus prosaïques ont toutefois été passées sous silence parce qu’elles ne correspondaient pas à l’image idéalisée que les mémorialistes marxistes culturels souhaitaient présenter au public. Elles étaient menaçantes parce qu’elles heurtaient à l’époque certaines sensibilités : une certaine mixité « raciale » pas trop quand même faut pas déconner Sartre a bien écrit : « La raison n’est pas noire ! », l’homosexualité masculine et féminine, les drogues et l’alcool, etc., et c’est avec un incomparable capital très marxiste culturel de prestige, mélange de fascination et de détestation, que Sartre va désormais exercer une influence comme écrivain dit « engagé ».



Sa prétendue conversion aura été due à la manifestation organisée, malgré l’interdiction, le 28 mai 1952 par le PCF contre le général Ridgway, venant de Corée, nommé à la tête du SHAPE, manifestation qui provoque une violente répression policière et deux morts. Sartre apprend l’événement de Rome, d’où il revient illico. «En langage d’église, écrira-t-il, ce fut une conversion.» (En bon Français ce fut le recrutement d’un propagandiste marxiste culturel intellocrate) Il se lancera alors (Sans conviction mais la peur au ventre) dans une immense explication, «Les communistes et la paix», dont la première partie est publiée dans Les Temps modernes, en juillet 1952. Deux autres parties suivront, en octobre 1952 et en avril 1954.



Ce n’est donc pas non plus par idéologie que Sartre sera « converti ».



On en arrive « allah » troisième technique Compromise/Coercion (compromission/coercition) : contraindre la personne (chantage, sexe, torture, etc.), voilà voilà, on y arrive lentement mais sûrement. Sartre est un pédéraste à forte tendance pédophile refoulé qui ce dit existentialiste qui pense que rien, ni Dieu, ni un rôle social, ni une morale quelconque, ne peut justifier l’existence humaine c’est un individu frustré qui traîne une insatisfaction de lui-même et de la philosophie traditionnelle considérée comme superficielle, académique et éloignée de la vie et qui se croit libéré sur tous les plans notamment celui d’enfiler des petits garçons. Comme Jean Genet dont la figure « littéraire » tient beaucoup du portrait fasciné qu'en fit  Sartre en 1952 dans son Saint Genet, comédien et martyr.



Saint Genet ? Celui qui écrira : « Les joyeux l'appellent encore "œil de bronze" ce que l'on nomme aussi "la pastille", "la rondelle", "l'oignon", "le derch", "le derjeau", "la lune", […] La vénération que je porte à cet endroit du corps et l'immense tendresse que j'ai accordée aux enfants qui me permirent d'y pénétrer, la grâce et la gentillesse du don de ces gosses, m'obligent de parler de tout cela avec respect. » Voir ici



Il faut dire aussi qu’entre temps Sartre était devenu un agent de propagande soviétique marxiste culturel qui devait propager « l’humanisme » rouge au 150 millions de victimes.



Le révolutionnaire Russe Sergey Nechaev a soutenu que le but de la terreur révolutionnaire n’était pas de gagner un appui des masses, mais au contraire, d’infliger la misère et la crainte sur la population. Il a dit: Un révolutionnaire « doit infiltrer toutes les formations sociales incluant la police. Il doit exploiter les gens riches et influents, les subordonnant a lui. Il doit aggraver les adversités du peuple, afin d'épuiser leur patience et les inciter à se rebeller. Et, finalement, il doit s'allier avec le sauvage criminel violent, le seul vrai révolutionnaire en Russie ».



Faire de Genet un Saint ? Pourquoi pas, nom de Dieu ; mais un Saint pédophile et antisémite il n’y a qu’un marxiste culturel comme le trou du cul à lunette Sartre pour nous le sortir.



Rappelons ce que Jean Genet écrivait sur le Massacre d'Oradour-sur-Glane:
« On me dit que l'officier allemand qui commanda le massacre d'Oradour avait un visage assez doux, plutôt sympathique. Il a fait ce qu'il a pu - beaucoup - pour la poésie. Il a bien mérité d'elle (...). J'aime et respecte cet officier. "(Pompes funèbres pages 262- Éditions Gallimard, 1953)
Genet osera éructer : « Le peuple juif, bien loin d’être le plus malheureux de la terre — les Indiens des Andes vont plus au fond dans la misère et l’abandon — comme il a fait croire au génocide alors qu’en Amérique, des Juifs, riches ou pauvres, étaient en réserve de sperme pour la procréation, pour la continuité du peuple élu. »



Le ténia Sartre dans un de ses romans, La Nausée, son double pédérastique, le personnage central, Antoine Roquentin, a des déambulations de tantouze et de follasse qui sont les jumelles de celles de Sartre. C’est au Havre en 1931 ou professeur de philo il s'installe vite dans un hôtel de passe minable, le Printania qu’il devient aussi « écrivain » en s'inventant ce double, Antoine Roquentin.



Chambre triste située le long de la voie ferrée. La proximité des marins, des « tasses » (pissotières à pédales) et des bars à putes séduit le jeune «pédé honteux ». Il marche durant des heures, drague les matelots anglais dans les rues étroites le long des bassins. Il aime les restaurants de prolos qui sentent la bière, la fumée, le chou et le trou du cul.
De Rouen, où elle enseigne, Simone de Beauvoir arrive des fois voir le ténia car l'un et l'autre préfèrent Le Havre ou dans un port les pervers pédophiles passent inaperçus. Plus tard Bianca Lamblin, dans «Mémoires d’une jeune fille dérangée» écrira: «J’ai découvert que Simone de Beauvoir puisait dans ses classes de jeunes filles une chair fraîche à laquelle elle goûtait avant de la refiler, ou faut-il dire plus grossièrement encore, de la rabattre sur Sartre».


Sartre allah gay pride est avec la cravate Rouge
Pendant cinq ans, on le voit noircir des feuilles, tantôt à la bibliothèque municipale, tantôt au Guillaume Tell, l'un des cafés « chic » de la ville et rendez vous des tantes. La première existe toujours, à peu près en l'état: c'est celle du lycée François-Ier. C'est ici que le Ténia a campé plusieurs scènes de la Nausée. L'ombrageux bibliothécaire corse qui hante la pièce s'en prend à Roquentin venu draguer les adolescents entre les livres. La pédophilie apparaît à deux moments clés dans la Nausée : elle théâtralise le malaise existentiel et la maladie mentale egodistonique dont souffre Sartre/Roquentin de bout en bout.



Ce malaise est celui de Sartre. Si le pédé prof de philo est un soixante-huitard agité du bocal avant l'heure, l'homme, pédé honteux et frétillant et l'auteur, dépriment volontiers, surtout dans les années 1935-1936.



C'est parce que cette question de la honte est au centre du vécu des pédophiles, pédérastes et autres « gays » que les homosexuels (mot inventé par les psychiatres pour définir une pathologie, une déviance, une perversion) ont créé aujourd’hui les défilés de la Gay Pride. L'opposé de la honte est la fierté qui se dit « pride » en anglais.



L'année précédente, la pédale Jean Paul est allé en Allemagne ­ échangeant son poste du Havre avec celui, outre-Rhin, de Raymond Aron. De retour d'Allemagne, Sartre essaie la drogue ; la mescaline : elle provoque des visions, des angoisses ; la drogue sera sa compagne pour la vie.



En 1945 Sartre est à Paris, il fera de Saint-Germain-des-Prés son « quartier général », le quartier se présente dans les années cinquante comme la scène principale de la vie pédérastique  parisienne. Comme le mentionne en 1954 un article paru dans L'Unique, revue de l'anarchisme individualiste, «ce quartier est devenu le P. C. de l'homosexualité». Saint-Germain est le lieu de ce que l'on appellerait aujourd'hui en nov-langue marxiste culturelle la «visibilité gay».



Seulement voilà à l’époque cette effervescence homosexuelle n'est pas du goût de tout le monde et, en particulier, des pouvoirs politiques ou des forces de l'ordre. Dans un discours, prononcé lors de l'Assemblée Générale de l'Organisation Internationale de Police Criminelle (Interpol) de 1958, le directeur de la police judiciaire à la préfecture de police de Paris, après avoir exposé différents affaires concernant la prostitution, le chantage ou le meurtre impliquant l'homosexualité, présente le milieu homosexuel comme « un milieu favorable à la délinquance », voire « un "bouillon de culture", où éclosent les virus criminels ».



Le directeur de la P. J., ajoute : « On imagine dès lors aisément les dangers que peuvent présenter le prosélytisme et la publicité homosexuelle » Cette préoccupation sur la manifestation publique de l'homosexualité semble bien être le point de focalisation du discours dans la mesure où elle est répétée par le directeur : « Ce qui force notre attention et qui est de nature à faire croire à un accroissement de l'homosexualité en France, c'est que depuis quelques années, elle se fait plus voyante. Ses adeptes se rencontrent dans certains lieux publics, cafés, bars, cabarets, dont ils constituent la presque unique clientèle ; ils se signalent parfois par un comportement extérieur particulier, par le vêtement notamment qui, sans même parler du travesti interdit par le règlement, trahit aux yeux de tous, les moeurs de certains éphèbes, par la décoloration des cheveux, par le maintien général dont le maniérisme ne laisse aucun doute dans l'esprit »



Nicolas Peyrac, en 1975 chantera : « Sartre était déjà bien engagé. Au Café de Flore, y avait déjà des folles. Et mon père venait de débarquer ».



La visibilité homosexuelle pose donc problème, et en particulier les efféminés, parce qu'ils sont les plus voyants. Cette inquiétude relaie en fait des préoccupations dont une des sources essentielles est à chercher, depuis la seconde guerre mondiale en France, dans l'attitude des pouvoirs politiques.



Depuis la Révolution et jusqu'à l'Etat Français, l'homosexualité n'est pas un délit en France, bien qu'elle souffre de préjugés sociaux et parfois de poursuites judiciaires en cas de manifestation publique pour cause d'outrage public à la pudeur.



L’éducation nationale n’aimait pas trop non plus les pédophiles comme par exemple Simone de Beauvoir suspendue en juin 1943 de l'Éducation nationale à la suite d'une plainte pour « excitation de mineure à la débauche » déposée en décembre 1941 par la mère de Nathalie Sorokine, elle sera réintégrée à la Libération par la grâce du PCF.



Le maréchal Pétain qui en 1941 avait instauré de façon officielle la fête des mères s’adresse  à la radio en 1942 aux femmes (aux vraies, pas aux broutte minou) en ces termes : « Vous seules, savez donner à tous ce goût du travail, ce sens de la discipline, de la modestie, du respect qui font les hommes sains et les peuples forts. Vous êtes les inspiratrices de notre civilisation. »



C’est ce maréchal de France là, qui signe aussi une ordonnance qui punit quiconque aura commis un ou plusieurs actes impudiques ou contre nature avec un mineur de son sexe âgé de moins de 21 ans. Ce texte est inscrit dans l'article 334 du code pénal concernant la prostitution, le proxénétisme et la débauche.



On aurait pu s'attendre à ce que cette mesure disparaisse du fait de la Libération. Il n'en est rien. Elle est reconduite par le Gouvernement Provisoire en février 1945. Par ailleurs une ordonnance du 2 juillet 1945 porte de 13 à 15 ans l'âge au-dessous duquel toute relation entre un adulte et un enfant est considérée comme un crime.



La condition pénale de la pédérastie chère aux détraqués existentialistes vient en quelques années de connaître une profonde transformation.



Le traitement sois disant discriminatoire selon les lobbys de lopettes et marxistes culturels d’aujourd’hui opéré envers les actes homosexuels entre adultes et mineurs (15 ans pour les actes hétérosexuels, 21 ans pour les actes homosexuels), ferait que, par rapport à l'hétérosexualité, l'homosexualité serait désignée comme une orientation non-souhaitée.





Pourtant en France, la majorité sexuelle est toujours fixée à 15 ans depuis 1945 pour les relations hétérosexuelles et depuis 1982 pour les relations homosexuelles (16 ans en Suisse, en Belgique) sauf cas de vulnérabilité particulière du mineur ou d'autorité du partenaire majeur. La relation sexuelle librement consentie d'une personne de 18 ans ou plus avec un mineur de moins de 15 ans est prévue par le Code pénal sous le nom d'atteinte sexuelle et punie de cinq ans d'emprisonnement maximum (sauf circonstances aggravantes) alors que la relation non consentie entre dans le champ de l'agression sexuelle et est punie de sept ans d'emprisonnement maximum (sauf circonstances aggravantes).





Bien sur comme pour Sartre, de Beauvoir et toute la clique de détraqués mentaux de l’époque Saint-Germain-des-Prés se présente dans les années cinquante comme la scène principale de la vie pédérastique et LGBT parisienne. Comme le mentionne en 1954 un article paru dans L'Unique, revue de l'anarchisme individualiste, « ce quartier est devenu le P. C. de l'homosexualité ». Saint-Germain est le lieu de ce que l'on appellerait aujourd'hui la « visibilité gay ».



Outre les existentialistes pédophiles avec Jean-Paul Sartre et Simone de Beauvoir, la présence de nombreuses lopes, folles, travlos et autres artistes et écrivains, on peut croiser l’antisémite et pédophile Jean Genet, le sodomite Cocteau et son jeune amant Jean Marais. Les pédoques et les gouines s'affichent librement dans les cafés, en particulier au Flore, à la Reine Blanche, au Royal Saint-Germain, à la Pergola. La drague des pédés est particulièrement active dans les baies ou tasses ou encore vespasiennes (urinoir public pour hommes ou pissotières ou règne les soupeurs) comme dans tout Paris, et les appartenances « sociales » y sont plus variées. La présence régulière de ces édicules qui rythment le boulevard Saint-Germain et ses alentours, offre aux ébugors (*1) visiteurs infortunés une nouvelle chance de sucer des bittes ou de se faire enculer, un peu plus loin, en cas d'insuccès premier.



Bien que les soviétiques partageaient les idées morales de l’occident capitaliste en disant à l’époque : l’homosexualité est une « Tradition étrangère à la classe ouvrière », un « vice d’aristocrate », une « perversion bourgeoise et occidentale », et l’homosexualité « ne saurait être défendue puisqu’il nous faut une position acceptable par les masses ». Engels lui-même dans L’Origine de la famille, de la propriété et de l’État (1884), dénoncera « la pratique répugnante de la pédérastie grecque », dans laquelle il voit le résultat d’une déchéance morale.



Plus tard pour Staline : « un plaisir sexuel non orienté vers la reproduction est une déperdition d’énergie que ne saurait autoriser la société socialiste ».



Staline n’est pas le seul dirigeant communiste à avoir brillé par sa violence homophobe : on peut en dire tout autant de Mao de Castro et de Che Guevara un homophobe antisémite criminel Voir ici qui était le Bou Che. La révolution maoïste de 1949 a été très dure pour les homos chinois, accusés de mœurs «  décadentes et occidentales» (au mépris de la riche tradition homosexuelle indigène) et souvent envoyés dans des camps de rééducation par le travail où leur sort fut peu enviable (ce fut notamment le cas de nombreux chanteurs d’opéra masculins incarnant des femmes).



Il y eut également de nombreuses arrestations d’homos, soumis à « critique » et enfermement, au moment de la Révolution culturelle (1966-1967) et au moment de la répression du Printemps de Pékin (juin 1989) : en Chine comme ailleurs, « l’homophobie » le dégoût des déviances va de pair avec l’anti-intellectualisme. Le goulag chinois, le laogai, a ainsi reçu plusieurs dizaines de milliers d’homosexuels, souvent assimilés à d’autres catégories soupçonnées de trahison (les étrangers, les métis, les catholiques, les intellectuels occidentalisés) et toujours très durement traités.



Alors allez vous me dire il y a là quelque chose que nous ne comprenons pas très bien. Pourquoi recruter un pédéraste pour se faire le propagandiste du marxisme (recrutement effectué par le chantage, le KGB étant en possesion de photos extrêmement compromettantes de Sartre en compagnie de très jeunes garçons) ?



La réponse est évidente, vous avez vu que Willi Münzenberg, grand architecte de la Désinformation sous Lénine puis Staline, convaincu que le Communisme ne pourrait jamais s’implanter si la nature même des peuples de la Chrétienté n’était au préalable radicalement transformée, a défini l’objectif et donné le mode d’emploi du Marxisme Culturel : « Organiser les intellectuels et se servir d’eux pour pourrir la Civilisation Occidentale jusqu’à ce qu’elle pue. Alors seulement, après que toutes ses valeurs eussent été corrompues et la vie rendue impossible, pourrions-nous imposer notre Dictature du Prolétariat ». Oui ! Jusqu'à ce qu’elle pue ! Et elle pue le trou du cul notre « belle » société.



C’est exactement ce qu’ils ont fait avec Sartre et de nombreux autres pas forcément de la jaquette qui flotte ! Et c’est pourquoi même après sa « conversion » au maoïsme ou autres idéologies de haine communiste les soviétiques du KGB ont laissé le ténia agir en toute liberté, l’important c’était la destruction de la société traditionnelle.



Bien évidemment le marxisme culturel a aussi utilisé la démagogie pour se trouver de nouveaux adeptes mais pas que çà comme nous allons le voir. Ils ont essayé d’exploiter le ressentiment des noirs américains, le statut de la femme, les problèmes d’environnement… Dans tous les cas, l’objectif est de se poser en « défenseur des opprimés », pour se donner une image sympathique (La sympathie est manipulatrice) et en profiter pour détruire les valeurs occidentales, (comme la famille), et les remplacer par d’autres.



Les marxistes culturels sont donc des manipulateurs qui exploitent le ressentiment d’autrui pour atteindre leurs objectifs. Derrière chacune de leurs actions, il y a un objectif visant à leur permettre d’instaurer leur socialisme. La lutte pour les droits des homosexuels ou des femmes leur permet de détruire l’institution familiale, cercle important de la transmission des valeurs. La lutte pour l’antiracisme et le métissage et la promotion du multiculturalisme leur permet de détruire l’identité nationale donc la nation, lieu majeur de transmission des valeurs.



La façon d’attirer les moutons c’est de victimiser les minorités et placer tout ce qui représente les valeurs morales classiques et naturelles comme étant oppressives et démonisées en racisme, antisémitisme, sexisme, homophobie etc.



Le but du marxisme culturel est de remplacer la révolte du prolétariat par la révolte des minorités, renverser le système en place et préparer la populace à accepter le socialisme.








Encore un mot sur le quatrième levier : l’Ego : exploiter les frustrations et la vanité des personnes.

Avec Sartre il était facile d’exploiter ses frustrations mais la source principale de son « retournement » (sans rire SVP) a été son homosexualité et sa pédérastie.

Evidemment on ne peut exclure la manipulation mentale et le lavage de cerveau dont les théories sont issues des recherches sur les programmes de pays totalitaires marxistes afin d’expliquer par quelle propagande et quelles méthodes ils étaient parvenus à endoctriner les foules ou les « masses » avec une certaine réussite.


La manipulation mentale, comme les races, existe bel et bien, c’est l'ensemble des tentatives obscures ou occultes de fausser ou d’orienter la perception de la réalité d'un interlocuteur en usant d'un rapport de pouvoir, de séduction, de suggestion, de persuasion, de soumission non volontaire ou consentie. 



Lors de ma jeunesse, j’ai fait plusieurs écoles de vente où j’ai appris une forme de manipulation mentale ce que l’on nomme pudiquement « principe d’identification des attentes du client » que l’on défini par l’acronyme SONCAS.

Sécurité : La sureté dans l’approvisionnement du client, le passage régulier du représentant va lui donner une impression de « sécurité ».

Orgueil : En provençal : « so qu’a fa saliva r lo vesin », le «produit»par exemple boche est le meilleur ! Aujourd’hui le petit bougnoule le beurgeois veut rouler en BM ou en Merco.

Nouveauté : Client sensible aux effets de mode.

Confort : Pratique, confortable, facile, ergonomique.

Argent : Rapport qualité/prix, pouvoir d’achat.

Sympathie : Sourire, cadeau, faire plaisir au prospect.

Bien sur la typologie de la manipulation mentale a évolué, aujourd’hui elle est dite SANSOUCIS.

  • Solitude
  • Argent
  • Nouveauté
  • Sexe
  • Orgueil
  • Utilité
  • Contrainte
  • Idéologie
  • Suffisance

Nonobstant, Alain Chouet un officier de renseignement français dira : « Il y a deux façons stupides d'essayer d'obtenir du renseignement : c'est la torture et l'argent. La torture le type vous dit tout pour que ça s'arrête, et l'argent, il vous dit tout pour que ça continue ! »

Aujourd’hui la manipulation mentale accompagne même quelquefois les techniques de management, par exemple à travers un « vocabulaire pompeux » marxiste culturel, où l'on retrouve fréquemment les expressions « entreprise citoyenne », « développement durable », « responsabilité sociétale », et regrette le « manque d'engagements fermes » qui se cache derrière un « vernis éthique » .

En France, estimant que la législation ne permettait plus de lutter efficacement contre les sectes,qui utilise avec brio le mentalisme un nouveau délit de « manipulation mentale » avait été proposé dans le projet de loi About-Picard de 2001, et défini ainsi : « Le fait, au sein d'un groupement qui poursuit des activités ayant pour but ou pour effet de créer ou d'exploiter la dépendance psychologique ou psychique des personnes qui participent à ces activités, d'exercer sur l'une d'entre elles des pressions graves et réitérées ou d'utiliser des techniques propres à altérer son jugement afin de la conduire, contre son gré ou non, à un acte ou une abstention qui lui est gravement préjudiciable ».

Hou là, et vous y croyez vous au petit Jésus soviétique ? Imaginez donc tous les chefs de parti politique, les curés, les papes et les popes, les témoins qu’ont pas vu l’accident du p’tit Jésus, les profs de philo, etc. etc. mis en examen ? Les oppositions à cette création d’un nouveau délit furent donc nombreuses. La Commission nationale consultative des droits de l'homme, présidée par Pierre Truche ( Un juge marxiste culturel de  la plus belle eau, membre du syndicat de la magistrature Signez et faites signer la pétition pour la dissolution du Syndicat de la magistrature ! ), ancien premier président de la Cour de cassation, avait été consultée à cette occasion et avait rendu son avis ainsi : « La création d'un délit spécifique de manipulation mentale ne nous paraît pas opportune ». Les députés ont finalement retenu une formulation plus « consensuelle » qui consistait à compléter « l’abus frauduleux de l’état d’ignorance ou de faiblesse » existant (article 313-4, livre III du code pénal).

Et maintenant… ? Sartre au Bac !
Le XXe siècle avait pourtant bien commencé sur un mouvement esthétique avant tout : le Surréalisme. André breton le théoricien du surréalisme dira: « J'accuse les pédérastes de proposer à la tolérance humaine un déficit mental et moral qui tend à s'ériger en système et à paralyser toutes les entreprises que je respecte ».

Le pédéraste écrivassier prolixe, la méchante bourrique haineuse et Marxiste Culturelle Sartre laisse derrière lui un tas de merde titanesque, sous forme de romans illisibles, d'essais, de pièces de théâtre chiantes, d'écrits pseudos « philosophiques » ou de biographie.C’est lui qui a dit : « L’Existence précède l’essence » cela aurait marqué l'après-guerre, et il reste le symbole encore aujourd’hui, l'archétype du trou du cul intellocrate, idiot utile pédéraste dit « engagé » dont sa très marxiste culturelle et triste vision du monde de philosophe d’édicules à suce bittes qui continue à être enseignée par une éducation nationale marxiste culturelle.

Il fut en effet de tous les « combats » allah con et marxistes puants, mais seulement avec des mots de petit pédé trouillard, cocu volontaire, lâche et veule, pleinement et totalement « engagé » dans son époque, embrassant avec ferveur toutes les « causes » les plus pourries du marxisme criminel qui lui ont semblé « justes ».

J'appartiens à cette génération dont certains sont convaincus que, pour vraiment comprendre les drames de ce siècle, il faut admettre que le communisme au XXème siècle a eu pour but la destruction de l'homme et de ses valeurs en appliquant une idéologie totalitaire haineuse.
 

Et maintenant la vie du Ténia.

Jean Paul Charles Aymard Léon Sartre est fils unique, il provient d’une famille bourgeoise : son père est polytechnicien, militaire, sa mère descend d’une famille d’intellectuels et de professeurs protestants alsaciens, les Schweitzer. Il est le petit-neveu du célèbre Albert Schweitzer. Le petit Sartre ne connaîtra pas son père : il meurt de la fièvre jaune peu après sa naissance.
L’image du père est pourtant là : c’est son grand-père, Charles Schweitzer, homme à la personnalité imposante, qui l’éduque avant qu’il n’entre à l’école publique à 10 ans. De 1907 à 1917, le petit « Poulou », comme on l’appelle, va donc vivre avec sa mère chez les parents de celle-ci. Il y passe 10 années heureuses. Le petit Poulou va être adoré, choyé, félicité tous les jours, ce qui va sans doute construire chez lui un certain narcissisme. Dans la grande bibliothèque bourgeoise de la maison Schweitzer il découvre très tôt la littérature, et préfère lire plutôt que de fréquenter les autres enfants du petit peuple (enfance évoquée dans son autobiographie Les Mots).

« Poulou » futur ténia est formé dans la pensée « théologique luthérienne » rigoriste (pléonasme) plus exactement dans l'Église protestante de la Confession d'Augsbourg d'Alsace et de Lorraine dans un esprit austère et quasi ascétique.
Contrairement à l’image de désespérance qu’ont donnée de lui ses biographes dans les années 30 et 40, Sartre a longtemps vécu dans le monde idéal des bizounours parpaïllots, pétris de croyances édifiantes et bourgeoises. Le futur damné croupion pourri est élevé dans la doctrine protestante de la prédestination qui est une des causes du dynamisme économique des États protestants dont les états Unis et de la naissance du système capitaliste.

Dans son autobiographie d’enfance, Les Mots il déclare qu’il a d’abord cru être un enfant attendu, désiré, mandaté; il a cru à sa mission et à sa capacité à atteindre la gloire, et le « prédestiné » écrit donc: «  J'ai un fond de caractère très hétéroclite. D'une part, je suis extrêmement ambitieux. Mais de quoi ? (…) et pourtant la gloire me tente car je voudrais être très au-dessus des autres, que je méprise».  
Il nous y avoue aussi qu’il a ambitionné de s’égaler à Nietzsche !

C‘est cette idée de prédestination typiquement luthérienne est enfoncée dans la tête de Sartre, cette prédestination qui précède la « chute » de l’homme fait alors tendre la doctrine de la prédestination vers un déterminisme. Tout de notre vie serait ainsi prédéterminé. Se pose alors la question de la liberté humaine.

C’est cette question que Sartre posera finalement dans, L’existentialisme est un humanisme, Paris, Gallimard, 1996, p.26 en affirmant : « L’existence précède l'essence » Cette expression est une réfutation de la tradition philosophique qui avait jusqu'alors tenté d'identifier une nature humaine et surtout des thèses protestantes bourgeoises déterministes. 

Pour Sartre l'homme est absolument libre; il choisit lui-même ce qu'il sera en toutes circonstances. Il n'est pas soumis à une définition qui existerait de toute éternité dans le monde, selon la volonté d’un Dieu.

La période du petit « poulou » se termine en 1917 : sa mère se remarie avec un polytechnicien, que Sartre, alors âgé de 12 ans, ne finira jamais de haïr de là sa haine perpétuelle et viscérale des « humains » et des hétéros. Ils déménagent alors à La Rochelle, où il restera de 12 à 15 ans, et qui seront pour lui des années de calvaire : Sartre passe en effet du paradis narcissique schweitzerien à la réalité des lycéens du peuple, vulgaires violents et cruels, tandis que l'enfant doit partager avec le nouveau mari, une mère qui était auparavant sa propriété exclusive.

Vers l’été 1920, malade, Jean-Paul Sartre est rapatrié d’urgence à Paris. Soucieuse de son éducation qui pourrait être « pervertie » par les très populaires garçons du lycée du Havre, sa mère décide de l'y faire rester.

À la surprise de ses admirateurs, qui s'interrogent sur une possible erreur du jury, Sartre échoue en 1928 lamentablement à l’agrégation de philosophie de laquelle Raymond Aron est classé premier . Préparant d'arrache-pied le concours pour la seconde fois, il rencontre dans son groupe de travail la pédophile Simone de Beauvoir, présentée par un ami commun, René Maheu (André Herbaud dans les Mémoires), qui la surnommait « castor », par référence à l'anglais beaver (qui signifie « castor » : d'une part, cet animal symbolise le travail et l’énergie ; de l'autre la sonorité du mot beaver est proche de celle du nom « Beauvoir »). Ce surnom sera adopté par Sartre et elle deviendra sa « compagne » jusqu'à la fin de sa vie. Elle sera son « amour nécessaire » en opposition aux « amours contingentes » pédophiles qu’ils seront amenés à connaître tous deux. Sartre est reçu premier à l'agrégation à la deuxième tentative, Simone de Beauvoir remportant la seconde place (le classement étant à l’époque séparé entre filles et garçons).

Après son service militaire, le jeune agrégé (il a alors 26 ans) demande à être muté au Japon, qui l’a toujours intéressé. Rêve brisé, puisqu'il est envoyé au lycée du Havre, aujourd'hui lycée François-Ier, à compter de mars 1931. C’est une épreuve pour Sartre, lui qui craignait tellement les vies rangées et qui a plus tard critiqué dans ses écrits la vie ennuyeuse de professeur de province.
Entre-temps il prend la succession de Raymond Aron à l’Institut français de Berlin en 1933 et 1934, où il complète son initiation à la phénoménologie de Husserl.

La gloire, il pensait l’obtenir depuis qu’il était tout petit, ces années au Havre la remettent en cause puisque ses écrits sont refusés par les éditeurs. Elle arrivera pourtant cette gloire, et commence avec son premier livre publié en 1938 chez Gallimard, La Nausée, roman de merde illisible (« phénoménologique ») et quelque peu autobiographique, racontant la vie de con d'un professeur de province. Il est entre-temps muté dans la prestigieuse École normale d'instituteurs de Laon en Picardie, d'où sont notamment sortis selon ces biographes Alexandre Dumas et, plus tard, Christian Nique, (Ta mère ?) conseiller à l'Éducation du Président François Mitterrand ce dont on se fout bien pas mal!


Deuxième bonne nouvelle : il est muté en octobre 1937 au lycée Pasteur de Neuilly. Commence alors pour lui une brève phase de notoriété, avec son roman de pourri croupion la fameuse  Nausée qui ratera le prix Goncourt et la publication d'un recueil de nouvelles, Le Mur. Cette phase va être brusquement stoppée par la Seconde Guerre mondiale, où il est mobilisé à Nancy.

Avant la guerre, Sartre futur agent soviétique n’aurait pas eu de conscience politique marxiste on est même endroit de se poser la question de savoir si Sartre a jamais une conscience. Pacifiste mais sans militer pour la paix, l’antimilitariste unilatéral Sartre assume la guerre sans hésiter. L’expérience de la guerre et de la vie en communauté va le transformer du tout au tout. Pendant la drôle de guerre, il est engagé comme planqué soldat météorologiste. 

Sa « fonction » lui laisse beaucoup de temps libre, qu'il utilise pour écrire énormément (en moyenne douze heures par jour pendant neuf mois, soit 2000 pages, dont une petite partie sera publiée sous le titre de Carnets de la drôle de guerre). Il écrit d'abord pour éviter le contact avec ses compagnons populaire car il supporte en effet assez mal les relations sérieuses avec les illettrés vulgaires du petit peuple hétérosexuel et celle  hiérarchiques avec des sous officiers que «monsieur» Sartre considère comme des  abrutis, qui tel l’adjudant de la chanson de Boris Vian, sortent leur revolver lorsqu’ils entendent le mot «culture».  
La drôle de guerre prend fin en mai 1940, et le faux conflit devient bien réel. Le 21 juin, Sartre est fait prisonnier à Padoux dans les Vosges, et est transféré dans un camp de détention en Allemagne de 25 000 détenus. Son expérience de prisonnier le marque profondément : elle lui enseigne la solidarité avec les hommes ; loin de se sentir brimé, il participe dans l’allégresse à la vie communautaire des camps de prisonniers Allemands : il raconte des histoires à ses copains de chambrée le soir, participe à des matchs de boxe, enfin écrit et met en scène une pièce pour la veillée de Noël.

Cette vie dans le camp de prisonniers est importante, car elle est le tournant de sa vie : dorénavant, il ne serait plus l’individualiste des années 1930, mais une personne consciente d'un devoir dans la communauté.
En mars 1941, Sartre est libéré grâce à un faux certificat médical (déjà le faux entre dans la vie de l’agité du bocal).
La guerre le transforme donc en « écrivain engagé ». Engagé comment ? Il crée au printemps 1941 un groupe « clandestin » « Socialisme et liberté » avec Beauvoir, Merleau-Ponty, Jean Toussaint et Dominique Desanti, le communiste Jean Kanapa, et des étudiants de l’École normale… À l’époque, les communistes sont alliés de l’occupant nazi et diffusent des tracts anti sémites jusqu’en Juin 1941 à la rupture du pacte germano-soviétique, qu’Hitler rompt à cette date.

Le groupe « Socialisme et liberté » tient ses réunions dans des chambres d’hôtels ou à La Closerie des Lilas. En juin 1941, il regroupe une cinquantaine de personnes.
Certains véritables historiens et philosophes authentiques, tels que Vladimir Jankélévitch, qui lui reprochera son manque d'engagement, voit ce mouvement comme celui de pseudos « philosophes » pantouflard et amateurs face au professionnalisme de la résistance communiste et gaulliste.

En août, Sartre l’activiste de la bougrerie (*2) et Beauvoir vont chercher le soutien de deux André : le pédéraste André Gide à Grasse et le communiste Malraux au Cap d’Ail, près de Saint-Jean-Cap-Ferrat. Mais Gide est indécis et Malraux pas encore prêt. La déception et le découragement sont-ils trop grands ? « Socialisme et liberté » disparaît rapidement.

La lâche bourrique pédophile à lunettes Sartre se dit alors qu’à défaut de « résister activement », il va écrire. De ce point de vue, l’année 1943 est, fructueuse. Au printemps 1943, sentant le vent tourner  il se rapproche du juif  Pierre Kaan, du Comité National de la Résistance, venu à Paris créer des groupes de sabotage, les groupes AGATE. Ces groupes sont démantelés par les allemands en 1943, et les velléités « résistantes » de l’ignoble trou du cul Sartre disparaissent avec eux à la fin de cette année.

Auteur de « théâtre résistant » ? Il le prétendra après la guerre : « Le véritable drame, celui que j’ai voulu écrire, c’est celui du terroriste qui, en descendant des Allemands dans la rue, déclenche l’exécution de cinquante otages », écrit-il dans un théâtre de situations au sujet des Mouches. Sur le coup, si la presse critique ses pièces, personne n’y voit un message contre l’occupant. Il est vrai que le marxiste Michel Leiris, écrit (anonymement) la seule critique favorable parue dans Les Lettres françaises sur une pièce jouée pendant l’Occupation on soutenant que pour qui veut le comprendre, cette pièce de merde à la con ou tout le monde se barre avant la fin tellement c’est chiant et à chier, défendrait la liberté de l’individu dans le cadre d’un régime d’oppression (suivez mon regard… non pas vers Moscou… bandes de … mais vers … Berlin bien sur ! ) et critiquerait le « méaculpisme » du pouvoir de « Vichy » qui se rependrait des « fautes » de la fin de la Troisième république. Quant à Huis clos, la pièce est très critiquée, par la presse.
Peu après la guerre, Sartre reniera lui même quelque temps Les Mouches et Huis clos, qu'il étiquettera « pièces de circonstance ».
Si je devais présenter une «critique » en commençant par Huis clos, je dirais que cette « pièce » en un acte d'abord intitulée Les autres est, je vous le dit en un mot : « Chiante ».
Spectacle très marxiste culturel pour public d'initiés de « gôache » tassé dans de petites salles inconfortables. Sartre pensait avoir écrit une pièce drôle. Drôle Huis clos ? Que nenni mon zami ; n’est pas Courteline qui veut, génial auteur d'innombrables et inestimables pièces en un acte, véritables petits bijoux dépeignant la connerie humaine. L'enfer, ce n’est pas les autres, l’enfer c’est les gauchistes et le Marxisme Culturel.

Quand aux Mouches de l’espèce scathophaga furcata, c'est-à-dire les mouches à merde ce n’est rien d’autre que la réécriture d'un mythe Grec assaisonné à la sauce marxiste culturelle.C’est un assez long devoir, une façon à « lamanièrede »... Toujours au lycée, le ténia ! Toujours aux pastiches ! La mouche qui est le fantasme sexuel du cadre inférieur, qui sur son lieu de travail, ne cesse de vouloir les enculer ne peut évidemment s’éliminer qu’avec une tapette. 


Cependant, une surprise récente n’aide pas à faire de la tantouse Sartre l’incarnation de l’écrivain engagé en temps de guerre. Pendant le procès de Monsieur Maurice  Papon, le communiste Jean Daniel révèle dans un éditorial du Nouvel Observateur en octobre 1997 qu’à la rentrée 1941, Sartre a pris la place au lycée Condorcet d’un professeur juif révoqué Henri Dreyfus-Le Foyer par ce que juif. Ingrid Galster explique dans Les Intellectuels et l’Occupation que Sartre ne devait pas ignorer la raison de l’éviction de son prédécesseur, ce qui ne l’a pas empêché d’accepter ce poste qui lui demandait moins de travail qu’au lycée Pasteur et lui permettait de mieux se consacrer à l’écriture. Elle écrit d’ailleurs « qu'il l'ait voulu ou non voulu : objectivement, il profitait des lois raciales de Vichy ».

On constate que les protestations contre les évictions d’enseignants juifs ne furent pas légion, mais il y en eu, Sartre ne fait donc pas tellement exception, mais lorsque l’on se targue de « lutter pour les « droits de l’homme » on agit autrement, si non, on n’est tout simplement qu’un vulgaire antisémite ! Mais, n’en déplaise a Bernard-Henri Lévy, rien n’obligeait Sartre à se faire après la Libération un chantre de l’engagement dit « humaniste » en tout temps et en tout lieu. La vogue de l’existentialisme se situe dans l’immédiat après-guerre, période pendant laquelle le souvenir des atrocités vécues permet difficilement aux opinions « non-existentialistes » de s’exprimer. Sartre théorise l’engagement de l’intellectuel dans Les Temps modernes dès la fin 1945, alors que les procès de l’épuration sont lancés… Vladimir Jankélévitch n’est pas loin de la vérité lorsqu’il voit dans la non-résistance active du damné pourri croupion Sartre entre 1941 et 1944, une explication de ses « combats » ultérieurs.

Malgré la dissolution du groupe « Socialisme et liberté », Sartre ne renonce pas pour autant à la plume et la pipe. Il fait jouer, en 1943, une nouvelle pièce de merde chiante à mourir qu’il a composée, Les Mouches, reprenant le mythe d’ Électre et que l’on a pu interpréter à posteriori comme un appel à « résister ». C'est lors de la Première qu'il fait la connaissance d’ Albert Camus. En cette période d'occupation, la pièce à la con n'a pas le retentissement escompté : salles vides, représentations interrompues plus tôt que prévu. Pour Jean Amadou, cette représentation est plus ambiguë : « En 1943, dans l'année la plus noire de l'Occupation, il fit jouer à Paris Les Mouches. C'est-à-dire qu'il fit très exactement ce que fit Sacha Guitry, donner ses pièces en représentation devant un parterre d'officiers allemands, à cette différence qu'à la Libération Sacha Guitry fut arrêté alors que la tafiolle Sartre fit partie du Comité d'épuration, qui décidait quel écrivain avait encore le droit de publier et quel autre devait être banni. André Malraux qui, lui, avait risqué sa vie dans la Résistance, ne se crut pas autorisé pour autant à faire partie de ce tribunal autoproclamé. » Michel Winock estime que « ce fut la rouerie de Sartre de transformer un échec théâtral en bénéfice politique ».

En 1944 les américains ayant débarqué et l’occupant parti, tata Sartre est recruté à l’insu de son plein gré par Camus pour le « réseau résistant » Combat, il devient « reporter » dans le journal du même nom, et décrit dans les premières pages, la libération de Paris. Là commence sa renommée mondiale. Cette petite merde antisémite est envoyé en janvier 1945 aux États-Unis pour écrire une série d'articles pour Le Figaro, et y est accueilli comme un héros de la résistance qu’il n’a jamais été autrement qu’avec sa plume et les allemands partis : « Jamais nous n’avons été plus libres que sous l’occupation allemande.(sic) Nous avions perdu tous nos droits et d’abord celui de parler ; on nous insultait en face chaque jour et il fallait nous taire ; on nous déportait en masse, comme travailleurs, comme Juifs, comme prisonniers politiques ; partout sur les murs, dans les journaux, sur l’écran, nous retrouvions cet immonde visage que nos oppresseurs voulaient nous donner de nous-mêmes : à cause de tout cela nous étions libres… puisqu’une police toute-puissante cherchait à nous contraindre au silence, chaque parole devenait précieuse comme une déclaration de principe ; puisque nous étions traqués, chacun de nos gestes avait le poids d’un engagement. Les circonstances souvent atroces de notre combat nous mettaient enfin à même de vivre, sans fard et sans voile, cette situation déchirée, insoutenable qu’on appelle la condition humaine. L’exil, la captivité, la mort surtout que l’on masque habilement dans les époques heureuses, nous en faisions les objets perpétuels de nos soucis, nous apprenions que ce ne sont pas des accidents évitables, ni même des menaces constantes mais extérieures : il fallait y voir notre lot, notre destin, la source profonde de notre réalité d’homme ; à chaque seconde nous vivions dans sa plénitude le sens de cette petite phrase banale : « Tous les hommes sont mortels. » Jean-Paul Sartre, extraits d’un article paru à origine dans Lettres Françaises en 1944.

Après la libération, le faux résistant mais vrai pédophile Sartre connaît un succès et une notoriété importante auprès des imbéciles avides de vivre après la guerre ; il va, pendant plus d'une dizaine d’années, régner sur certaines lettres françaises. Prônant l’ « engagement » (Engagez vous, rengagez vous qu’il disait) comme une fin en soi, la diffusion de ses thèses se fera notamment au travers de la revue qu’il a fondée en 1945, Les Temps modernes. Sartre y partage sa plume, avec entre autres, Simone de Beauvoir, Merleau-Ponty et Raymond Aron. Dans le long éditorial du premier numéro, il pose le principe d'une responsabilité de « l'intellectuel » dans son temps et d'une littérature engagée. Pour lui, l'écrivain est dans le coup « quoi qu'il fasse, marqué, compromis jusque dans sa plus lointaine retraite (…) L'écrivain est en situation dans son époque. »  Cette position sartrienne dominera tous les débats « intellectuels » de la deuxième moitié du XXe siècle. La revue est toujours considérée comme l'une des plus prestigieuses revues françaises au niveau international.

Le bobo, se veut maintenant « être » existentialiste, « vivre » existentialiste. Saint-Germain-des-Prés, lieu où habite (et sa bitte est mignonne ?) Sartre, devient le quartier de l'existentialisme, en même temps qu'un haut lieu de vie « culturelle » et nocturne : on y fait la fête dans des caves enfumées, en écoutant du jazz, ou encore en allant au café-théâtre. 

Encore le mythe ; Sartre, de Beauvoir sont des intellocrates pédophiles et si le Montmartre d'avant guerre était le centre de l'homosexualité clandestine et interlope, le Saint-Germain des années 50 va être celui de la visibilité « homos ».
Le quartier tout entier vibre sur un air de liberté, de non conformisme, insufflé par les existentialistes comme les dépravés Jean-Paul Sartre et Simone de Beauvoir et par de nombreux artistes et écrivains.

Les existentialistes seraient les successeurs des zazous des années 40. Ils ont leurs codes vestimentaires, leurs lieux de rencontre, leur mode de vie qui gravite autour de la fête, de la vie nocturne, de la drogue, de l’alcool mais aussi d'un goût certain pour l'art, la poésie, les intellectuels. Si l'esprit de Rimbaud a peut être trouvé son aboutissement à Saint-Germain avec 80 ans de retard, les homosexuels parisiens de l'époque se sentent en symbiose totale avec cet esprit et leur forte présence et visibilité dans le quartier ne peut être dissociée du mouvement existentialiste.

Les lieux les plus emblématiques du quartier sont la Brasserie Lipp, le Café de Flore, les Deux Magots. Les homos s'y affichent de manière décomplexée, sans retenue, avec beaucoup d'excentricité vestimentaire et verbale. Beaucoup d'homos de province mais aussi parisiens, dont les fondateurs du Club Arcadie, ne se reconnaissent pas dans « les folles » de Saint-Germain des Pré, accusées de donner une image ridicule des homosexuels. Mais cette confusion des sexes, avec des filles très masculines et des garçons très féminins, est à la base de ce mouvement.




Encore un mot sur le jazz dans le quartier. Pendant la guerre, le jazz étant plus ou moins interdit en raison de ses origines noires et américaines, un établissement de la rue de la Huchette, nommé « La Discothèque » aurait fait écouter en cachette à ses clients des disques de jazz et de swing. Dans les années 50, l'ensemble des établissements de danse étaient dotés d'orchestres. Depuis 1947, un nommé Paul Pacini va créer à Paris un établissement de danse qui remplace l'orchestre par un juke-box. C'est la naissance du « Whisky à Gogo », première discothèque de Paris, de France et probablement du monde. L'établissement va faire de nombreux petits à Paris et à travers la France. En 1952, une de ses employées, de l'établissement de la rue de Beaujolais, va se substituer au juke-box en lançant elle même les disques. C'est Régine. Elle ouvre son premier club en 1956 à Saint Germain, rue du Four, « Chez Régine ». Même si l'endroit n'est pas une discothèque à pédales, les homos la fréquenteront assidument, à commencer par l'écrivain Françoise Sagan. Alors que partout ailleurs c'est encore difficile, d'autres établissements de ce quartier, comme le très chic « Chez Castel », verront les clientèles homo et hétéro se mélanger, à condition toute fois que les homosexuels s'y montrent discrets et pas trop démonstratifs. Même si le phénomène des discothèques va aussi faire son apparition dans d'autres endroits comme dans le quartier gay de New-York ou à Londres, Saint-Germain des Prés sera incontestablement un des lieux où furent construites les premières fondations du clubbing qui connaitra son véritable essor dans les années 70.
Phénomène rare dans l'histoire de la pensée française, une pensée pseudo « philosophique » d’enculeur de mouches et de petits garçons, plutôt austère trouve pourtant, dans un assez large public, un écho inhabituel. 

On peut expliquer cela par deux facteurs : tout d'abord « l’œuvre » de Sartre est multiforme c’est l’auberge espagnole qui permet à chacun de trouver son niveau de lecture, ensuite l'existentialisme, qui clame le libre arbitre de l’homme, ainsi que la responsabilité totale de ses actes devant les autres, se prête parfaitement à ce climat de fête d'après-guerre. L'existentialisme devient donc un véritable phénomène de mode, plus ou moins fidèle aux idées allah con sartriennes, et par l'ampleur de laquelle l'auteur est dépassé.

Sartre aurait énoncé une pure spéculation : l’existence précède l’essence : selon Sartre l’homme existerait avant de penser ; il y a donc dans le postulat de Sartre le refus de la religion et la négation de Dieu et donc si Dieu n’existe pas, l’homme est l’unique responsable de ses actions : il est libre de choisir. C’est la simple notion de liberum arbitrium le Libre Arbitre.

Concept forgé curieusement par la théologie des « pères » de l’église Catholique, il n’est pas exagéré d’écrire qu'il fut développé pour préciser la responsabilité du mal, en l'imputant à la « créature » de Dieu. Dans son traité « De libero arbitrio » saint Augustin nous dit : « Dieu a conféré à sa créature, avec le libre arbitre, la capacité de mal agir, et par-là même, la responsabilité du péché ».
Plus tard en 1524 Érasme (Desiderius Erasmus Roterodamus) soutient lui aussi le libre arbitre, c’est-à-dire la responsabilité de l’homme devant Dieu concernant ses actes. Au contraire, se fondant notamment sur le dogme du péché originel, le moine augustinien Martin Luther le père du protestantisme défendra la prédestination, c’est-à-dire le serf arbitre et la justification par la foi, chère à Paul de Tarse et en 1519 le frère Martin qui se disait pourtant « admirateur convaincu » d’Érasme, en viendra à qualifier celui-ci de « venimeux polémiste », de « pourceau d’Épicure», d’écrivain « ridicule, étourdi, sacrilège, bavard, sophiste et ignorant ». Un peu comme Céline qui qualifiera Sartre de «  Ténia » de « Satanée petite saloperie gavée de merde » ou de « damné pourri croupion ». Bien aussi dans la ligne de l’écrivain soviétique Alexandre Fadeïev, qui traitera Sartre de « chacal muni d'un stylo » et de « hyène dactylographe ».

Malheureusement ni Sartre ni Érasme ne semblent avoir eu raison ; en effet dans son ouvrage majeur, The Organisation of Behaviour: a Neuropsychological Theory, Donald Hebb argumente fortement en défaveur d'un quelconque libre arbitre. Il explique notamment qu'il n'existe aucune force qui influencerait les neurones et les ferait faire ce qu'ils ne feraient pas sinon. Il exprime aussi une nécessité de cohérence dans les différents champs de la science en disant qu'il est impossible d'être déterministe en physique et d'être mystique en biologie. En clair, pas plus d’essence que de beurre au cul ! Et si pas cucul pas panpan, pas de Dieu non plus. CQFD.

Bien que la philosophie ne recourt pas à la méthode expérimentale à la différence de la physique, de la chimie ou de la biologie et n'a jamais vraiment intégré le processus d’expérimentation dans son outillage heuristique ; l’idée que la philosophie est une manière de vivre a  pu amener certains pseudos « philosophes » dont le Ténia à imaginer que, pour cette raison, ils devaient guider les autres et les aider à mener correctement leurs existences. La philosophie, d’éthique personnelle, pouvait se faire projet collectif voire politique. C’est ce qui a bien plus aux marxistes culturels qui y ont vu une bonne méthode pour destructurer la société occidentale.

Déjà selon Marx, « la philosophie » devait se faire essentiellement pratique. Inséparable d’une transformation radicale de la société, la philosophie contribuerait ainsi, convertie en praxis, en énergie pratique humaine et bien sur « sociale » : la philosophie devait rendre possible le saut dans le règne de la liberté. 

Fermons la parenthèse et reprenons. Pendant ce temps, le ténia Sartre va affirmer son engagement politique en éclairant sa position, au travers de ses articles dans l’organe rouge et marxiste culturel Les Temps modernes : Sartre épouse, comme beaucoup d'intellocrates de son époque mais surtout contraint et forcé par le KGB qui le tient littéralement par les « couilles », la cause infecte de la « révolution » marxiste, mais sans pour autant donner ses faveurs au Parti communiste. Simone de Beauvoir, Sartre et ses amis propagandistes de la haine continuent donc sois disant à chercher une troisième voie, celle du double refus du capitalisme et du stalinisme. Il soutient Richard Wright, un écrivain noir américain ancien membre du Parti communiste américain exilé en France dès 1947.

Dans sa revue Les temps modernes, il prend position contre la guerre d'Indochine, s'attaque au gaullisme et critique ce qu’il nomme l'impérialisme américain, attitude typique du pur marxisme culturel. Il ira jusqu'à affirmer, dans cette même revue, que « tout anti-communiste est un chien ». Merci au pédophile « camarade » antisémite et drogué d’avoir fait de moi un cynique sous chien !

C'est alors que Sartre le petit, décide de traduire sa sinistre pensée chaotique et décousue en expression « politique » : en fondant avec quelques connaissances un nouveau parti politique, le Rassemblement Démocratique Révolutionnaire (RDR). Mais malgré le succès de quelques manifestations, le RDR n’atteindra jamais un effectif suffisant pour devenir un véritable parti. Sartre donne sa démission en octobre 1949.
La guerre de Corée, puis la répression musclée d'une manifestation antimilitariste du PCF aurait poussé selon ses biographes « officiels » le petit damné croupion pourri anti sémite Sartre à choisir son « camp » : Sartre aussi pédéraste bourgeois aurait vu alors dans le nidoreux communisme une solution aux problèmes du « prolétariat » qu’il avait toujours refusé de fréquenter et dont il ce foutait comme de sa première sodomie sur un gamin de 13 ans. Seulement voilà, on sait que le ténia avait été « acheté » par les soviétiques. Ce qui ne l’empêchait pas de dire les grosses conneries habituelles comme : « Si la «classe» ouvrière veut se détacher du Parti (PCF), elle ne dispose que d'un moyen : tomber en poussière ».

Sartre devient aussi par là même et officiellement un très officiel « compagnon de route », soit un vrai et certifié idiot abrutile de l’immonde Parti communiste Français entre les années 1952 et 1956. Dès lors, il participe à sa mouvance : il prend la présidence de l'Association communiste France-URSS et devient membre du Conseil mondial de la paix (sic) de la nébuleuse bolcho.

Ce ralliement involontaire de Sartre au communisme sépare le pédéraste ténia Sartre et  Albert Camus, très proches auparavant. Pour Camus, l'idéologie marxiste ne doit pas prévaloir sur les immondes crimes staliniens, alors que pour la pourriture pédophile et héroïnomane Sartre, qui est au courant de ces crimes, on ne doit pas utiliser ce qu’il nomme « ces faits » comme prétexte à l'abandon de l’engagement révolutionnaire. Il fait sienne alors la célèbre phrase du bon Saint Joseph Staline le grand humaniste (Les humanistes sont eux aussi comme « Dieu » toujours Grands) premier fournisseur du paradis céleste qui disait : « La mort d'un homme est une tragédie. La mort d'un million d'hommes est une statistique ».

L’immonde ténia Sartre agent de Moscou et Marxiste Culturel de conviction incertaine présentera donc contraint et forcé le marxisme comme «l’horizon philosophique indépassable de notre temps». Quand l’horizon est bouché par plus de 150 millions de morts, il faut être carrément abruti par l’alcool, les drogues hallucinogènes et drôlement tenu par les roubignoles pour écrire de pareilles stupidités. Après avoir sois disant observé et analysé l'existence et la liberté de l'homme (Surtout des « beaux jeunes éphèbes) en tant qu'individu, Sartre s'est interrogé sur l'hypothétique existence d'une conscience collective qui lui servirait d’alibi à sa pensée marxiste culturelle et son rapport avec la liberté individuelle.

Dans sa très Stalinienne Critique de la raison dialectique (1960) le ténia Sartre affirme que la liberté de l'homme est aliénée par les sociétés féodales ou bien sur « capitalistes » et en oubliant sciemment les paradis des travailleurs communistes. Il analyserait donc tenu en laisse comme un caniche par le KGB avec un esprit détruit par l’alcool et la drogue, comment, dans les sociétés « capitalistes » sois disant aliénées, les libertés individuelles peuvent conduire à un effet opposé à l'intention générale et à l'aliénation de la liberté collective. Il suggère alors d'inverser le processus : le groupe doit pouvoir décider de regrouper les libertés individuelles pour permettre le développement de l'intention générale soit la théorie marxiste de la dictature du « prolétariat » reformulée. CQFD. Le ténia haineux Sartre pense que cette sorte d'aliénation de la liberté individuelle doit être librement choisie et s'oppose ainsi à toute forme de totalitarisme.En résumé et avec des mots simples, si le capitalisme c’est l’exploitation de l’homme par l’homme, le communisme c’est juste le contraire.

Cette fidélité à l’odieux et criminel Parti Communiste Français va tenir jusqu'en automne 1956, date à laquelle les chars soviétiques écrasent l'insurrection de Budapest. Après avoir signé une pétition d'intellocrates de gauche et de rares communistes contestataires, il donne le 9 novembre une longue interview au journal l'Express, pour se démarquer de manière théâtrale du parti communiste dit Français mais bien sur pas des idées marxistes culturelles qui le guideront toute sa vie.

Après cela l'existentialisme est en perte de vitesse : dans les années 1960, l'influence de l’idiot utile Sartre sur certaines lettres françaises et l'idéologie marxiste diminue peu à peu, notamment face aux structuralistes comme, le philosophe Foucault ou le psychanalyste Lacan. Le structuralisme serait en quelque sorte l'ennemi de l'existentialisme : il n'y a en effet dans le structuralisme que peu de place pour la liberté humaine, chaque homme étant imbriqué dans des structures qui le dépassent et sur lesquelles il n'a pas prise. De plus dans les années 1960 sa santé se détériore rapidement. Le drogué cocu Sartre est prématurément usé par sa constante suractivité littéraire et politique, usé par le tabac et l'alcool qu'il consomme en très grandes quantités, ainsi que les drogues  (Héroïne et amphétamines).

Si Sartre a pris ses distances avec le parti communiste, il continue à être un véritable idiot utile instrumentalisé par les marxistes culturels et leur idéologie. Il a été une des cibles du Congrès pour la liberté ( ?) de la culture, association culturelle financée par la CIA Voir ici et anticommuniste fondée en 1950.Il semble que ses réseaux qui ont survécu à la dissolution de l’organisation aient été réactivés par l’administration Bush. Ils constitueraient aujourd’hui les relais européens de la diplomatie culturelle décidée par les néo-conservateurs et les néo-libéraux états-uniens, ( Il était temps), eux-mêmes issus des rangs du Congrès pour la liberté de la culture.

C’est en 1950 qu’éclate ce que les organes de presse à la solde des bolcheviks appelleront : «  l'affaire Henri Martin », un soldat « Français », marin d’état et terroriste du Parti communiste français est arrêté pour acte de sabotage en faveur du Parti National Communiste du Viet Nam. À la libération de l’immonde traître à sa patrie ; en 1953, Sartre signe : « L'affaire Henri Martin ». Un pamphlet nidoreux à la gloire de l’infect saboteur communiste traître et criminel !

Dès 1956, Sartre et la revue marxiste culturelle Les Temps modernes prennent évidemment parti contre l'idée d'une Algérie française et soutiennent le désir d'indépendance du sois disant « peuple algérien ». Le trou du cul Sartre s'élève contre la prétendue « torture », revendique la liberté pour les « peuples » de décider de leur sort, analyse la violence comme une «gangrène », produit du fameux «colonialisme ». Voir ici: l'Affaire locussol La pourriture humaine Sartre, qui est au courant des crimes du communisme aux 150 millions de morts innocents, véritable peste rouge comme on l’a vu tout à l’heure, dénonce la prétendue violence de la France civilisatrice qu’il dit colonialiste et pas celle de l’URSS. En 1960, lors du procès des réseaux de soutien aux terroristes du  FLN, il se déclare comme on l’a vu hier « résistant » et terroriste ou « porteur de valise » du FLN. De Gaulle, déjà un peu sénile, lors de la parution du nidoreux Manifeste communiste des 121, devant la tentation des ministres à vouloir l'arrêter, aurait dit : « On ne met pas Voltaire en prison. ». Le pédéraste drogué Sartre, le ténia pédophile Sartre, la vermine rouge pédéraste Sartre ; Voltaire ? De Gaulle était bien un militaire ! Quand il entendais le mot culture il devait lui aussi sortir son revolver !

Cette prise de position n'était pas sans danger, son appartement sera plastiqué deux fois par de vrais Français et l’organe communiste Les Temps modernes saisis cinq fois par le gouvernement socialiste.

Le sale petit pédophile, damné croupion pulvérulent communiste Marxiste Culturel Sartre soutient activement la nidoreuse et criminelle révolution cubaine dès 1960, comme un grand nombre d'intellocrates et d’abrutiles marxistes et  tiers-mondistes. En juin 1960, il écrit dans France Soir 16 articles intitulés « Ouragan sur le sucre». Mais il rompra avec le líder máximo en 1971 à cause de l’« affaire Padilla », lorsque le poète cubain Heberto Padilla est emprisonné pour avoir critiqué le régime castriste. Il dira de Fidel Castro : « Il m’a plu, c’est assez rare, il m’a beaucoup plu. »

Il ira en bon moscoutaire marxiste culturel stipendié jusqu’à soutenir par la signature d’une pétition publiée dans Le Monde du 26 janvier 1977, et relayée également par Libération concernant la fameuse  « affaire de Versailles » ou trois pédophiles, Bernard Dejager, Jean-Claude Gallien et Jean Burckardt,  avaient comparu devant la cour d'assises de Versailles pour « attentats à la pudeur sans violence sur mineurs de 15 ans », pour avoir pris en photo leurs « partenaires ». Leurs trois ans de détention préventive suscitent une pétition de soutien, signée par divers idiots utiles : le texte affirme que les enfants n'ont subi « aucune violence », et qu'ils étaient « consentants », ajoutant en outre « Si une fille de 13 ans a droit à la pilule, c'est pour quoi faire ? » et « trois ans pour des baisers et des caresses, ça suffit ». Les signataires : Louis Aragon, Francis Ponge, Roland Barthes, Simone de Beauvoir, Judith Belladona, docteur Michel Bon, psychosociologue Bertrand Boulin, Jean-Louis Bory, François Chatelet, Patrice Chéreau, Jean-Pierre Colin, Copi, Michel Cressole, Gilles et Fanny Deleuze, Bernard Dort, Françoise d’Eaubonne, docteur Maurice Erne, psychiatre Jean-Pierre Faye, docteur Pierrette Garrou, psychiatre Philippe Gavi, docteur Pierre-Edmond Gay, psychanalyste docteur Claire Gellman, psychologue, docteur Robert Gellman, psychiatre André Glucksmann, Félix Guattari, Daniel Guérin, Pierre Guyotat, Pierre Hahn, Jean-Luc Henning, Christian Hennion, Jacques Henric, Guy Hocquenghem, docteur Bernard Kouchner, Françoise Laborie, Madeleine Laïk, Jack Lang, Georges Lapassade, Raymond Lepoutre, Michel Leyris, Jean-François Lyotard, Dionys Mascolo, Gabriel Matzneff, Catherine Millet, Vincent Montail, Docteur Bernard Muldworf, psychiatre Négrepont, Marc Pierret, Anne Querrien, Grisélédis Réal, François Régnault, Claude et Olivier Revault d’Allonnes, Christiane Rochefort, Gilles Sandier, Pierre Samuel, Jean-Paul Sartre, René Schérer, Philippe Sollers, Gérard Soulier, Victoria Therame, Marie Thonon, Catherine Valabrègue, docteur Gérard Vallès, psychiatre Hélène Védrines, Jean-Marie Vincent, Jean-Michel Wilheim, Danielle Sallenave, Alain Cuny.
 
Ce document inclut bien sur des pédomanes avérés comme Gabriel Matzneff, René Scherer ou Guy Hockenghem, et leurs admirateurs, dont le communiste Louis Aragon (connu pour ses dons à voile et à vapeur),le pédéraste pédophile à ses heures Jean-Paul Sartre bien sur (dont la compagne Simone Bertrand, pédophile radiée avant guerre de l’éducation nationale qui allait chercher aux USA ce qu’elle n’avait pas dans son lit), Bernard Kouchner (doté d’un unique sac de riz), Jean-Louis Bory (qui se suicida pour n’avoir pas supporté son moi, selon un témoin), et bien d’autres. Manque dans ce succédané monsieur Cohn-Bendit, dit Danny le rouge, un marxiste culturel caricatural, qui avoua s’être fait tripoter le zizi par des enfants dans  l'autobiographie qu’il avait publié en 1975, Le grand Bazar, dans laquelle il écrivait, évoquant son expérience « d'éducateur » dans un jardin d'enfants: «Il m’était arrivé plusieurs fois que certains gosses ouvrent ma braguette et commencent à me chatouiller. Je réagissais de manière différente selon les circonstances, mais leur désir me posait un problème. Je leur demandais: "Pourquoi ne jouez-vous pas ensemble, pourquoi m’avez-vous choisi, moi, et pas d'autres gosses?" Mais s’ils insistaient, je les caressais quand même

Mais Libération exécrait à l’époque L’Humanité, journal jugé sectaire et ringard qui pouvait relayer, au début des années 1970, les propos hostiles aux pédés et même carrément homophobes de son directeur Roland Leroy. L’affaire Marc Croissant, un militant communiste licencié de la mairie d’Ivry-sur-Seine et exclu du PCF pour avoir plaidé dans L’Humanité la cause de l’homosexualité et de la pédophilie, donna l’occasion d’une passe d’arme entre le militant homosexuel Guy Hocquenghem mort des suites du sida en 1988, à l'âge de quarante et un ans  et Roland Leroy, lequel accusa Libération de défendre les pires causes, à commencer par des « proxénètes d’enfants » (allusion à Jacques Dugué),  ce à quoi Hocquenghem répondit qu’il s’agissait là d’une basse manœuvre visant à récupérer les voix d’extrême droite ( Déjà !). Dans son argumentaire, Hocquenghem mettait sur le même plan homosexualité et pédophilie, la relation pédophile étant un cas particulier d’homosexualité ce que personne aujourd’hui ne semble se rappeler.
Plus tard en 2001 le quotidien marxiste culturel ( MC) soutenu par le grand capital L’Humanité dans son numéro du 14 janvier, s’indignera sur les affaires de pédomanie ayant secoué la commune d’ Outreau, dans le Pas-de-Calais. Cependant, le quotidien rouge se gardait bien de faire repentance sur son soutien passé à la pédophilie… Car qui se souvient encore de l’affaire Jacques Dugué ? Ce membre du PCF de Saint-Ouen se servait des enfants de l’équipe poussine de basket-ball pour monter un réseau pédophile, dont le « directeur commercial » était un certain Sokolovski, dont le rôle était le même que Weinstein dans le réseau Dutroux. Dugué était soutenu par le maire communiste de la ville, Fernand Lefort. Le président du club sportif était dirigé par un propriétaire de sex-shop, le sieur Norbert Abidh. Lors de l’arrestation d’Alain Leroy, complice de Dugué, les policiers durent faire face aux très marxisters culturelles troupes de choc de la CGT qui voulurent s’opposer à eux. A noter que le quotidien Libération autre « Temple » du MC ( Marxisme Culturel) pris la défense de Dugué. Pas étonnant de la part d’un journal coutumier du fait, qui n’hésitait pas en 1976 à publier de petites annonces pédomanes et, au milieu des années 90, à s’indigner que les pédophiles ne puissent s’exprimer à la télévision.

En 1978, une lettre d’un certain Dugué est retrouvée chez un pédophile américain. Dugué y dit vouloir «pervertir les enfants afin qu’une nouvelle génération de pervers nous succède».
Tiens, curieux non ? On dirait du marxisme culturel : « Pourrir la société jusqu'à ce qu’elle pue ! »
 
L’information est transmise à la police française qui débute une enquête sur cet homme. Elle découvre que cet entraîneur de basket de Saint-Ouen invite régulièrement ses élèves ou leurs amis dans les sous-sols de son pavillon pour abuser d’eux (sa plus jeune victime a 3 ans). Il prend des photos pornographiques d’eux et les envoie à des magazines pédophiles hollandais ou danois.
Son procès se déroule en 1981. D’après lui les enfants étaient consentants. Parallèlement à son procès, il fait l’apologie de la pédophilie dans une tribune offerte par Libération : « L’enfant demande de lui-même la sodomisation et y prend un réel plaisir physique, mais aussi affectif ». Plusieurs intellocrates de renom (René Schérer et Gabriel Matzneff) témoigneront en sa faveur lors du procès. Il est condamné à seulement 6 ans de prisons.
Le camarade Dugué dit « la banane » sort de prison en 1983. Il est à nouveau confronté à la justice en 1987 (2 mois de prison pour détention de photos pédopornographiques) et 1988 (6 ans de prison pour viols sur une dizaine d’enfants issus de l’immigration à Bordeaux) ça c’est normal, les soutiens aux immigrés par les communistes ne sont toujours pas dénuées de pensées malsaines.
En 1994 à sa sortie de prison, il part pour Chambéry et loge dans la famille d’une de ses anciennes victimes de Saint-Ouen. Il n’attire plus l’attention jusqu’à ce que la police découvre en 2000 des photos pédopornographiques prises dans les années 70 sur des CD hollandais dont il est manifestement le photographe. Jacques Dugué confirme qu’il a bien pris ces photos. Mais l’affaire ne s’arrête pas là : les inspecteurs découvrent des dizaines de cassettes pédopornographiques à son domicile. De plus, les enfants de sa famille d’accueil dénoncent des abus sexuels. Il est alors à 66 ans condamné à 30 ans de prison seulement.

Serge de Beketch (journaliste à radio courtoisie) l’a qualifié en 2000 de « pire industriel de la pédomanie qui existe en France ». Il le suspecte d’être « à la tête du plus gros réseau de pédomanes d’Europe » et de fabriquer des milliers de photos à lui seul. Toujours d’après de Beketch, le gauchiste Jacques Dugué aurait eu comme revendeur un certain Sokolovski. Une enquête de police aurait débouché sur la découverte de cadavres d’enfants enterrés dans le jardin de son pavillon à Saint-Ouen, ainsi que d’un carnet d’adresse contenant notamment le nom de Christian Ranucci (condamné à la peine de mort pour assassinat d’enfant). Sokolovski ne sera jamais inquiété, car les réseaux de la pédomanie ont des protections partout.

Il est important de donner ici l’article du torchon marxiste culturel Libération qui donnait la parole au marxiste pédophile Dugué.
« L'affaire de mœurs de St Ouen: Jacques Dugué s'explique - Libération 21.01.1979
Il y a quinze jours, France-Soir paraissait avec en première page un grand titre sur « une écœurante affaire de mœurs » où un soi-disant éducateur aurait livré à la prostitution internationale des régiments de gamins. L'information reprise par la presse et la TV, concernant cette affaire Dugué » venait d'une seule source : Minute. Pas un journal, pas un journaliste, excepté Libération ne se donnait la peine de vérifier les inculpations contre Dugué : en fait, ni prostitution ni proxénétisme, mais un simple attentat à la pudeur sur mineurs sans violences. Aucun journal n'a d'ailleurs publié de rectificatif. Dugué, qui nous a fait parvenir la lettre qui suit, gagnerait tous les procès en diffamation s'il les intentait. Mais Dugué a décidé de se défendre seul, refusant le concours de tout avocat. Comme l'a écrit Le Monde avec une lourde ironie, Dugué écrit en effet des « thèses sur la pédophilie », comme en témoigne cette lettre. Son univers, celui des couples échangistes, qui se passent des photos d'enfants, sa franchise quant à la sodomie est d'un langage différent de la pédérastie plus intellectuelle ou artistique. Mais cet homme, voué pendant trois jours à la vindicte publique comme le monstre absolu par les plus puissants médias sur la base d'informations parfaitement erronées, a bien gagné le droit à l'expression depuis sa prison.
G.H.
A Monsieur le juge d'instruction,
Si vous permettez, je désire m'expliquer, sur ce que sont mes idées et sur ce qui a été ma conception de voir la vie.
Si aux yeux des lois actuelles, cette cause ne paraît pas justifiable, à mes yeux, et aux yeux de beaucoup de gens, dont des parents, et je sais de quoi je parle, elle est défendable.
Il n'est pas logique, il n'est pas humain, d'éloigner les jeunes de la sexualité, puisqu'ils en ont une. Sous couvert de les protéger, les lois actuelles, vont contre leurs désirs, et là aussi, je sais de quoi je parle.
Les lois actuelles sur les relations affectives et sexuelles, entre mineurs et adultes, oppriment aussi bien les jeunes, que les adultes.
Elles les enferment dans l'ignorance des réalités de la vie et les éloignent des adultes, qui eux-mêmes en souffrent.
Il faut voir les choses comme elles existent et non pas, comme certains hommes, en fonction de leurs principes étroits et hypocrites, voudraient qu'elles soient.
Tous les garçons que j'ai connus m’ont aimé. Ils ont toujours aimé et voulu, tout ce que nous avons fait ensemble. Ils ont participé, non seulement librement, mais avec plaisir et amour. On veut toujours nous faire croire, qu'ils ont été influencés et entraînés et qu'ils ne sont pas responsables de leurs actes ! Croyez ce que vous voulez, mais dans une grande mesure, ils l'ont été, car ils n’ont toujours fait que ce qu'ils ont désiré et consciemment. Mais, ce n'est quand même pas normal de les culpabiliser.
Les jeunes nous le savons, découvrent très tôt, l'attrait et les plaisirs sexuels, beaucoup dès la très jeune enfance. Je vous l'ai déjà dit, tous se masturbaient déjà, avant de me connaître. Tous ou presque connaissaient l'orgasme comme les adultes, et les plus grands, à partir de 13 ans, éjaculaient. Ce sont des faits réels, que j’ai vécu, je sais donc de quoi je parle.


Ce sont déjà de jeunes hommes.
Pourquoi, toujours considérer les enfants comme des demi hommes, dépendants et irresponsables. Ils aiment ça, ils font comme tout le monde. Leur corps leur appartient. Ça leur fait aucun mal. Ça ne leur fait que du bien et ça ne porte préjudice à personne.
On peut faire l'hypocrite, mais on ne changera pas la nature humaine.
Pourquoi n'auraient-ils pas le droit aux plaisirs sexuels, puisque la nature leur en a donné la possibilité ?
Plutôt que d'entretenir les mystères du sexe on ferait mieux de laisser vivre la réalité sexuelle en respectant les libertés de tous les êtres.
On dit aussi, que ces habitudes prises entre garçons peuvent amener des tendances homosexuelles!
Au départ, le penser, et l'interdire, ce n'est pas laisser à l'enfant le choix de sa sexualité, celle qu'il préférera, après avoir fait ses propres expériences, aussi bien avec des garçons qu'avec des filles. C'est lui imposer une forme unique de sexualité. La société a-t-elle donc peur, qu'il se fixe systématiquement et toujours vers l’homosexualité ?
C’est dangereux de le penser, car ce serait reconnaître que cette forme de sexualité est la meilleure. Puisque ce serait elle qui attirerait et plairait le mieux !
En fait ce qui est dommage et qui fausse complètement le problème c’est que les garçons ont beaucoup plus la possibilité d'exprimer leur sexualité débordante entre eux qu'ils ne l'ont avec des filles. Parce que les filles sont encore plus culpabilisées que les garçons. Non, seulement elles ne sont pas informées, averties, affranchies, comme il le faudrait, mais en plus des parents stupides leur font peur, en leur présentant les choses du sexe comme dangereuses !
On en arrive au stade ou des filles ont peur des garçons. Elles en deviennent maladroites et s'enferment elles-mêmes dans un ghetto sexuel, ou un ghetto asexué. Comment voulez-vous, qu'il y ait échanges et expériences entre eux !
Ce n'est pas la faute des garçons, ce n'est pas la faute des filles non plus, mais bien la faute des tabous et des interdits sexuels de notre société, encouragés par des lois qui ne devraient pas exister.
Il est bien connu, que dans les sociétés primitives, où le sexe n'est pas tabou, mais un plaisir reconnu et sain, la chasteté chez les jeunes (filles et garçons) n'est pas de règle. Il s'exprime au grand jour, il est naturel. La fidélité commencerait plutôt avec le mariage.
Dans notre société, dite civilisée, toutes les réalités naturelles et humaines sont inversées.
On veut que les jeunes arrivent chastes au mariage ! C'est après que l'infidélité commence.
C'est cela qui n'est pas normal.
C'est ignorer que l'impulsion sexuelle chez les jeunes commence très tôt, et qu'elle est déjà intense dès l'âge de 12 / 13 ans.
La réalité est là, on ne lutte par pas contre la nature, les garçons ont des expériences entre eux, parce qu'ils n'ont pas d'autres possibilités.
Qu'ils en aient eu également avec moi, ne modifie pas les données. Ils ne seront pas forcément homosexuels pour cela.
D'après mon expérience et ce que je sais. Pour neuf garçons sur dix, ce sont les filles qui les intéressent mais encore faudrait-il qu'ils puissent les connaître et les découvrir ! Entre eux, ce sont des filles qu'ils parlent, et auxquelles ils pensent.
Que plus tard, ils aient des goûts hétérosexuels et aussi homosexuels, ne peut qu'être bon pour eux, si cela correspond à leur réalité physiologique.
Nous le savons tous, personne n'est totalement féminin, personne n'est totalement masculin. Tout le monde est un petit peu des deux, à des degrés différents. Ce n'est pas moi qui l'invente, mais des savants qui l'affirment.
Le nier, c'est renier une partie de soi, c'est dénier la nature humaine.
Combien de gens, sur leurs vieux jours, se disent « j'ai raté ma vie » ou « la vie ne vaut pas la peine d'être vécue ! » Bien souvent, c'est parce que toute leur vie, ils ont renoncé et ils se sont reniés. Les gens qui ne se renient pas, les gens qui sont eux-mêmes et accomplissent leur destinée, sont tous des gens heureux, qui aiment la vie, et qui ne sont pas pressés de quitter la terre.
C'est là, une des graves erreurs, de notre société qui enferme les individus dans une sexualité unique, classe les gens dans une catégorie et les cloisonne dans un ghetto sexuel.
C'est la société, avec ses principes stupides, ses interdits, ses lois, qui fabrique des malheureux ou des marginaux.
On se passerait bien d'être des marginaux. Personne ne le désire. Qu'on laisse les gens vivre en paix.
Personnellement, je suis hétérosexuel et homosexuel. J'ai fait l'amour avec des garçons, mais aussi avec des femmes.
Je me suis marié, ma femme a été satisfaite de moi. Je peux même dire qu'elle a été très heureuse avec moi. J'ai eu deux beaux enfants. Et que si l'on ne m'avait pas envoyé en prison, une première fois, je serai encore marié et auprès de mes enfants, et j'aurais sûrement eu d'autres enfants.
Les lois actuelles ne sont que les lois du malheur.
J'ai connu des couples avec des enfants, qui sont comme moi, et qui vivent très heureux et amis, parce que justement chez eux, le sexe n'est pas tabou, mais au contraire une belle et saine chose.
Je citerai pour exemple ce couple, dont la femme et le mari sont homosexuels, mais aussi hétérosexuels et qui sont un exemple d'entente et d'amour.
Je sais de quoi je parle, j'ai vécu une semaine chez eux, et passé des vacances avec eux.
La femme avait déjà deux garçons, quand l'homme a rejoint le foyer. Ils ont eu encore un enfant ensemble, et ils n'ont pas décidé de s'arrêter là. Quand je les ai connus, le mari, bien entendu faisait l'amour avec sa femme, mais aussi avec les garçons et surtout avec celui de 11 ans, et pas en catimini, dans le lit conjugal. Car dans l'intimité du foyer, tout se faisait librement au grand jour.
Que les rapports de l'homme avec le garçon, comprenaient également la sodomisation.
Que le garçon adorait son beau père, comme peu d'enfants aiment leur père, je dirais même comme aucun enfant n’aime son père.
Que le gamin, demandait de lui-même la sodomisation et y prenait un réel plaisir, qui était physique, mais aussi affectif.
Un enfant qui aime un adulte, sait très bien qu'il ne peut pas encore donner, aussi, il comprend et il accepte très bien de recevoir. C'est un acte d'amour. C'est une de ses façons d'aimer et de le prouver. Ce fut le comportement avec moi des quelques garçons que j'ai sodomisés.
Et puis disons les choses comme elles se passent. Il aime ressentir dans son corps, le membre viril de celui qu'il aime, d'être uni à lui, par la chair. Cela donne de grandes satisfactions.
Il a aussi la satisfaction d'être agréable à celui qui le sodomise qui jouit en lui. Cela lui procure aussi une grande joie, car aimer c'est aussi bien donner que recevoir.
Cela peut-être dur à admettre pour des profanes, mais c'est la réalité.
Même un enfant est capable d'aimer sexuellement. Le père et la mère, avaient aussi des échanges de caresses sexuelles, mais surtout affectives, avec les autres enfants qui communiquaient aux mêmes plaisirs.
Que dans cette famille très unie, il n'y régnait que la joie et le bonheur, dans cette merveilleuse complicité intime, qui rend les gens heureux. Que les enfants étaient d'une gentillesse d'une politesse, d'une serviabilité, d'une disponibilité qui les faisaient remarquer de tous les voisins. De plus ces enfants étaient déjà responsables de leur vie et de leurs actes.
Je l'affirme, ces enfants étaient autrement équilibrés (parce qu’heureux) que les voyous, que nous amènent beaucoup de couples hétérosexuels intolérants.
Et des couples comme celui-là, il y en a beaucoup. Ils sont généralement échangistes.
Ils sont heureux. Ils ne demandent rien à personne. Qu'on les laisse tranquille. Qu'on abroge les lois qui les oppriment, et les enferment dans un ghetto culpabilisant. Ils ont le droit de vivre.
Tout cela n'est pas pour parler de l'inceste. Je n'ai pas d'opinions et personnellement je ne suis pas intéressé. Mais je pense quand même que l'éducation sexuelle des enfants devrait être faite par les parents, et non pas par la société.
Mais il y a encore tellement d'interdits à lever.

Vous me demandez alors, que vont devenir ces enfants sodomisés (dans l'amour). Ceux de ces familles, ceux que j'ai connus, tous les enfants qui ont eu des relations homosexuelles et pourquoi pas aussi hétérosexuelles ?
Et s'ils ont des penchants homosexuels, que vont-il devenir ? Qui va procréer, faire des enfants ?
Voilà la fameuse question, qui effraie certains parents, les catholiques, et les responsables de la natalité. Ils feraient mieux d'avoir peur de leur politique actuelle, basée sur le couple exclusif pour la vie, dont les jeunes ne veulent plus et sur la famille HLM, qui ne sont que des échecs.
Les savants, disent, qu'un homme normal produit en moyenne dans sa vie, 400 milliards de spermatozoïdes !
Pourquoi cette prolifération voulue par la nature ? Si ce n'est bien sûr, pour assurer la reproduction, mais aussi pour avoir des plaisirs, sous des formes aussi bien hétérosexuelles, qu'homosexuelles.
Et bien, ces jeunes, ils feront comme nous. Ils se marieront, ou vivront en couples libres et ils auront des enfants, et eux, au moins, ils les aimeront. Et si leur femme a aussi des goûts homosexuels et les pratiquent, à coup sûr, le couple sera uni et heureux.
Les femmes sont autant homosexuelles que les hommes. Mais cela est mieux admis. Pourquoi d'ailleurs ? Et l'égalité des sexes ? Pour concrétiser ces exemples, je dirai, que les garçons que j'ai connus jeunes, avec qui j'ai échangé des relations sexuelles, sont actuellement fiancés, et certains sont même mariés et ont des enfants, et ils sont heureux.
Même avec leurs penchants, ces couples ont des enfants. Et en plus ces enfants sont aimés et heureux. Que demande de plus la société ?
J'ai même revu certains de ces garçons. Notre amitié réciproque, soudée à leur tendre jeunesse, reste inébranlable. Elle n'est faite que de bons et délicieux souvenirs. Elle est dans leur cœur et dans leur esprit, quelque chose de grand et de beau. Quelque chose qu'ils sont heureux d'avoir vécu et de se rappeler et si c'était à refaire, tous referaient pareil.
Ces gens-là, ne se sentent coupables que par rapport aux lois actuelles absurdes et non pas par rapport à ce qu'ils sont et ce qu'ils font.
Car ils sont conscients, nous sommes tous conscients, que des rapports sexuels et affectifs libres sont une source inestimable d'affranchissement de plaisirs, d'épanouissement et d'amitié. Ils entrent dans une compréhension plus vaste de l'amour.
Leur gentillesse, leur générosité, leur gaîté, leur tolérance, leur pacifisme, leur antiracisme, leur respect des règles et des libertés d'autrui, sont quelques unes des qualités qui les différencient des « autres » et à quoi on les reconnaît. Si ce ne sont pas des qualités humaines remarquables, qu'est-ce que c'est ?
Malheureusement, ce ne sont pas toujours les qualités que l'on rencontre chez des couples hétérosexuels où l'on rencontre plutôt égoïsme, jalousie, méchanceté, discordes, infidélité, bêtise, hypocrisie, violence et racisme, et souvent ces gens croient en Dieu !
Ce sont eux qui nous ont créé ces lois inhumaines contre la liberté sexuelle (le gouvernement de Vichy, des guerriers, des fascistes, des catholiques). Ces lois sont désormais anachroniques et rétrogrades, parce qu'encore imprégnées d'un passé religieux (qui n'est pas glorieux. Il n'y a qu'à lire l'histoire, il n'y a que des erreurs) fait de tabous, d'interdits, d'obscurantisme, qui depuis des temps, oppriment les individus et les privent de joies et de plaisirs libérateurs.
Des lois qui peut-être rassurent certaines gens anxieuses, mais oppriment beaucoup d'autres. Et c'est encore à vérifier, car il semblerait bien qu'envers et contre les lois, qu'il n'y a jamais tant eu de relations sexuelles enfants/adultes, que de notre temps.
Une récente étude française a démontré que un cas sur 100.000 rapports sexuels entre enfants et adultes, était connu de la justice !
Avouez que je n'ai vraiment pas de chance. Que c'est une réelle injustice et qu'en plus les peines énormes encourues sont lourdes, vraiment démesurées pour des actes, qui ne font que du bien aux intéressés et ne porte préjudice à personne. Qu'on supprime ces lois inhumaines.

Qu'on laisse vivre l'amour.
Qu'on ne laisse subsister des lois, que pour les actes sexuels, consommés avec violence, qui sont d'ailleurs, le plus souvent, le fait d'actes commis par des hétérosexuels irascibles, sur des petites ou des jeunes filles.
Que les parents qui veulent protéger leurs enfants du sexe (ils se leurrent, mais cela les regarde) prennent un peu leurs responsabilités et informent et éduquent leur progéniture dans ce sens. Que les lois ne soient pas leurs complices et les rendent indifférents et irresponsables.
Qu'on arrête de persécuter ceux qui aiment les enfants, même s'ils les aiment aussi avec leur corps. A force de toujours les humilier, de les pousser dans leurs derniers retranchements, de toujours les obliger à renoncer, on finit pas les enfermer dans un ghetto sexuel, qu'ils ne veulent plus. Et pour les enfants c'est pareil.
A force de les culpabiliser, à force de les traumatiser, à force de les obliger à toujours choisir, ils choisiront et ce ne sera peut-être pas toujours le bon choix.

Personnellement, je n'avais aucun intérêt à ce qu'ils deviennent homosexuels ou hétérosexuels. Si j'avais eu un souhait à faire, ç’aurait été qu'ils soient les deux, parce que cela me semble le plus correspondre à la nature, parce que l'on est d'abord attiré par un être qui plaît, et que l'on aime, avant d'être attiré par un sexe.
Mais je n'avais pas à décider pour eux. Ils se personnaliseront eux-mêmes. Ce que je désirais avant tout, c'est qu'ils soient eux-mêmes, bien dans leur peau et heureux. C'était aussi ma façon de les aimer.
Et si vous pensez que mon comportement les a influencés, sachez qu'ils auront bien d'autres influences dans la vie, et que c'est seulement avec cette somme d'influences, qu'ils se feront homme et feront leurs propres choix. Les aimer, c'est au moins leur laisser cette liberté. Moi, je les ai aimés, et c'est pour cela que j'ai eu des relations sexuelles avec eux.
Ce n'était pas de l'homosexualité. Ce n'était pas de l'hétérosexualité.
Tout cela, après tout, ce ne sont que des mots. Ce n'était que de l'amour. L'amour d'un homme pour des jeunes.
Des femmes peuvent aussi bien aimer sexuellement des enfants. D'ailleurs, cela existe et se fait, heureusement.
Mais pourquoi un homme n'aurait-il pas le droit d'aimer un enfant si c'est aussi le désir et le bien de l'enfant. Quelle est la loi naturelle qui l'interdit ?
L'enfant ira toujours vers celui qu'il aime! Que ce soit un homme ou une femme. Cela est une loi humaine naturelle, et ce ne sont pas les lois d'hommes impossibles, qui changeront les choses.
L'enfant a besoin et aura toujours besoin de compréhension et d'affection, et s'il le désire, la relation sexuelle, est une partie de la concrétisation de cette affection, soudée dans le plaisir et la complicité. Il ira toujours vers la personne qui lui apporte cet épanouissement et cet affranchissement. Les mentalités changent, mais pas les lois !
Ce n'est pas normal. Il faut cesser la répression sexuelle. Il faut libérer les esprits. Les lois n'ont pas à aller à contre sens.
Il faut le droit pour tous, aux plaisirs et à la différence.
Peut-être ne l'admettez-vous pas, peut-être n'en êtes-vous pas conscient, je ne le sais pas. Mais je dois vous le dire, que vous avez (enfin la Police et vous) détruit une belle et forte amitié entre les garçons et moi. Quelque chose qui était très important pour eux, et que rien ne remplacera.
J'ai été meurtri par cette douloureuse affaire, mais les jeunes, eux aussi l'ont été, croyez moi, et ce n'est pas avoir voulu leur bien, que d'avoir agi ainsi.
Il y avait sûrement autre chose à faire. Il ne faut pas juger sur les apparences et les photos. L'important c'est justement ce qui ne se voit pas. C'est ce qui se ressent.
Ce n'est pas non plus par une étrange coïncidence si dans les prisons, ce sont ceux qui sont incarcérés pour avoir aimé des mineurs, qui se suicident le plus. Peut-être voyez-vous les statistiques ?
Parce que vous ne pourrez jamais savoir combien cette séparation avec des êtres que l'on aime de tout cœur est cruelle, combien il est dur de se faire traiter de criminel, alors que l'on sait combien les jeunes nous aime et combien on leur manque. Non, c'est bien cette séparation qui est criminelle et les lois qui sont injustes.
Je sais bien que sur cette terre, il y aura toujours, hélas, une partie des hommes qui persécuteront et feront souffrir l'autre partie silencieuse. Mais ce n'est pas une consolation.
Il faut changer la vie. Jacques DUGUE »

Vous comprenez pourquoi en 2013 le très socialiste et marxiste culturel président Français instituera un « mariage » sois disant pour « tous » !
C’est la proposition de loi relative aux droits des couples non mariés déposée à l’Assemblée Nationale par les députés communistes le 20 février 1997 qui marque le véritable tournant dans sa prise en compte des homosexuels, et, plus largement, dans ses fameuses luttes contre les « discriminations » de nature sexuelle. Tout est bon pour recruter des sympathisants ou des adhérents aux parti ou aux parties.
Il est loin le temps où un éditorialiste de l’Humanité (5 mai 1972) stigmatisait le « désordre » de la mouvance du Front Homosexuel d’Action Révolutionnaire (FHAR) comme « la pourriture du capitalisme à son déclin ». Que s’est-il donc passé au parti communiste, en un quart de siècle, sur la question de l’homosexualité ?
De la réprobation explicite à la tolérance puis au respect et enfin au soutien des amateurs du même sexe, les étapes se sont succédées qui ont contribué à l’émergence d’une nouvelle appréhension des sois disant « phénomènes » de société, des rapports privés et des modes de vie. En 1972, Jacques Duclos stigmatise les militants homosexuels lors d’un rassemblement à la Mutualité : il les considère comme des malades mentaux  (Notons qu’aujourd’hui les anticommunistes eux restent pour mes « amis » rouges des malades mentaux). Lors de son 22ème congrès, en 1976, l’hostilité du parti communiste à l’homosexualité et au discours féministe est réaffirmée.

Les années 80 marquent un tournant. En juin 1981, l’un des quatre ministres communistes, Jack Ralite, annonce que la France ne se référera plus à la classification de l’Organisation Mondiale de la Santé selon laquelle l’homosexualité est une maladie mentale. Les députés communistes voteront en juillet 1982 l’abrogation de l’alinéa 2 de l’article 331 du code pénal, qui interdisait les relations homosexuelles en dessous de 18 ans alors que la majorité « hétérosexuelle » était à 15 ans.
En 1987, le député communiste de Seine Saint-Denis François Asensi intervient contre les censures initiées par Charles Pasqua, ministre de l’Intérieur en lutte contre la « pornographie », notamment contre le magazine pédéraste Gai Pied. Cinq ans plus tard, les communistes participeront à mettre en échec une tentative de repénalisation de l’homosexualité. Cependant, durant les années 80 et jusqu’à tout récemment, les communistes se contenteront principalement d’un soutien aux propositions socialistes, tant en ce qui concerne l’homosexualité en général qu’en ce qui concerne la reconnaissance des couples non mariés.
Comme d’habitude le coco marxiste culturel oscille le cul entre deux thèses. Longtemps, deux attitudes ont co-existé. L’une consistait en une stigmatisation de l’homosexualité, présentée comme un vice bourgeois, extérieur à la classe ouvrière. Cette stigmatisation se manifesta parfois par des exclusions déguisées et des prises de positions ambiguës comme celle de Marc Croissant, banni de sa cellule et licencié de la mairie communiste d’Ivry pour avoir contesté un article de l’Humanité sur une affaire de pédomanie. L’homosexualité était alors perçue comme relevant du « bordel », d’une inadaptation.
L’autre attitude consistait à considérer que l’homosexualité relevant du domaine privé, une quelconque prise de position sur les droits des homosexuels serait attentatoire aux libertés individuelles ce qui n’est pas faux. Ainsi, sous prétexte d’éviter une normalisation des comportements, cette optique négligeait de considérer les fameux « droits » des personnes.
En réalité ce pseudo refus de la normalisation dissimulait une bonne dose de conformisme. La plupart des communistes marxistes culturels reproduisaient le modèle classique et conforme de la famille, y compris parmi ceux dont la préférence allait aux amants du même sexe. La volonté de ne pas donner prise à l’ennemi de classe et l’obligation de ne pas se distinguer des autres militants par des moeurs « anormales » participaient à ce que l’homosexualité soit tue. Peu nombreux et forts discrets - malgré eux - étaient ceux pour qui il fallait dénoncer la stigmatisation des homosexuels : il leur fallait montrer que si le rôle du parti communiste n’est pas de prendre en charge la souffrance des personnes, l’indifférence contribue à l’exclusion. Telle fut la tâche qu’entreprirent l’écrivain – et petit ami d’Aragon - Jean Ristat, le journaliste de mode de l’huma Michel Boué (Le jeune étudiant en droit de l'université de Toulouse, alors chrétien, prendra lucidement conscience de son essence et au milieu des convulsions de 1968, il s'enrôlera dans les rangs du Front homosexuel d'action révolutionnaire, puis de là au Parti communiste.) et, à partir de 1976, certains membres de la commission « homosexualité » du Centre d’études et de recherches marxistes (CERM), ancêtre de l’Institut de Recherche Marxiste et d’Espaces Marx.

Daniel Bougnoux le maître d'œuvre des cinq volumes des romans d'Aragon que Drieu La Rochelle avait déjà qualifié de pédéraste ( Un comble) à publié un bref essai dans la collection « L'un et l'autre » (Gallimard), Aragon, la confusion des genres. Une partie de celui-ci fut censuré celle ou  l'auteur y explique sa rencontre avec son héros Aragon, celui ci demandant à Bougnoux de monter dans sa chambre lire un manuscrit, puis s'enfermant dans la salle de bains :" Lorsqu'il en émergea à nouveau, précédé d'une forte odeur de vaseline, le nageur à crinière blanche en peignoir et maillot de bain avait fait place à une drag-queen en cache-sexe rouge vif, lourdement fardée, qui se présentait pour se faire défoncer. (...) Le parfum, un gel plutôt, n'avait pas été appliqué au hasard, et il était facile, à la courte distance où j'étais, de deviner de quel orifice copieusement enduit émanait l'entêtante invite".

Dans la partie non censurée on en apprend de belles : « Depuis 1971, Castille (Aragon) prenait ses vacances d'été à Toulon entouré d'une cour de jeunes gens auxquels il distribuait chatteries, caresses et coups de griffe comme un pianiste rehausse son jeu à coups d'appoggiatures et d'effets de pédale. (…) Le peignoir s'ouvrit sur le slip de bain. Castille nageait chaque jour en mer, assez souvent seul et droit vers le large, et je vis que le grand âge n'avait pas ruiné son corps bronzé, à la stature athlétique. (…) Quand Castille regagna son siège pour reprendre sans autre explication le fil de sa lecture, j'eus du mal à contenir ma stupéfaction : le Vieux s'était fardé et fait les yeux en y collant, par un détail de coquetterie inconcevable, des faux cils dégoulinant de rimmel».
 
Plus prêt de nous, Marc Bellet, 56 ans un camarade de Basse-Normandie qui était poursuivi pour agressions sexuelles sur quatre mineures, avait été condamné en février 2005 par la cour d'appel de Caen (Calvados) à deux ans de prison avec sursis et cinq ans de privation de droit civique et familiaux. Cet apparatchik pédophile du PCF était bien sur une référence pour tous les adversaires du Front National. 

Conseiller régional communiste, conseiller municipal communiste à Caen, candidat communiste aux législatives, membre du Comité des régions de l’Union européenne ( CDR),  membre du comité national du PCF pendant plus de vingt ans, Marc Bellet avait été accusé en février 2002 par quatre jeunes femmes.

Deux jeunes filles du proche entourage du camarade Marc Bellet et deux de leurs amies accusaient le camarade d'attouchements, de caresses déplacées et appuyées, faits commis alors qu'elles étaient adolescentes entre 1996 et 1998.


En juillet 2004 et en première instance, le communiste Marc Bellet avait été condamné à 24 mois de prison, dont 18 avec sursis. La cour d'appel avait de nouveau jugé cette affaire et l'avocat général, Olivier Bray, avait requis 42 mois de prison, dont dix fermes. Un journaliste avait posé une bonne question : «  tous les marxistes méritent ils d’être traînés dans la boue à cause d’un détraqué ? ».
La réponse est oui, mille fois oui, car c’est l’idéologie de gauche, c’est ce marxisme culturel nauséabond qui draine comme du fond d’un égout les idées pédomaniaques, pédophiles, sodomites, antisémites, de haine permanente de l’autre, l’hétéro, le chrétien, la famille, le patriote, le Français.



A l'énoncé du jugement d'appel, les victimes et leurs familles se sont déclarées « écœurées par cette justice qui protège les politiques ». Justice très noyautée par le syndicat de la magistrature un « syndicat » de gauchistes marxistes culturels de la pire espèce. Marc Bellet a également été interdit de ses droits civils, civiques et familiaux pendant cinq ans.
On se souviendra d’un prétendu titre de gloire du communiste Bellet,  le 12 avril 2000, lors de la venue de Jörg Haider -en tant que gouverneur de la Carinthie- à la 33ème session du Comité des régions de l’UE à Bruxelles. Bellet interrompit alors la conférence de presse de M. Haider en éructant bruyamment et en brandissant un numéro de la « bande dessiné antinazi » d’Art Spiegelman, « Muas ».
Dans un communiqué du 25 avril 2000, écrit dans le style inimitable appris à l’école des cadres du parti, M. Bellet s’ auto congratulait pour cet « admirable » acte de « résistance ». Rompu à la langue de bois, comme notre blogueur, l’apparatchik communiste exigeait « la démission d’ Haider du CDR » et du gouvernement autrichien, tançait « l’arrogance de ce personnage d’extrême droite, dangereux pour les démocraties en Europe » et déclarait qu’il « mènerait bataille pour convaincre les forces de gauche et de progrès de construire une Europe, fondée sur les droits démocratiques (sic)… ».

Hormis la presse locale, les médias avaient été d’une discrétion exemplaire sur la condamnation de cet ami politique de Robert Hue ; il est vrai que cet « homme de progrès » était un adversaire acharné du Front National.


Revenons après cette parenthèse horrible à notre agent de Moscou Sartre, qui, en perte de vitesse, va néanmoins pouvoir s'offrir une nouvelle jeunesse grâce aux événements de mai 68. Déjà en 1967, il revient sur le devant de la scène en présidant avec Bertrand Russell le fameux « tribunal » Russell, un tribunal fictif, autoproclamé, qui est une assemblée internationale marxiste d'intellocrates très souvent antisémites et sans pouvoirs, de militants communistes  et de faux témoins chargés de juger les prétendus crimes de guerre des Américains au Vietnam et aujourd’hui des Israéliens dans les territoires disputés de Palestine. S'il n'a pas été l'inspirateur des événements de mai 68, il en sera un militant actif, se faisant l'écho de la « révolte » dans la rue, sur les estrades, dans les journaux, et jusqu'aux portes des usines en grève. Il interviewe le leader pédophile Daniel Cohn-Bendit dans le Nouvel Observateur, lui donnant l'occasion de s'expliquer dans un grand hebdomadaire. À maintenant 63 ans, il se rend à la Sorbonne investie par les étudiants, afin de discuter avec eux. Il dénonce ensuite, presque comme un libertarien, les « élections pièges à cons » de De Gaulle.
Sur le plan international, sentant le vent de l’histoire tourner comme en 1944, il condamne fermement l'intervention soviétique du Printemps de Prague en Tchécoslovaquie.
De plus en plus fatigué drogué et usé par l’alcool, l’épave Sartre continuera la lutte marxiste en soutenant le « mouvement » communiste du criminel contre l’humanité  Mao Tzé Toung. Le journal révolutionnaire La Cause du Peuple étant menacé de disparaître sous la pression du gouvernement Français du président Georges Pompidou, il décide en 1971 de devenir le directeur du journal afin de le protéger, et descend dans la rue, avec Simone de Beauvoir, pour le vendre. Il fera de même avec deux autres journaux maoïstes, Tout et J'accuse. En 1973, le vieux drogué déglingué du ciboulo Sartre va lancer, avec les camarades marxistes, Serge July, Philippe Gavi, Bernard Lallement et Jean-Claude Vernier, un quotidien « populaire » et marxiste, Libération, qui paraît au printemps. Atteint de démence vasculaire, il démissionnera de sa direction le 24 mai 1974. Pendant toute cette période le fada Sartre se lie avec divers autres mouvements marxistes culturels gauchistes et féministes, prêtant volontiers son nom afin de les aider.

Cette véritable vermine, ce virus de la peste rouge ira jusqu'à éructer : «  Un régime révolutionnaire doit se débarrasser d’un certain nombre d’individus qui le menace et je ne vois pas d’autre moyens que la mort. On peut toujours sortir d’une prison. Les révolutionnaires de 1793 n’ont probablement pas assez tué. ». Un appel haineux bien caractéristique d’un agent soviétique et d’un communiste pédéraste.

En 1983, il avait osé écrire cet ahurissant appel à la haine marxiste : «Abattre un Européen, c’est faire une pierre deux coups, supprimer en même temps un oppresseur et un opprimé ; reste un homme mort et un homme libre».

L’idiot (Au sens psychiatrique du terme), le drogué sénile Sartre va s'occuper, alors qu'il arrive à la fin de sa vie de marxiste culturel du conflit israélo-palestinien. Tout en reconnaissant la légitimité de l'État d'Israël, il dénonce les conditions de vie qu’il dit déplorables des Palestiniens qui justifieraient le recours au terrorisme, on reconnaît bien là encore l’abrutile antisémite Sartre agent de Moscou lobotomisé par l’agitprop marxiste.
Alors qu'il va sur sa 67e année, Sartre est victime d'une attaque en mars. Elle lui laisse la vie sauve, mais lui enlève presque totalement la vue. Sartre entre dans ses années d'ombre. Déjà diminué, il est alors contraint de décider « librement » que son « œuvre » est achevée, et ne finira donc jamais le tome IV de son Flaubert. Cela ne l'empêchera néanmoins pas de continuer à penser et à produire : il engage comme secrétaire un jeune normalien juif, Benny Lévy, (dit béni oui oui) qu'il avait connu lorsque ce dernier dirigeait le groupe terroriste maoïste La Gauche prolétarienne, qui est chargé de lui faire la lecture, et débat, parfois violemment, avec ce jeune maoïste. Un an plus tard sort l'ouvrage On a raison de se révolter, livre d'entretiens avec le « jeune » Benny et Philippe Gavi, où le sénile Sartre évoque entre autres les problèmes liés à l'engagement contestataire.
Sa cécité ne l'empêchera pas non plus de poursuivre son « devoir » d'engagement prétendu moral qu'il aura tenu jusqu'au bout : quelques interventions politiques, telles que la visite à l’assassin criminel Andreas Baader, le révolutionnaire terroriste allemand emprisonné près de Stuttgart, et un voyage de soutien à la révolution des œillets, au Portugal, font renaître dans les milieux de l'extrême gauche européenne marxiste des élans de sympathie pour le vieux pédéraste agent soviétique imbécile ( Toujours au sens psychiatrique du terme).

Il signe aussi différents appels pour la libération de dissidents soviétiques, et, lors de la rencontre entre Brejnev et Valéry Giscard d'Estaing à Paris en 1977, le ténia Sartre organise au même moment une rencontre avec des dissidents soviétiques. Ce soir-là, pour Sartre entouré d’une belle brochette d’abrutiles, Michel Foucault, Gilles Deleuze, André Glucksmann, Simone Signoret et bien sûr de la pédophile Simone de Beauvoir, il y eut 105 radios et télévisions venues du monde entier, soit immensément plus qu'à l'Élysée pour le camarade communiste Léonid Brejnev.
Dernier coup médiatique pour l’agité du bocal (*) Sartre en 1979, qui va émouvoir le « grand public » : accompagné de son meilleur ennemi, Raymond Aron, et du jeune « philosophe » (Encore un !) André Glucksmann, un Sartre plus diminué que jamais se rend à l'Élysée pour demander à Valéry Giscard d'Estaing d'accueillir des réfugiés d'Indochine, qui se noyaient par centaines en tentant de quitter le Viêt Nam libre cher à Léo Figueres (c’est l'affaire des boat people). Indépendamment des différences d'opinion politique auxquelles il attache désormais moins d'importance, Sartre sans doute travaillé par l’idée de sa mort prochaine et sa comparution devant le tribunal de Dieu, affirme au crépuscule de sa vie l'exigence de sauver des vies partout où elles sont menacées. Le sénile  Sartre de plus en plus débile et contradictoire a également adhéré, avec Simone de Beauvoir, au comité de soutien au musulman terroriste l'ayatollah Khomeiny, lorsque celui-ci était reçu en exil à Neauphle-le-Château, opposant principal au régime impérial du Shah.

En mars 1980, Le Nouvel Observateur publie, sur trois numéros, une série d'entretiens avec Benny Lévy qui seront édités, après sa mort, sur le titre « l'Espoir maintenant » : « Je me sens, non comme une poussière apparue dans le monde, mais comme un être attendu, provoqué, préfiguré, comme un être qui ne semble pouvoir venir que d'un créateur et cette idée d'une main salvatrice qui m'aurait créé me renvoie à Dieu ». Qu’est ce que je vous disait, tous pareils, tous péteux  ces cocos à se chier dessus à l’idée de leur mort. Jean Guitton tenait de telles déclarations pour un reniement de son athéisme et y voyait l'influence de son nouveau et dernier secrétaire. « Détournement de vieillard » accusera Olivier Todd, tant semble différente la parole de Sartre dans ces entretiens sur la religion judaïque. L'avocate Gisèle Halimi, qui a été une amie très suceuse du « philosophe » depuis 1957, est revenue, en 2005, sur ces propos en affirmant : « Cet interview est incontestablement un faux (…). Ce n'est pas du Sartre libre jouissant de toutes ses facultés ». Ben tiens quand les cocos sont acculés en restant poli, ils trouvent que tout est faux. Normal pour être communiste il ne faut pas de toute façon et dés le début jouir de toutes ses facultés intellectuelles.

Le faux têtard Sartre crève le 15 avril 1980 à près de 75 ans à l’hôpital Broussais de Paris, atteint d'un œdème pulmonaire et monte directement en enfer ou il siège à la droite de Satan à côté de ces amis criminels contre l’humanité et tortionnaires comme Che Guevara, Mao, Lénine, Staline et Trotski, Jean passe et des Meyer comme on dit à Nice.
Mot d'un jeune homme à son père en fin de journée de son enterrement: « Je suis allé à la manif contre la mort de Sartre ».

Il est enterré au cimetière du Montparnasse à Paris (14ème), dans la 20e division — juste à droite de l’entrée principal boulevard Edgar Quinet. Sa « compagne » la gomorrhéenne pédophile Simone de Beauvoir, décédée le 14 avril 1986, a été inhumée à ses côtés. Boris Vian à écrit sous le surnom de Vernon Sullivan un roman prémonitoire : « J’irai craché sur vos tombes ». Si jamais vous passez prés du Montparnasse ou gisent mon ami Reiser, Serge Gainsbourg, Mireille, Bartholdi, André Citroën, et tant de grands artistes vous savez quoi faire.

(*) A l'agité du bocal
Je ne lis pas grand-chose, je n'ai pas le temps. Trop d'années perdues déjà en tant de bêtises et de prison ! Mais on me presse, adjure, tarabuste. Il faut que je lise absolument, paraît-il, une sorte d'article, le Portrait d'un Antisémite, par Jean-Baptiste Sartre (Temps modernes, décembre 1945). Je parcours ce long devoir, jette un oeil, ce n'est ni bon ni mauvais, ce n'est rien du tout, pastiche... une façon de "Lamanièredeux"... Ce petit J.-B. S. a lu l'Etourdi, l'Amateur de Tulipes, etc. Il s'y est pris, évidemment, il n'en sort plus... Toujours au lycée, ce J.-B. S. ! Toujours aux pastiches, aux "Lamanièredeux"... La manière de Céline aussi... et puis de bien d'autres... "Putains", etc. "Têtes de rechange"... "Maia"... Rien de grave, bien sûr. J'en traîne un certain nombre au cul de ces petits "Lamanièredeux"... Qu'y puis-je ? Etouffants, haineux, foireux, bien traîtres, demi-sangsues, demi ténias, ils ne me font point d'honneur, je n'en parle jamais, c'est tout. Progéniture de l'ombre. Décence ! Oh ! Je ne veux aucun mal au petit J.-B. S. ! Son sort où il est placé est bien assez cruel ! Puisqu'il s'agit d'un devoir, je lui aurais donné volontiers sept sur vingt et n'en parlerais plus... Mais page 462, la petite fiente, il m'interloque ! Ah ! Le damné pourri croupion ! Qu'ose-t-il écrire ? "Si Céline a pu soutenir les thèses socialistes des nazis c'est qu'il était payé." Textuel. Holà ! Voici donc ce qu'écrivait ce petit bousier pendant que j'étais en prison en plein péril qu'on me pende. Satanée petite saloperie gavée de merde, tu me sors de l'entre-fesse pour me salir au dehors ! Anus Caïn pfoui. Que cherches-tu ? Qu'on m'assassine ! C'est l'évidence ! Ici ! Que je t'écrabouille ! Oui !... Je le vois en photo, ces gros yeux... ce crochet... cette ventouse baveuse... c'est un cestode ! Que n'inventerait-il, le monstre, pour qu'on m'assassine ! A peine sorti de mon cacao, le voici qui me dénonce ! Le plus fort est que page 451 il a le fiel de nous prévenir: "Un homme qui trouve naturel de dénoncer des hommes ne peut avoir notre conception de l'honneur, même ceux dont il se fait le bienfaiteur, il ne les voit pas avec nos yeux, sa générosité, sa douceur, ne sont pas semblables à notre douceur, à notre générosité, on ne peut pas localiser la passion."

Dans mon cul où il se trouve, on ne peut pas demander à J.-B. S. d'y voir bien clair, ni de s'exprimer nettement, J.-B. S. a semble-t-il cependant prévu le cas de la solitude et de l'obscurité dans mon anus... J.-B. S. parle évidemment de lui-même lorsqu'il écrit page 451: "Cet homme redoute toute espèce de solitude, celle du génie comme celle de l'assassin." Comprenons ce que parler veut dire... Sur la foi des hebdomadaires J.-B. S. ne se voit plus que dans la peau du génie. Pour ma part et sur la foi de ses propres textes, je suis bien forcé de ne plus voir J.-B. S. que dans la peau d'un assassin, et encore mieux, d'un foutu donneur, maudit, hideux, chiant pourvoyeur, bourrique à lunettes. Voici que je m'emballe ! Ce n'est pas de mon âge, ni de mon état... J'allais clore là... dégoûté, c'est tout... Je réfléchis... Assassin et génial ? Cela s'est vu... Après tout... C'est peut-être le cas de Sartre ? Assassin il est, il voudrait l'être, c'est entendu mais, génial ? Petite crotte à mon cul génial ? Hum ?... c'est à voir... oui certes, cela peut éclore... se déclarer... mais J.-B. S. ? Ces yeux d'embryonnaire ? Ces mesquines épaules ?... ce gros petit bidon ? Ténia bien sûr, ténia d'homme, situé où vous savez... et philosophe !... c'est bien des choses... Il a délivré, parait-il, Paris à bicyclette. Il a fait joujou... au Théâtre, à la Ville, avec les horreurs de l'époque, la guerre, les supplices, les fers, le feu. Mais les temps évoluent, et le voici qui croît, gonfle énormément, J.-B. S. ! Il ne se possède plus... il ne se connaît plus... d'embryon qu'il est il tend à passer créature... le cycle... il en a assez du joujou, des tricheries... il court après les épreuves, les vraies épreuves... la prison, l'expiation, le bâton, et le plus gros de tous les bâtons: le Poteau... le Sort entreprend J.B.S... Les Furies ! Finies les bagatelles... Il veut passer tout à fait monstre ! Il engueule De Gaulle du coup !

Quel moyen ! Il veut commettre l'irréparable ! Il y tient ! Les sorcières vont le rendre fou, il est venu les taquiner, elles ne le lâcheront plus... Ténia des étrons, faux têtard, tu vas bouffer la Mandragore ! Tu passeras succube ! La maladie d'être maudit évolue chez Sartre... Vieille maladie, vieille comme le monde, dont toute la littérature est pourrie... Attendez J.-B. S. avant que de commettre les gaffes suprêmes !... Tâtez-vous ! Réfléchissez que l'horreur n'est rien sans le Songe et sans la Musique... Je vous vois bien ténia, certes, mais pas cobra, pas cobra du tout... nul à la flûte ! Macbeth n'est que du Grand Guignol, et des mauvais jours, sans musique, sans rêve... Vous êtes méchant, sale, ingrat, haineux, bourrique, ce n'est pas tout J.-B. S. ! Cela ne suffit pas... Il faut danser encore !... Je veux bien me tromper bien sûr... Je ne demande pas mieux... J'irai vous applaudir lorsque vous serez enfin devenu un vrai monstre, que vous aurez payé, aux sorcières, ce qu'il faut, leur prix, pour qu'elles vous transmutent, éclosent, en vrai phénomène. En ténia qui joue de la flûte.

M'avez-vous assez prié et fait prier par Dullin, par Denoël, supplié "sous la botte" de bien vouloir descendre vous applaudir ! Je ne vous trouvais ni dansant, ni flûtant, vice terrible à mon sens, je l'avoue... Mais oublions tout ceci ! Ne pensons plus qu'à l'avenir ! Tâchez que vos démons vous inculquent la flûte ! Flûte d'abord ! Retardez Shakespeare, lycéen ! 3/4 de flûte, 1/4 de sang... 1/4 suffit je vous assure... mais du vôtre d'abord ! Avant tous les autres sangs. L'Alchimie a ses lois... le "sang des autres" ne plaît point aux Muses... Réfléchissons... Vous avez emporté tout de même votre petit succès au "Sarah", sous
la Botte, avec vos Mouches... Que ne troussez-vous maintenant trois petits actes, en vitesse, de circonstance, sur le pouce, Les Mouchards ? Revuette rétrospective... L'on vous y verrait en personne, avec vos petits potes, en train d'envoyer vos confrères détestés, dits "Collaborateurs" au bagne, au poteau, en exil... Serait-ce assez cocasse ? Vous-même, bien entendu, fort de votre texte au tout premier rôle... en ténia persifleur et philosophe... Il est facile d'imaginer cent coups de théâtre, péripéties et rebondissements des plus farces dans le cours d'une féerie de ce genre... et puis au tableau final un de ces "Massacre Général" qui secouera toute l'Europe de folle rigolade ! (Il est temps !) Le plus joyeux de la décade ! Qu'ils en pisseront, foireront encore à la 500e !... et bien au-delà ! (L'au-delà ! Hi ! Hi !) L'assassinat des "Signataires", les uns par les autres !... vous-même par Cassou... cestuy par Eluard ! L’autre par sa femme et Mauriac ! Et ainsi de suite jusqu'au dernier !... Vous vous rendez compte ! L'Hécatombe d'Apothéose ! Sans oublier la chair, bien sûr !... Grand défilé de filles superbes, nues, absolument dandinantes... orchestre du Grand Tabarin... Jazz des "Constructeurs du Mur"... "Atlantist Boys"... concours assuré... et la grande partouze des fantômes en surimpression lumineuse... 200.000 assassinés, forçats, choléras, indignes... et tondues ! À la farandole ! Du parterre du Ciel ! Choeur des "Pendeurs de Nuremberg"... Et dans le ton vous concevez plus-qu'existence, instantaniste, massacriste... Ambiance par hoquets d'agonie, bruits de coliques, sanglots, ferrailles... "Au secours !"... Fond sonore: "Machines à Hurrahs !"... Vous voyez ça ? Et puis pour le clou, à l'entr'acte: Enchères de menottes ! Et Buvette au sang. Le Bar futuriste absolu. Rien que du vrai sang ! Au bock, cru, certifié des hôpitaux... du matin même ! Sang d'aorte, sang de foetus, sang d'hymen, sang de fusillés !... Tous les goûts ! Ah ! Quel avenir J.-B. S. ! Que vous en ferez des merveilles quand vous serez éclos Vrai Monstre ! Je vous vois déjà hors de fiente, jouant déjà presque de la flûte, de la vraie petite flûte ! À ravir !... déjà presque un vrai petit artiste ! Sacré J.B.S.

L.F. Céline.


(*1) Ébugor : peuple sodomiste imaginaire inventé pour un ouvrage anonyme publié en 1733 : Anecdotes pour servir à l'histoire secrète des Ébugors.


(*2) Bougrerie : Enculage ou Coït anal.  […] : Madame, lui dit-il en entrant, il faut que je vous tienne enfin la parole que je vous ai donnée de vous faire juger par vous-même de l’excès des plaisirs qui me transportent quand je me livre à la bougrerie, afin que vous ne cherchiez plus à les traverser désormais. (Donatien Alphonse François de Sade, La nouvelle Justine ou Les malheurs de la vertu, tome I, page 202, 1797)
On peut parler aussi de Pédication (rare) dans le cadre de l’enculerie : On y enseigne aux jeunes filles les avantages de la pédication : pas de soupçons, pas d’enfants. — (Otto Flake, Le Marquis de Sade, B. Grasset, 1933, p. 122) Très pratiqué en terre d’Islam.

A suivre en Partie 5 b. Pour voir le Cul de Simone !

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